Le Littré de la Grand’Côte/3e éd., 1903/Fendre (se)
FENDRE (SE), v. pr. — Faire acte de générosité. Le père Pourillon vous ferait pas tort d’un sou, mai i n’aime pas à se fendre. S’emploie devant un complément avec la préposition de. Pour la noce de mon neveu Cotivesse, je m’ai fendu d’un cabaret qui m’a coûté douze francs.