Le Littré de la Grand’Côte/3e éd., 1903/Ju
Apparence
JU, pron. —— C’est je en enclitique. Dis-je devient dis-ju parce que e devient tonique par sa position. Il est alors remplacé par une voyelle plus sonore. « Vous, dis-ju, dont l’âme vigorette cherche toujou, pour pertagé et meurtiplié se n’ardeur, une drole compagnonne… » (Ressit des amours.)