Le Deuxième Livre des quatrains/Sur la pelouse

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Mercure de France (p. 48).

XLIV

SUR LA PELOUSE


Il vint me voir, après de si longues années,
Et nous nous souvenions de nos jours orageux.
Sous une cendre d’eau nos paupières fanées
S’abaissaient où gisaient brisés nos anciens dieux.