Le Joujou des Demoiselles/94
(p. 100).
EPITAPHE.
J’ai vécu sans souci, je suis mort sans regret
Je ne suis d’aucuns, car je ne plaint personne.
De sçavoir ou je vai c’est un trop grand secret
Je laise à juger à Messieurs de Sorbonne.
J’ai vécu sans souci, je suis mort sans regret
Je ne suis d’aucuns, car je ne plaint personne.
De sçavoir ou je vai c’est un trop grand secret
Je laise à juger à Messieurs de Sorbonne.