Le Littré de la Grand’Côte/3e éd., 1903/Matthieu salé, macu salé
MATTHIEU SALÉ, MACU SALÉ. — Mathusalem. Déjà Villon avait écrit : « Et Loys, le bon roy de France… — Vive autant que Mathusalé ! » — C’est pas étonnant que celui-là se soye si bien conservé, me disait un bon canut, pisqu’il équiet salé !