Le Folklore wallon (Monseur)/Préface

La bibliothèque libre.
Charles Rozez (p. vii-xvii).

On a l’habitude de sauter les préfaces.

Je prie le lecteur de faire exception pour celle-ci.

Ce petit livre se compose de deus parties bien distinctes.

La première, l’introduction intitulée : Qu’est-ce que le Folklore, est un remaniement d’une causerie où j’essayai de faire saisir à un public étranger aus détails de science la portée et l’intérêt des recherches sur les traditions populaires. Elle a sa raison en elle-même.

La seconde, c’est-à-dire le gros du volume, est une refonte d’un autre livre et ne sera bien intelligible que pour celui qui se donnera la peine de lire ce qui suit :

Vers la fin de 1889, quelques personnes, dont j’étais, après avoir longtemps travaillé isolées à la récolte des traditions populaires de la Wallonie, résolurent de mettre leurs efforts en commun et fondèrent une nouvelle société sous le titre de Société du Folklore wallon.

La première publication qu’elles entreprirent fut un Questionnaire de Folklore qui fut distribué par feuilles détachées aus membres de la Société à titre de bulletin pour 1890[1]. Je ne puis mieus faire comprendre le caractère de cette publication, — première forme de ce livre —, qu’en reproduisant une partie de la préface que j’y ai mise :

« Ce questionnaire, disais-je au nom de notre Société, se distingue en deus points de tous ceus qui ont paru jusqu’à ce jour ; il est complètement adapté au folklore qu’il a pour but de recueillir et les questions y sont entremêlées de documents de ce folklore.

On comprendra de suite les avantages de ce système.

Peu de gens ont le courage de lire cinquante pages de questions à point d’interrogation continu.

Des documents intercalés dans les questions font saisir au lecteur non préparé la nature des choses que l’on recherche et lui apprennent indirectement à noter avec exactitude ce qu’il observe.

C’est la vraie méthode à employer pour tirer des gens simples ce qu’ils savent de folklore. Demandez trop sèchement à quelque bonne vieille : « Que dit-on de la lune ? Que dit-on des sorcières ? », elle se défiera, croira que vous voulez vous moquer d’elle et ne vous dira rien. Racontez-lui d’abord ce que vous savez sur tel ou tel point ; elle prendra confiance et vous défilera tout ce qu’elle sait ; vous aurez à peine besoin de lui poser des questions.

Enfin, c’est la meilleure œuvre que puisse entreprendre, en premier lieu, une société dont le but est de recueillir le folklore d’une région. En ce qui nous concerne, nous sommes loin de regretter notre travail. Nous y avons établi le cadre de nos recherches, nous y avons appris à les faire avec plus d’ordre, plus de précision et en nous assistant perpétuellement. Nous avons pu, du même coup, offrir aus savants étrangers quelques documents du Folklore wallon, en attendant que certains d’entre nous publient quelques monographies complètes.

. . . . . . . . . . . . . . .

Quelques mots sur la composition même de ce questionnaire sont encore indispensables. C’est l’œuvre impersonnelle des membres effectifs de la Société, et nous avons travaillé si fraternellement, qu’il est bien difficile de dire si telle page appartient beaucoup plus à l’un qu’à l’autre. Toutefois, pour être aussi juste que possible, il faut dire ce qui suit : M. J. Simon est l’auteur du chapitre Chansons ; M. O. Colson, des chapitres Enfantines et Blason, MM. P. Marchot et G. Willame ont activement collaboré au chapitre Contes ; M. G. Doutrepont, au chapitre Mœurs ; M. Delaite, aus chapitres Plantes et Médecine ; M. J. Defrecheux, au chapitre Animaus. Enfin, M. J. Feller m’a prêté le concours le plus actif et le plus désintéressé dans la correction de nombreuses épreuves et la rédaction de la moitié des chapitres.

Ces messieurs m’ayant laissé pendant tout le travail pleins pouvoirs sur les manuscrits qu’ils me communiquaient, je termine en me déclarant responsable, soit comme auteur, soit comme directeur, de toutes les imperfections de l’ouvrage. S’il y a des taches, ou elles sont de moi, ou j’ai eu le tort de ne pas les effacer. »

Le livre que je viens de décrire avait à peine paru que l’on me demanda de préparer pour la Bibliothèque des connaissances modernes un petit volume sur le folklore du pays wallon. Je n’avais pas le temps de faire œuvre nouvelle. Je crus plus simple et beaucoup plus profitable de refondre l’ancienne, afin de pouvoir de suite faire pénétrer dans le grand public le goût des recherches de folklore et apprendre aus amateurs qu’elle pouvait faire naître, comment ces recherches devaient être conduites. Mon sentiment fut partagé par la Société du Folklore wallon et il fut décidé que je rééditerais seul l’œuvre commune, au mieus des intérêts de nos études.

En quoi le volume actuel diffère-t-il du Questionnaire, c’est ce qu’il reste à voir.

Les questions seules ont disparu. L’ancien ouvrage n’est donc plus aujourd’hui qu’un simple instrument de travail. J’ai toutefois conservé dans la marge, en manchette, les numéros portés par les documents dans le Questionnaire, et cela, pour deus raisons : d’abord, afin de faciliter toute recherche éventuelle, notamment de pouvoir contrôler dans la seconde édition une citation faite sur la première ; en second lieu, pour bien montrer au lecteur non prévenu qu’il ne faut pas chercher de transition bien étroite entre les différents alinéas d’une même page. C’est une manière de faire comprendre à tout instant que je n’ai pas cherché à lier des choses qui sont actuellement détachées.

À part cela, je n’ai fait au texte que très peu de modifications.

Je n’ai pas voulu intercaler de nouveaus numéros. Je me suis contenté, par ci par là, de corriger les anciens, soit dans la forme, soit dans le fond. Les alinéas qui ont subi le moindre changement de fond ont leur numéro imprimé en italiques.

L’ordre arithmétique des numéros a été modifié dans quelques pages pour les raisons qui suivent : dans le Questionnaire, composé au jour le jour, nous avions dû couper un chapitre en deus morceaus que j’ai réunis ici dans un chapitre premier ; enfin, quand la clarté de disposition de l’ouvrage m’a paru l’exiger, j’ai corrigé certaines erreurs de classement du premier ouvrage. L’index final permettra de se retrouver malgré celles qui subsistent encore.

Le lecteur qui voudra bien se rendre compte de l’histoire de ce petit livre me pardonnera, j’espère, quelques-uns de ses défauts, comme, par exemple, ceus-ci.

Aucun sujet n’est épuisé ; non seulement, parce que dans certains cas je manquais de documents autres que ceus que je donne, mais parce que, dans le Questionnaire, nous ne pouvions, et même, nous ne devions pas donner plus. Des paragraphes comme 1269-1271 étaient avant tout destinés à provoquer le lecteur à nous écrire : « Mais on fait encore ceci ; on fait encore cela ». Puissent-ils dans ce volume produire chez quelques-uns les mêmes effets !

D’autres sujets sont à peine effleurés, parce que le Questionnaire s’adressait à des personnes qui, ayant une fois bien compris en quoi consistait l’art de la récolte, pouvaient aborder des points sur lesquels la dimension du livre ne nous permettait pas de nous étendre.

Beaucoup de détails de très mince valeur, à tous points de vue, se trouvent dans le volume, uniquement parce qu’ils figuraient dans le Questionnaire où ils étaient utiles pour attirer l’attention sur des catégories de faits que l’on aurait pu croire sans cela totalement dénués d’intérêt.


Quelques explications sur la disposition typographique de l’ouvrage sont encore indispensables.

Tous les textes wallons sont accompagnés de traductions françaises munies de guillemets. Les textes sans guillemets (ex. 657) ou sans original wallon en regard (ex. 1309) n’existent qu’en français.

Sauf indication contraire dans le contexte, les mots wallons sont toujours cités sous leur forme liégoise.

Orthographe wallonne.

En ce qui concerne leur orthographe, je dois faire la remarque que suit. La Société du Folklore wallon a adopté pour ses publications un système graphique qu’elle a justifié en ces termes dans la préface du Questionnaire précité :

« Jusqu’à ce jour, il n’y a pas eu de transcription vulgaire du wallon, réellement digne du nom d’orthographe. Les différents systèmes employés par les personnes qui écrivent ce dialecte sont tous plus ou moins basés sur la graphie française des mots correspondants, c’est-à-dire sur des modèles qui sont presque toujours détestables. Beaucoup écrivent des cendres, comme en français, ce que nous écrivons, avec plus de souci de la phonétique, dè sint’ ; de même, plusieurs écrivent pîd avec un d à cause de « pied » et hureux avec h et x à cause d’« heureux »[2].

Innover était pour nous un droit et une nécessité.

Un droit, parce que les systèmes d’orthographe actuellement usités, notamment ceus de la Société liégeoise de Littérature wallonne, ne sont pas consacrés définitivement, quelques auteurs wallons y étant peut-être habitués, mais le public pouvant tout aussi bien comprendre notre façon d’écrire que la leur.

Une nécessité, parce que si nous n’avions pas adopté une orthographe un peu phonétique, applicable à toutes les variétés du dialecte wallon, nous aurions pu très difficilement établir le sens ou la métrique de textes qui nous seraient parvenus de certaines localités éloignées de Liége, ou nous aurions dû les donner tous sous une forme qui les aurait rendus inutilisables dans les études de philologie romane.

Notre système d’orthographe n’a d’ailleurs rien de radical. Il se borne à donner aus lettres et groupes de l’alphabet français leur valeur la plus logique, par exemple, à rendre toujours la spirante alvéolaire sonore par z comme dans lézard et jamais par s comme dans raison. »

Voici d’ailleurs un exposé complet de ce système tel qu’il a été publié dans le Bulletin de Folklore 1, 8-11[3].

« Nous écrivons les textes comme ils sont prononcés dans les localités où ils ont été recueillis, en nous servant de l’alphabet suivant. Cet alphabet, sauf huit exceptions signalées par des astérisques, ne comprent que des caractères ou des groupes de lettres de l’alphabet français. Le son est rappelé ou indiqué entre parenthèses : 1o par des mots appartenant, sauf indication contraire, au wallon de Liége et imprimés en italiques de notre alphabet ; 2o par des mots français imprimés en caractères ordinaires et dont l’orthographe, bonne ou mauvaise, doit être actuellement conservée. Le signe d’égalité = entre un mot français et un mot wallon indique qu’ils sont identiques pour le sens et pour le phonème comparé.


Voyelles.

ou (pyou = pou) ;

(djoû = jour) ;

* ó ( « coup », beau, tôt) ;

ô (côte, pôf « pauvre ») ;

o (sot = sotte) ;

*  (loge, pṑs « pâte ») ;

a (batizé = baptiser) ;

â (dyâl = diable, pâs = pâte, à Ans) ;

è (bèl = belle, tronpèt = trompette, modèle) ;

ê (être, = laid ; mês = maître) ;

œ (œil, je, bœu, fœm « femme ») ;

* œ̄̀ (cœur, sœur, peur, jeune, dœ̄̀r « dur » à Vottem) ;

(é fermé long : idée, pḗr « père ») ;

eu (peu, pleu « pli ») ;

(Meuse, peûr « poire ») ;

i (gri = gris) ;

î (bîh = bise) ;

u (pu = plus) ;

û (bûz = buse) ;

an (vent, emplir, kwan = quand) ;

on (don = donc, ombre) ;

in (fin = fin, indû, main, imbu) ;

un (a djun = à jeun).

En wallon comme en français, les voyelles nasales sont longues devant une consonne (pint = pinte).

Consonnes.

b,d, j, k, l, m, n, p, r, t, z, ch, comme en français.

s est toujours dur : pasé = passer, Lusèy = Lucie ;

* tch transcrit le son initial de l’anglais Chester ; cp. en français Tchèque ;

* dj transcrit le son initial de l’anglais John ;

gn représente le même son qu’en français dans digne : wall. arègn « araignée » ;

w représente le son intermédiaire du français dans bois et ouate, en wallon bwè et wat ;

y représente le son intermédiaire écrit par y dans yole, yeus et Bayard, par i dans pied et bien, par ill dans bouteille, wall. botèy.

g est toujours dur : gḗr = fr. guerre ;

* représente le son final de mots anglais comme meeting ; il se trouve notamment à Verviers, où l’on dit pèho-ꬻ = liég. pèhon « poisson » ;

h est toujours fortement aspiré ;

* ɦ représente le son des mots allemands comme ich, mich, son qui se retrouve par exemple à Hannut : ouɦ = liég. ouh « porte ».

1. Les tirets dans le corps des mots séparent des lettres qui, réunies, pourraient s’interpréter comme exprimant un seul son : des mots communs au français et au wallon, ainsi bon et bonne, seront écrits bon et bo-n. Nous écrirons de même mohon « moineau », mais moho-n « maison » ; long vôy « longue voie (chemin) » et plonk « plomb », mais verviétois pèho-ꬻ « poisson », maryolin-n « marjolaine » et Madlin-n « Madeleine ».

2. Lorsque la finale d’un mot diffère selon qu’il se trouve au singulier ou au pluriel ou selon que le mot suivant commence par une voyelle ou par une consonne, ainsi dans le cas où son correspondant français est suivi d’une lettre qui se réveille, exemples : ils ont et ont-ils, nous n’écrivons cette lettre que lorsqu’elle existe en réalité et nous la détachons par un seul tiret : i-z on vnou, on-t i vnou ? i-l a vnou, dè bèl-è djôn-è fêy. »

Je me suis conformé au système graphique qui précède, sauf sur les points et pour les raisons qui suivent :

La plupart de ceus qui liront ce livre ne me paraissant pas pouvoir supporter la même dose de radicalisme que les membres d’une société scientifique, j’ai fait trois concessions à leurs habitudes : 1) j’ai rendu le son se entre deus voyelles par ss ou c en suivant l’analogie des mots français correspondants ; 2) j’ai mis un u après le g dur comme en français ; 3) j’ai ajouté des apostrophes après quelques lettres finales que le lecteur aurait pu croire muettes.

L’imprimeur de ce livre n’ayant pas dans ses casses les caractères marqués d’un astérisque dans le tableau que je viens de reproduire, j’ai dû me résoudre aus modifications suivantes : 1) rendre par le même signe œ le phonème qui en français est bref dans je et long dans jeune. Exemples : fœm, où œ a la même valeur que dans œil, et dœr (no 902), où œ est long, le seul cas de tout le volume ; 2) rendre par â (exemple Mârtin 1831), comme c’est l’habitude des écrivains liégeois, l’ ouvert long (en français dans loge) qui se rencontre comme équivalent de â liégeois dans la plus grande partie de la province de Liège ; 3) rendre par é l’é fermé bref (en français dans été) et l’é fermé long (en français dans les mots féminins comme idée). Exemples ; ostè « été » dont l’é est bref et pér « père » dont l’é est long.

Orthographe française.

Je terminerai par quelques mots sur l’orthographe française de ce volume.

Je suis un partisan convaincu de la réforme de l’orthographe et je tiens à prêcher d’exemple.

Ce n’est pas ici le lieu d’exposer toutes les raisons que l’on peut invoquer à l’appui de cette réforme. Qu’il me suffise de développer en quelques mots, pour ceus qui pourraient me trouver, ou trop hardi ou trop timide, les principes adoptés par la section belge de la Société de réforme orthographique qui vient de se fonder.

Nous croyons : 1o que la réforme est nécessaire ; 2o qu’elle doit être modérée ; 3o qu’elle est aisément réalisable.

La réforme est nécessaire, parce que notre manière d’écrire actuelle, vilaine bigarrure de notations contraires à toute philologie sérieuse, embarrasse tout le monde et fait perdre au moins deus ans de sa vie à tout enfant qui étudie notre langue. Rappelez-vous les lettres doubles sur lesquelles vous hésitez chaque jour et les ennuyeuses dictées qui vous ont inculqué, je ne dis pas la règle, mais le sot usage qui prescrit d’écrire landaus et je meus avec une s, mais chevaux et je veux avec une x.

Elle doit être modérée. L’idéal serait certainement de rendre le même son par le même signe ; mais cela est tout à fait irréalisable. Notre manière d’écrire est à ce point vicieuse qu’une réforme phonétique radicale rendrait notre langue complètement méconnaissable. Si, par exemple, pour rendre le son ke qui est actuellement noté de sept manières dans coq, qui, acquérir, choral, kilo, block, nous choissisions le k, nous devrions écrire : kok, ki, akérir, koral, kilo, blok, ce qui me plairait fort à moi, mais choquerait toutes les habitudes des yeus trop conservateurs. Or, tous les sons de la langue sont aussi mal notés que le son ke et si l’on voulait simplement généraliser l’emploi le plus logique de certaines lettres de notre alphabet, le public ne s’y retrouverait pas. Une tentative de réforme phonétique immédiate est donc impossible, sauf naturellement, ainsi qu’on l’a vu plus haut, pour des patois qui n’ont pas encore d’orthographe. Tout ce que nous pouvons faire, c’est, — dans l’intérêt de la culture des masses, — de nettoyer un peu les mots français : enlever les lettres doubles sur lesquelles tout le monde hésite, mettre des accents exacts sur les é et les è, supprimer les bizarreries qui compliquent le plus la grammaire, comme l’usage de l’x muet après u pour s dans chevaux, deux, choux, etc.

Enfin, nous croyons qu’une réforme modérée est réalisa ble si l’on observe la tactique suivante :

1o Faire diminuer l’importance des exercices orthographiques à l’école primaire, et pour cela, obtenir de tous ceus qui ont pouvoir sur l’enseignement public des décisions semblables à la circulaire où M. Léon Bourgeois, le ministre français, interdit de compter comme fautes dans les dictées et examens un certain nombre de graphies raisonnables et qui même prouvent pour l’intelligence de l’enfant ; ainsi, duplicatas comme agendas, restraindre comme contraindre, entrouvrir sans apostrophe, portemonnaie comme portemanteau, chevaus comme landaus, je répons comme je plains, etc., ou les graphies contraires.

2o Introduire effectivement dans l’usage privé, dans les livres quand on le peut, et à l’école quand on le pourra, un très petit nombre de simplifications dans le but de détruire le dogme de l’invariabilité absolue de l’orthographe et de prouver par l’exemple qu’il suffit d’un peu de bonne volonté et de courage pour arriver au but. Ces modifications une fois admises feront passer le reste. Tous les réformistes, quels que soient leurs désirs sur certains points, ont adopté celles qu’a proposées M. L. Clédat, professeur à la Faculté des lettres de Lyon, soit :

1. Remplacer par s tout x final valant s (dis, chevaus), sauf dans les noms de personnes et de lieus.

2. Écrire indifféremment par s ou z tous les substantifs et adjectifs numéraus : deusième, troisième, sisième, disième, disaine ou mieus deuzième, etc.

  1. Questionnaire de Folklore publié par la Société du Folklore wallon. — Liége, Vaillant-Carmanne, 1890. — Un volume de xii-154 pages in-8º. — Pris : cinq francs.
  2. C’est au point que l’on pourrait mettre en note de certaines œuvres wallonnes : « Cette comédie est imprimée en français ; le lecteur est prié de la lire en wallon d’Ans. »
  3. Le Bulletin de Folklore est une revue semestrielle qui sert d’organe à la Société du Folklore wallon. L’abonnement est de sis francs. Il est distribué sans frais aus membres de la Société en retour de leur cotisation de cinq francs.