Le Correcteur typographe (Brossard)/volume 2/30/03
Imprimerie de Chatelaudren, (2, p. 806).
III
PIED-DE-MOUCHE
Le pied-de-mouche, dont la forme présente une vague analogie avec celle « d’une petite girouette »[1], est aujourd’hui fort rarement utilisé.
Autrefois, on s’en « servait surtout dans les livres de droit et d’église, soit pour marquer un renvoi, soit pour signaler une remarque détachée du corps de l’ouvrage » ; il ne se rencontre plus maintenant que comme « point de repère » et pour appeler l’attention.
Le pied-de-mouche n’est jamais suivi du point d’abréviation ; il se compose précédé et suivi de l’espace forte de la ligne où il se rencontre,
- ↑ D’après Larousse.