Le Littré de la Grand’Côte/3e éd., 1903/Frangin
Apparence
FRANGIN, s. f. — Compagnon, camarade. Ce mot, que les petits journaux ont essayé d’acclimater dans le langage guignol, n’est pas lyonnais ; il est emprunté à l’argot des voleurs. C’est une formation fantaisiste sur frare, frère.