Le Livre de l’Atlantide/Les Colonies
Les colonies des Atlantes furent nombreuses. On peut dire qu’ils colonisèrent le monde et s’emparèrent des continents à mesure qu’ils s’élevaient au-dessus des eaux.
On retrouve en Europe, en Asie, en Afrique, dans les îles australiennes, en Amérique enfin, des traces de ces colonies.
En Europe, la presqu’île de Scandinavie fut, au temps où elle était séparée du continent, colonisée, par des Tlavatlis. Elle était, avant eux, peuplée de Lémuriens, des hommes noirs, venus des continents australiens et qui, avant les Atlantes, avaient erré à travers le monde et en avaient colonisé une grande partie. Ces Lémuriens, dont les plus vilains types polynésiens ne sont que les descendants dégénérés, avaient une intelligence vulgaire et des goûts grossiers. Les Tlavatlis se mêlèrent à ces Lémuriens et formèrent ce que nous appelons la rade dravidienne. Tous les types bruns de Scandinavie descendent de ce croisement.
La Bretagne, la Picardie, le Groenland ont été colonisés par la race des Rmoahals. L’homme de Furfooz serait un Rmoahal de la décadence. Sa tête ronde et essentiellement brachycéphale en est le témoignage, car la brachycéphale était la caractéristique des Rmoahals, comme la dolichocéphale était celle des Tlavatlis. L’homme de Cro-Magnon est un tlavatli. Cette émigration Rmoahal en Picardie et en Bretagne n’a rien d’étonnant. Le type breton, avec son visage rougeâtre rappelle étonnamment le type peau-rouge. Et il n’y a point seulement une concordance physique mais aussi une similitude d’usages et de traditions, qui fait que notre Breton n’est que le frère de l’Inca. Mais notre type atlante, acclimaté à l’Europe et sous l’influence d’un mélange de Celtes, s’est peu à peu transformé. On ne retrouve le type Rmoahal que chez les Lapons. Ces petits hommes sont les restes de cette grande race abâtardie et dégénérée. En Bretagne d’ailleurs, les monolithes et les fameuses pierres de Karnac ne sont que des vestiges atlantes. Ces pierres servaient au culte du soleil. Les Basques, les Étrusques sont les descendants des Atlantes sémites. L’Espagne, la Provence et l’Italie avaient été colonisées par eux. Voilà pourquoi les Basques et les Étrusques sont un mystère pour notre science moderne. En effet, leur type rougeâtre rappelle les types américains ; leurs langues ne se rattachant à aucun rameau ethnographique d’Asie ni d’Europe, semblent venir directement d’Amérique. En effet, l’Euskarien, la langue des Basques, ressemble étonnamment au Maya et ne diffère presque point de l’idiome parlé par les peuplades peaux-rouges du Canada.
L’Angleterre primitive avait été habitée par les Rmoahals, puis, il y a environ cent mille ans, une émigration d’Initiés akkadiens vint s’y installer, chassés par les prêtres maudits de la magie noire. En somme, on peut dire que le type européen, aux yeux noirs, aux cheveux foncés, au teint bistre ou rougeâtre, ou cuivre, est un type atlante, plus ou moins bien conservé, par suite des mélanges avec du sang celte. Corses, Basques, Etrusques, Sardes, Bretons, Scandinaves, Lapons sont les descendants de ce fier peuple atlante qui avait dominé le monde ! Ils sont les fils des dieux. Et voilà pourquoi, en Bretagne, en Picardie, on méprise le type blond aux yeux bleus, car les Celtes ont été les envahisseurs et les oppresseurs. Et les fiers Atlantes, vaincus à leur tour, soumis aux Celtes, n’ont point encore pardonné cette insulte à leur dignité de maîtres du monde. C’est là l’origine de cette antipathie que certains types bruns affectent envers le type blond, antipathie encore sensible de nos jours en Bretagne, où subsistent des villages atlantes dont les habitants ne se marient qu’entre eux et qui appellent les blonds les fils du diable. Le type chouan est un type atlante presque pur : le Chouan ressemble au Basque, à l’Étrusque et particulièrement à l’Indien. Ce furent les Initiés akkadiens d’Angleterre qui donnèrent aux druides leur science et les disciplinèrent en collages d’Initiés. La religion des druides vient d’eux. Et voilà la raison de la similitude existant entre la religion des druides et celle des Égyptiens. Toutes les deux sont le produit des conceptions métaphysiques de l’Atlantide, conservées pures par les Initiés.
Les côtes africaines reçurent de nombreuses émigrations atlantes. Les Peules sont les descendants des Tlavatlis mélangés aux Lémuriens. Les Kabyles sont les fils des Atlantes sémites et au Maroc, en Algérie, on retrouve les fils des Atlantes touraniens. Les Arabes sont des produits de Celtes, de noirs et de Sémites atlantes. D’ailleurs, ce type sémite se retrouve en Amérique chez beaucoup d’Indiens. Ils avaient fondé sur la côte africaine de grandes villes. En Tunisie, on en retrouve encore des vestiges, et si l’on opérait des fouilles vers le Sahara, qui était alors une mer, on retrouverait des ruines importantes et monstrueuses de cités atlantes. Les découvertes d’un officier français semblent confirmer que, sur les bords du Sahara, florissait une puissante civilisation préhistorique. En effet, l’Algérie, le Maroc, alors détachés de l’Afrique, formaient une grande île prospère et magnifique. Cette île a été le centre d’une grande civilisation coloniale, par suite de sa proximité avec l’Atlantide. De même, les îles Canaries, les Açores, les îles du Cap Vert ont été colonisées par les Atlantes. Les Guanches en descendent.
Mais la plus belle colonie africaine des Atlantes a été l’Égypte. Elle fut en effet colonisée par les Toltèques, la race atlante la plus intelligente et la plus civilisée. L’histoire de cette colonie est curieuse. Une loge d’Initiés atlantes vint s’y installer, il y a 400 000 ans, chassés de la métropole par suite de la dépravation des mœurs. En effet, la décadence commençait à se faire sentir à cette époque en Atlantide. La magie noire sapait l’empire et fomentait des révoltes. Le trône de l’empereur blanc branlait tandis qu’on lui suscitait un rival, choisi parmi les prêtres du culte maudit.
Cette loge d’initiés devint bientôt prospère, car tous les Atlantes qui, lassés des mœurs nouvelles, craignaient une catastrophe qu’annonçaient d’ailleurs des prédictions, vinrent peu à peu grossir leurs rangs. Il se forma en Égypte un petit royaume, où l’on, appliqua la loi ancienne d’Atlantide. On y établit la morale sur la vieille religion basée sur la communauté des biens et la fraternité des hommes. On y bannit la polygamie. On voulut en un mot y perpétuer l’âge d’or. Elle trouva chez les peuplades noires encore à l’état sauvage qui essaimaient des régions tropicales, des serviteurs fidèles et dévoués. Les Initiés développèrent leur intelligence, leur enseignèrent à vivre selon des lois morales. Et peu à peu la colonie devint immense. On fonda des villes, on construisit des temples formidables, on sculpta dans la montagne des sphinx. La grande pyramide de Gizeh fut construite entre 210 et 200 000 ans. Cette pyramide était un temple secret où l’on recevait l’initiation. Le grand sphinx ailé d’Égypte date aussi de cette époque. Mais comme, loin de se remettre, l’état politique de l’Atlantide ne faisait qu’empirer, la colonie égyptienne se sépara il y a 200 000 ans de la métropole et prit le nom d’empire d’Égypte. Alors il y eut des lois en Atlantide pour défendre aux habitants du continent d’émigrer en Égypte. On déclara la guerre à la colonie. Mais celle-ci, forte et puissante, sut résister et conserver son indépendance. Elle devint alors l’asile de tous les gens qui étaient restés d’une morale pure, l’asile des fidèles d’une vieille tradition, le tabernacle enfin où l’on venait recevoir l’Initiation des vérités tournées en mépris par les Mages Noirs. Mais à peine venait elle de se détacher de la Métropole que le cataclysme d’il y a 200 000 ans eut pour résultat de la submerger. La riante colonie disparut sous l’eau. Les Initiés durent se réfugier dans les montagnes d’Abyssinie qui, seules, pointaient au-dessus de la mer. Ils n’en redescendirent que lorsque les eaux se furent complètement retirées de la vallée du Nil. Des émigrations nouvelles vinrent grossir leurs rangs affaiblis, des éléments toltèques et akkadiens : ce dernier sang modifia le type. Alors, on se mit en devoir de reconstruire les cités détruites, les temples ruinés par les eaux, car seuls les sphinx et la pyramide de Gizeh avaient résisté à ce déluge. On fonda un nouvel empire, et les Initiés prirent le nom de deuxième dynastie divine.
Cela dura ainsi jusque vers l’an 80 000. Un nouveau déluge vint encore submerger l’Égypte à cette époque. Mais il fut de courte durée. On redescendit des montagnes et l’on fonda la troisième dynastie divine. Ce fut à ce moment-là que l’Empereur blanc vint se réfugier en Égypte. Le temple de Karnac date aussi de cette période. Un peu avant l’an 10 000, l’Égypte fut attaquée par les habitants de Poséidonis, qui poursuivaient l’empereur blanc. Il y eut des batailles sanglantes, mais l’Égypte sut les repousser, grâce à l’alliance qu’elle avait conclue avec les autres peuples méditerranéens d’origine atlante ou simplement pélasgique. Les Grecs d’alors, qui étaient des noirs, se battirent courageusement et c’est là l’origine de cette tradition grecque, transmise dans la suite aux émigrations blanches qui ont peuplé la Grèce, que les Grecs avaient, grâce à Minerve, repoussé les Atlantes. On célébrait d’ailleurs à Athènes une fête commémorative de cet événement. Lorsqu’en l’an 9 564, Poséidonis disparut sous les eaux, il y eut en Égypte un nouveau déluge. Ce fut la fin de la dynastie divine. La loge d’Initiés, accablée par les émigrations noires venant du Centre de l’Afrique, ne voulut point retourner en Égypte après la disparition des eaux. Elle émigra dans l’Inde et se réfugia au Thibet. Alors commença la dynastie humaine, dont les descendants furent les Pharaons historiques. Mais l’Égypte conserva des loges d’initiés. Elle redevint florissante, construisit Thèbes, Memphis, endigua le Nil, puis dégénéra, devint la proie de l’empire Éthiopien, reprit son essor sous Ram pour unir historiquement, dégénérée et amoindrie. Les Fellahs sont à l’heure actuelle les descendants des Atlantes. Et voilà comment l’Égypte héritière des Atlantes, a été le berceau de notre civilisation et nous a conservé, sous le triple voile d’Isis, cette science mystérieuse qu’ils comparaient à une liqueur dont l’usage donnait la mort ou l’éternelle jeunesse ! Ainsi ils symbolisaient la Magie, qui avait donné à l’Atlantide sa grandeur mais qui aussi avait été cause de sa ruine, la magie dont la connaissance énivre l’imprudent et le conduit au crime !
En Asie, l’Inde, l’Indo-Chine et la Chine furent des lieux que colonisèrent les Atlantes. Les Rmoahals et les Tlavatlis occupèrent les Indes. Leurs descendants, croisés de Lémuriens et de nègres, ont donné le type dravidien qui lui-même, mélangé au sang aryen, a abouti au type indou actuel. Plus tard, il y eut au Thibet une émigration toltèque, composée presque uniquement d’Initiés. Les fameux Rutasi des légendes indoues en seraient les descendants. Le centre de l’Asie avait été colonisé par les Touraniens. Ils avaient fondé au bord du désert de Gobi, qui alors était une mer, d’immenses villes dont on vient de retrouver des ruines enfouies sous les sables. Il y eut en Chine une civilisation florissante du temps des Touraniens. Les Toungouses et autres peuplades actuelles de l’Asie centrale sont les fils de ces colons, des abâtardis par des mélanges avec du sang mongol et aryen. Quant aux Sémites atlantes, ils avaient fondé d’importantes colonies dans les vallées de l’Euphrate et du Tigre. Les peuples sumero-akkadiens étaient leurs descendants et les mages de Khaldou les revendiquaient comme pères. Quant aux Phéniciens, ils étaient des sangs mêlés de Sémites et de noirs. Le peuple mongol, né en Asie et que l’on rattache aux races Atlantes, occupa la Chine. Les Hongrois ne sont que des mélanges de Mongols et d’Aryens, les Malais des mélanges de Mongols et de Lémuriens. Quant aux japonais, ils semblent provenir d’un mélange de Mongols, de Touraniens et de Toltèques. On retrouve encore du sang tlavatlis chez les Siamois et les Birmaniens qui sont des croisés de Mongols, de Tlavatlis et d’Aryens.
L’Amérique a été colonisée une des premières par les Atlantes, et l’on peut dire que les Peaux-Rouges en sont presque tous les descendants dégénérés. Les Patagons sont les restes actuels des Tlavatlis. On retrouve le type sémite chez les naturels de la vallée du Mississipi. Quant aux Mongols, des émigrations importantes par le détroit de Behring ont colonisé le Nord de l’Amérique, à mesure qu’il s’élevait au dessus des eaux. La principale de ces émigrations mongoles fut celle des Kitans. Elle eut lieu il y a 300 000 ans. Ces Mongols se mêlèrent aux Tlavatlis et aux Toltèques et donnèrent ce type peau-rouge à yeux bridés du lac Michigan.
Mais les deux grandes colonies atlantes d’Amérique furent celles du Pérou et du Mexique. La civilisation des Incas fait pendant à celle d’Égypte. Les Incas étaient des Toltèques. Ainsi s’expliquent les grandes ressemblances au point de vue mœurs et art qui existent entre les Péruviens et les Égyptiens, Ces deux peuples sont frères et tous les deux, sont les descendants les plus purs et les plus directs des Atlantes. En Amérique, les Incas ne se mariaient qu’entre eux et un fils du soleil ne pouvait accepter l’amour d’une fille des hommes. Cette coutume avait pour raison de perpétuer la race toltèque dans toute sa pureté et ne point l’abâtardir par des mélanges avec les autres peuples. Aussi la civilisation des Incas est la révélation de celle des Atlantes et la reflète jusque dans ses moindres détails.
Les Toltèques du Mexique ont moins bien conservé que les Incas les caractères physiques et intellectuels de leur race primitive. Cela tient à ce qu’ils ont accueilli une forte immigration aztèque et n’ont pas craint de se croiser avec eux. Cette immigration aztèque eut une influence considérable sur les Toltèques du Mexique. Elle en a modifié le type et les mœurs. Puis, il y eut plus tard un apport appréciable de Boréens parmi les Toltèques du Mexique. Ces Boréens venaient du nord de l’Europe, peut-être du pôle Nord. Il y a huit mille ans qu’ils ont commencé à essaimer en Europe et en Asie, laissant sur leur passage des îlots d’hommes à teint blanc, à cheveux blonds, à yeux bleus. Certains groupes de Boréens ont gagné l’Amérique, soit par les terres glacées qui alors reliaient l’Europe à l’Islande et l’Islande au Groenland, soit par le nord de l’Asie et le détroit de Behring, car dans les îles du japon, on retrouve en certains endroits des types boréens primitifs. Donc les Boréens, qui sont nos ancêtres, sont aussi les pères de tous les types à peau blanche d’Amérique. Ces types ne descendent point des Atlantes, comme on l’a prétendu. L’Atlantide ignorait Borée et pour elle, dont le rouge était la teinte nationale, le type pâle ou blanc était représenté par les jaunes d’Asie et d’Europe. Ce sont d’ailleurs les Boréens qui ont importé au Mexique les rites sanglants des Druidesses et certains idiomes à base celtique. Les tribus du Dakota, du Mandan, du Zuni, du Menominec, sont filles de Borée. Plus tard, des navigateurs normands ont abordé en Amérique et y sont restés.
Comme on le voit, peu importent les déluges, l’Atlantide a subsisté, à travers le monde. Elle y a subsisté par ses colonies, qui ont été les foyers de la civilisation antique. Pieusement, Noirs, Jaunes, Blancs, sont venus successivement écouter les traditions des Rouges qu’enseignaient les enfants de Noé échappés au déluge ; les fils de Cham, symbole des Égyptiens, des Peules, des Phéniciens ; les fils de Sem, symbole des Sumero-Akkadiens et des Indous ; les fils de Japhet, symbole des Étrusques et des Basques. Ils sont venus chercher le verbe en Orient, au nœud qui reliait l’Afrique, l’Asie et l’Europe, parce que c’était là, dans les terres saintes d’Égypte et de Palestine, que les hommes rouges avaient jeté les germes des civilisations futures. C’était là qu’avait abordé, disait la tradition, l’Arche de Noé, qui contenait tous les types de la vie, toute la graine du futur. C’était là qu’était apparu Oannès, le dieu poisson qui avait enseigné aux hommes l’art d’écrire et de sculpter dans la pierre les grands taureaux ailés. C’était là que se dressaient les grandes pyramides, le grand sphinx ailé, et le vaste temple de Karnac. Et le sphinx était le symbole de la science atlante, qui avait résisté aux déluges, aux insultes du temps, aux malédictions des hommes, comme lui depuis 200 000 ans résistait aux tempêtes de la mer noyant l’Égypte, aux ouragans de sable du désert, à l’acide des temps, aux coups de pioches des profanes, toujours impassible, ruminant toujours la même pensée ! L’Égypte, fille préférée des Rouges, a été notre initiatrice. Les Grecs sont ses fils, les Hébreux sa propre chair et l’Inde a été le tabernacle où s’est réfugiée son âme, lorsque les envahisseurs noirs ont voulu l’étouffer. C’est d’Égypte que nous sont venus les fleurs du bien et du mal, les arbres de vie, les arbres de science. Elle a nourri Moïse et Orphée. Et ses disciples ont été Ram, Fohi, Khristna, Zoroastre, Platon, Pythagore, Jésus. Tous ont été les Initiés de ses temples, qui contenaient, cachée, sous un triple voile, Isis, la vertu, la déesse mystérieuse des Atlantes.
Donc nous vivons sur la tradition des Atlantes. Leurs dogmes sont nos dogmes. Ils ont été la révélation. Notre mythologie raconte leurs exploits, nos religions les vénèrent, car ils ont été les Dieux honorés et maudits, les dieux de chair qui ont appris aux hommes à écrire, à tailler la vigne, à fabriquer le vin doux qui énivre, à dompter le cheval fougueux, à construire des temples, à sculpter des sphinx et à contempler la nuit le ciel étoilé ! Ils ont été les anges déchus qu’a tentés le démon de l’orgueil et que les fleurs empoisonnées, les fleurs maudites de la magie noire, ont énivrés de leur voluptueux arôme ! Et ces fleurs perfides les ont fait périr eux les immortels !
Gardons-nous donc de ces fleurs du mal qu’hélas ils nous ont assez léguées. Elles contiennent la mort parce qu’elles sont entachées d’orgueil ! Détruisons les racines du fameux pêché originel qui accable encore de son poids l’humanité et saluons dans les Atlantes, la Révélation.