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Le Système de Descartes/Table analytique

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Texte établi par Léon RobinFélix Alcan (p. TA).

TABLE ANALYTIQUE


Acontius, 31.
Adventice. Cf. Idée.
Affectivité, 284-285 ; la part du psychologique et du physiologique dans l’affectivité, 365-367
Algèbre : comment Descartes la juge, 52 sq. ; comment il la réforme, 54
Âme : son existence est-elle établie par le cogito ? 126 ; son immortalité, 255-257 ; sa substantialité, 257 ; son indivisibilité, 258-259 ; distinction d’avec le corps, 258 sq. ; création séparée de l’âme et du corps, 262-263 ; problème de la possibilité d’une interaction de l’âme et du corps, 274 ; union de l’âme et du corps, ch. xviii, 273 sq. ; l’âme pense toujours, 343 ; classification des phénomènes de l’âme ; âme active et âme passive, 352 ; mécanisme de l’action de l’âme sur le corps, 370 ; lutte de l’âme contre les passions, 368-371
Analyse des anciens, 55-50
Analyse des géomètres : comment Descartes la juge, 52 sq. ; comment il la réforme, 54 ; ce qu’il en attend, 57
Analyse et synthèse, 56-58, 39.
Animaux machines, 341
Antiquité (philosophes de l’), en quel sens il est vrai de dire que Descartes les continue, 8-9
Aristote comparé à Descartes à propos de la théorie du mouvement, 317, 321-322 ; de la psychologie, 348-351 ; de la morale, 384
Arnauld, 122, 139, 176, 194, 214-215, 223 ; sa controverse au sujet de la distinction de l’âme et du corps, 266-269
Art 375-376.
Associationnisme (négation de l’), 347-348
Association par contiguïté, 363.
Astronomes : ce que leur doit Descartes, 7.
Attention : son rôle dans la recherche du vrai, 165.
Augustin (Saint), est-il le père du Cogito ? 122
Autorité renversée par la méthode cartésienne, 150, 158


Beau (définition du), 375
Bien : le souverain bien défini par la perfection, 379-381
Bonheur et béatitude. 379-380
Bonté de Dieu. 226-227, 299-300
Caractéristique universelle (idée d’une), 44, 60, 149
Cartésianisme : ses caractéristiques les plus remarquables, 2-3 ; son plan systématique, 19-21
Caterus, 208, 215 ; sa controverse sur les preuves de Dieu par ses effets, 195-197
Cause (idée de) 187, 215-216.
Cercle cartésien, 138 sq.
Certitude (la), ch. xi, 152 sq.
Charron : est-il un précurseur du doute cartésien ? 4
Choc (lois du), 326-331.
Clair. Cf. Idée.
Choses matérielles : leur existence, 244 sq
Cogitationes privatæ, 35 sq.
Cogito (le) : ses rapports avec la règle de l’évidence, 103-105 ; sa signification, 124 sq. ; antécédent du cogito chez saint Augustin, 122 ; le cogito établit-il l’existence de l’âme, 126 ; être posé par le cogito, 130 ; exposés divers du cogito, 131 ; le cogito est un raisonnement, 131 sq
Compendium musicæ, 38.
Confus. Cf. Idée.
Connaissance (théorie de la), 87, 97-98 ; possibilité et relativité de la connaissance humaine, 233 ; connaissance et existence, 141 ; connaissance intuitive et connaissance discursive, 140-143 ; connaissance discursive et connaissance par les sens, 146.
Considérations générales sur les sciences, 38
Corpuscules (Théorie corpusculaire), 336-337
Création (idée de la), 225-226.
Création continuée, 306-307.
Créatures : leur réalité, 306-308.


Déduction : sens de ce terme chez Descartes, 79 ; la déduction opposée à l’intuition, puis ramenée à l’intuition, 80-82 ; déduction et syllogisme, 89-91. Cf. Syllogisme
Democritica, 37.
Descartes : sa biographie, 10-15 ; ordre chronologique du développement de sa pensée selon l’affirmation de Descartes lui-même, 21-22 ; critique de cette affirmation par Liard, 22-26 ; et critique de la thèse de Liard, 26-29
Déterminisme : l’esprit déterministe dans le cartésianisme, 308 ; pas de déterminisme psychologique chez Descartes, 347-348
Dieu : idée de Dieu, 191 ; Dieu, cause de soi, 215 ; idée de la nature de Dieu, 217-220 ; nous ne connaissons pas Dieu par intuition, mais par le raisonnement seul, 218 : unicité de Dieu, 220, 303 ; Dieu et l’étendue, 220-223 ; Dieu et la durée, 223-224 ; sa simplicité et sa personnalité, 225 ; Dieu créateur, 225-226 ; créateur du mouvement, 314, 319 ; sa bonté, 226-227 ; son infinité, 227-230 ; son omnipotence, 231-234 ; le caractère insondable de ses fins, 299-300 ; sa liberté absolue, 303 ; son immutabilité, 314 ; sa prescience, 371
Dioptrique, 331, 340, 355.
Discours de la méthode : insuffisances du livre avouées par Descartes, 62-63 ; la méthode s’y trouve à l’état à peu près pur dans la 2e partie, 95
Distance (perception de la), 355-356.
Distinct. Cf. Idée
Doute méthodique, ch. viii, 107 sq. ; le doute méthodique différencié d’avec le doute des sceptiques, 108 ; ses limites, 110 sq. ; les raisons de douter, 115.
Dualisme cartésien, 169-172 ; ses difficultés, 274.
Dynanisme et mécanisme (réflexions de l’auteur), 315,316.
École (philosophes de F), sont-ils des précurseurs du cartésianisme ? 2, 5-6 ; pour les rapports du cartésianisme et de la philosophie de l’École. Cf. Scolastique.
Élasticité des corps : elle est niée à tort par Descartes, 329, 330, 331.
Énergie (la notion d’), 324.
Entendement, 65 ; sa nature, 155.
Énumération (règle de l’), 72-73.
Erreur : causes d’erreur dans les idées, 111, 112 ; l’erreur formelle n’existe que dans le jugement, 157 ; théorie de l’erreur, 161, sq. Cf. faute.
Esprit : indivisibilité de l’esprit, 171 ; Dieu est esprit, 221 ; esprit parfait et esprits imparfaits, 223-224 ; opposition de l’esprit et des corps. 251.
Esprits animaux, 362-363 ; action de l’âme sur eux, 370.
Essences, 153 ; passage de l’essence à l’existence, 209-210. Cf. Substance.
Étendue et pensée, 170-173 ; l’étendue est une imperfection, 221 ; e de l’étendue, idée claire et distincte par excellence, 242 ; létendue est la substance des corps, 333 ; elle est caractérisée par l’impénétrabilité, 334.
Éternité de Dieu, 223-224. Cf. Vérités éternelles.
Être : être posé par le cogito, 130-131 ; rationalité de l’être, 142, 148.
Études de Descartes, 11-15.
Évidence (règle de), sa nature spéciale, 64, 101 ; son sens, 142 ; sa portée, 149 sq. ; est-elle antérieure au cogito ? 103-105.
Existence et connaissance, 141 ; l’existence est-elle une perfection ? 212-214.
Expérience : son rôle, 74-77.
Experimenta, 36.
Faute : la faute est une erreur, 160, 374.
Finalité et mécanisme, 291-297 ; la finalité par rapport à l’homme, 297-300.
Force (définition de la), 325.
Gassendi, 61, 109-110, 139, 164, 194, 235-236. 270 ; sa constroverse au sujet de la preuve ontologique, 212-213 ; de la distinction de âme et du corps, 263-266 ; Gassendi défenseur de la théorie corpusculaire, 336.
Géométrie, 62, 312.
Glande pinéale, 273.
Göttingen (manuscrit de), 202, n. 1.
Histoire (mépris de l’), 149.
Hobbes, 128, 194, 263.
Hyperaspistes, 161, 164, 253.
Hypothèse : son rôle, 76.
Idéalisme : Descartes fondateur de l’idéalisme moderne, 128 ; idéalisme et réalisme chez Descartes, 168, 179, 182, 206 ; interprétation de l’idéalisme cartésien et idéalisme kantien, 243.
Idée (réalité formelle et réalité objective de l’), 186-187; explication de cette réalité objective, 188-189. — Idées : le doute ne porte pas sur elles, mais il est possible qu’elles soient fausses, 111, 112 ; leur nature, 155; classification des idées, 175 ; idées des choses corporelles, 190. — Idées adventices : leur considération ne mène à rien, 185 ; — Idées claires et distinctes : leur définition, 137 ; leur rôle dans la démonstration de l’existence des corps, 251-252. — Idées confuses : leur définition, 285. — Idées innées, 175 sq.
Image, 352-353.
Imagination mise au nombre des facultés accessoires, 65 ; distinction de l’imagination d’avec la perception, 237-240 ; d’avec l’entendement, 96, 260 ; théorie de l’imagination, 284, 353.
Immortalité de l’âme, 255-257.
Immutabilité divine, 314 ; immutabilité des vérités éternelles, 233.
Impénétrabilité : caractéristique de l’étendue, 334.
Inconnaissable (négation de l’), 169.
Indivisibilité de l’esprit, 171; de l’âme, 258-259.
Induction, 73.
Inédits (ouvrages inédits de Descartes), 36.
Inertie (loi de l’), 320-321.
Infaillibilité dans la connaissance d’une nature simple, 87; infaillibilité de la sensation, si on n’y ajoute rien, 75, 111.
Infini (idée de l’), 191-192; distinction de l’indéfini et de l’infini, 228-229. Cf. Dieu, Preuves.
Inné. Cf. Idée.
Inquisitio veritatis, 50, 88, 89, 99, 102, 131, 132.
Intention : son rôle dans la morale, 381-382.
Intuition : sa définition, ses caractéristiques, 84-85; intuition distinguée du jugement, 83; intuition et déduction, 79-81 ; intuition et connaissance discursive, 140-143.
Invention permise par l’analyse, 57.
Jésuites : leur enseignement, 12 sq.; opinion de Descartes sur cet enseignement, 11.
Jugement : dans le jugement seul peut se rencontrer la fausseté, 111, 157 ; spécificité du jugement, 156 ; le jugement, acte de la volonté, 158.
Liard : sa thèse sur la priorité de la physique cartésienne, 22 sq.; objection à la preuve de Dieu par l’idée du parfait, 198-199.
Liberté, 371-374; texte délèbre sur la liberté, 160-161; la place faite à la liberté dans le cartésianisme, 308; liberté divine et vérités éternelles, 230-234; liberté absolue de Dieu, 303.
Logiciens : ce que Descartes leur a emprunté, 58.
Logique : opinion de Descartes sur la logique, 50-52 ; Descartes a-t-il écrit une logique ? 61, 62 ; la logique de l’intelligence, 346.
Mal (problème du), 301-302.
Malebranche, 242, 253.
Malin génie (hypothèse du), 116 sq., 143.
Manuscrit de Göttingen, 202, n. 1.
Masse (notion de), 323.
Mathématiciens : ce que leur doit Descartes, 6-7.
Mathématiques : notion d’une mathématique universelle, 93-94 ; les mathématiques sont-elles accessibles au doute ? 116, 137 ; mathématique cartésienne, 311-313.
Matière (théorie de la), ch. xxi, 332 sq.
Mécanisme : idée de l’explication mécanique des phénomènes, 315 sq.
Méditations : composition, 23 sq. ; y trouve-t-on l’exposé de la méthode ? 62 ; titre complet de la 1re édition des Méditations, 94 . — 6 e Méditation, 244 sq.
Mémoire : mise au rang des facultés accessoires, 65. Elle intervient nécessairement dans la déduction, 80-81 ; elle a besoin d’un garant, 141 ; ce garant est la véracité divine, 146 ; psychologie et physiologie de la mémoire, 353-354.
Métaphysique : elle est au début de la philosophie, 20 ; son orientation principale, 94-95 ; son lien avec la morale, 382-383.
Météores, 340.
Méthode : est-elle indépendante de la métaphysique ? 29 ; ouvrages du temps de Descartes traitant de la méthode, 31 ; premières ébauches de la méthode, 33 sq. ; découverte de la méthode, 40 sq. ; origines doctrinales de la méthode, ch. iv, 45 ; où la méthode est exposée, 61 sq., 95 ; plan de la méthode, 66 ; essence de la méthode, 69 ; procédés capitaux de la méthode, 70-73 ; procédés accessoires, 73-74 ; méthode et théorie de la connaissance, 97-98 ; la méthode est-elle antérieure à la métaphysique, 99 sq. ; la méthode peut-elle se poser sans supposa P une autre méthode ? 103, 105-106 ; méthode et mathématique, 310-311.
Modes de la pensée, 127.
Monde (Traité du), 27.
Monothéisme cartésien, 303.
Montaigne : est-il un précurseur du doute cartésien ? 4.
Morale provisoire et morale définitive, 378.
Morus, 222.
Mouvement (théorie du), 314-331 le mouvement local, unique mouvement, 317 ; définition du mouvement, 317-318 ; causes du mouvement, 319 sq. ; lois du mouvement, 320 sq. ; distinction du mouvement et de la détermination du mouvement, 326.
Nature : ce qu’elle est, 247. — Natures simples, 85-88. — Naturae particulares, 179. — Nominalisme cartésien, 179.
Occasionnalisme en germe dans le cartésianisme, 275-276.
Olympica, 40, 41, 42, 43.
Ontologique. Cf. Preuve.
Optimisme cartésien, 300-302.
Opuscules de la jeunesse de Descartes, 35 sq.
Ordre (règle de l’observation de l’), 71.
Panthéisme : Descartes est-il panthéiste ? 305-309.
Parfait (idée du), 194-195 Cf. Dieu, Preuves.
Parnassus, 89.
Passions : leur définition, 358-362 ; classification des passions, 364 ; bonté des passions et leurs
dangers, 368; lutte de l’âme contre les passions, 368-371.
Pensée : ses modes, 127 ; conception cartésienne de la pensée, 169 sq. ; définition de la pensée, 180 ; pensée individuelle et pensée absolue, 205-207 ; existence d’une pensée pure et sans organes, 259-260.; pensée imaginative, 284 ; développement logique des pensées, 346 ; physiologie de la pensée, 348-350.
Perception : sa distinction d’avec l’imagination, 237-240 ; la perception est une interprétation et une construction, 351.
Perfection et réalité, synonymes, 220 ; la perfection morale, 380-381.
Personnalité de Dieu, 225.
Pesanteur comparée dans les objets qui y sont soumis à l’âme qui fait mouvoir les corps, 279-280.
Phénomènes : réalité empirique des phénomènes saisis par les sens, 240. — Phénomènes psychiques : ont-ils un privilège de réalité supérieure ? 241-242 ; le phénomène intellectuel, le plus fondamental des phénomènes psychiques, 357.
Physiciens : ce que leur doit Descartes, 7-8.
Physiologie de Descartes, 273 ; physiologie de la pensée, 348-350.
Physique : est-elle chronologiquement antérieure à la métaphysique ? 22 sq.; ses problèmes sont-ils des problèmes parfaits ? 74-75; la physique, nécessaire pour fonder l’immortalité, 257 ; lien de la physique et de la méthode, 310 ; lien de la physique et de la métaphysique, 310 sq. ; comment y a-t-il place dans la physique pour le mouvement indépendant par lequel se manifeste la liberté ? 372.
Plaisir et plaisirs, 379-380.
Praeambula, 37.
Précurseurs du cartésianisme, 2 sq.
Prescience divine, 371.
Preuves de Dieu par l’existence en nous des idées d’infini et de parfait, 191-192 ; par le fait que nous existons, 192-193 ; objections et réponses, 193 sq. ; importance comparée des preuves de l’existence de Dieu, 201. —
Preuve ontologique, 203 sq.
Principe de contradiction renversé du fait du libre-arbitre divin, 232.
Problèmes parfaits et problèmes imparfaits, 67-68.
Psychologie : y a-t-il une psychologie cartésienne ? 342-343 ; méthode de la psychologie, 343-344 ; Descartes inaugure une psychologie discursive et analytique, 350 sq. ; ordre des questions dans la psychologie de Descartes, 358. Cf. Phénomènes.
Qualité, 285.
Rabier : son objection a la preuve de Dieu par le fait de notre existence, 198.
Raison (autonomie de la), 159.
Ramus est-il un précurseur de Descartes ? 4.
Réalité. Cf. Perfection.
Recherche de la Vérité par la lumière naturelle, 50, n. 1.
Réflexe (action), 352, 359.
Régius, 266.
Règles de l’observation de ordre, 71 ; de l’énumération, 72-73 ; de l’évidence, 64, 101, 103, 148 sq.

Regulæ : date de leur composition, leur authenticité, 45 sq. ; y trouve-t-on l’exposé de la méthode ? 62-63 ; le plan des Regulæ nous donne celui de la méthode, 66-68 ; les Regulæ contiennent la théorie de la connaissance, 97 ; correspondances entre les Regulæ et le Discours, 68, 72.
Relativité de la connaissance humaine, 233.
Renaissance (philosophes de la) : sont-ils des précurseurs du cartésianisme ? 3-4.
Réponse au placard de Régius, 177, 178, 276.
Repos : l’état de repos d’un corps est une force tout comme le mouvement, 325 ; une force évaluable, 328.
Résistance (négation de la), 334.
Révélation (Descartes et la), 255.
Rêves, 115.
Scolastique (Descartes et la) : au sujet de la logique, 88, 101 ; de la définition de la vérité, 154 ; de l’idée de Dieu, 218-219 ; de la distinction de l’âme et du corps, 259-260 ; de leur union, 283-289 ; de la finalité, 291 ; de la théorie du mouvement, 317 ; de la théorie de la matière, 336 ; de la psychologie, 348-351.
Sociales (sciences) et sciences historiques condamnées par le critère de l’évidence, 149.
Sens et Sensation : infaillibilité de la sensation, si l’on n’y ajoute rien. 75, 111 ; explication et critique de la foi au témoignage des sons, 114-116, 245 ; les sens ont besoin d’un garant, 144 ; ce garant est la véracité divine, 145 ; ils nous donnent des indications utiles pour la vie, mais ne sont pas faits pour nous apprendre la vérité, 333.
Sentiments (affectifs et représentatifs), 284-285.
Simplicité de Dieu, 225.
Spinoza : son interprétation du cogito ; Spinoza comparé à Descartes à propos de la théorie de la certitude, 155-156 ; de la conception de la pensée, 170, 172 ; des idées innées, 179 ; de Dieu, 302-304 ; de la substance, 306 ; de la substance divine, 307. — Spinozisme en germe dans la pensée de Descartes, 274-275.
Stoïciens : leur morale comparée à celle de Descartes.
Studium bonae mentis, 27, 40.
Substance (théorie de la), 304-306 ; définition de la substance divine, 307-309 ; la substance identifiée à l’essence, 269 Cf. Essence.
Substantialité de l’âme individuelle, 257.
Syllogisme : ce que Descartes lui reproche, 57, 88-89 ; syllogisme et déduction, 89-91.
Synthèse, 56, 79.
Temps : sa nature quantitative, 223.
Thaumantis regia, 38.
Thomas (Saint) : est-il un précurseur du Cartésianisme ? 5 ; L’idée cartésienne de la vérité lui est empruntée, 154 : professait la théorie de la création continuée, 307.
Tourbillons (théorie des), 338-340.
Traité de l’homme, 354.
Traité du monde, 336, 354.
Travail (la notion de), 324.

Ubiquité de Dieu, 220-223.
Unicité de Dieu, 220, 303 ; de la substance, 305.
Veille (état de), 115.
Véracité divine, 138, 144 sq. ; elle est nécessaire pour garantir l’existence des choses matérielles. 246, 252-253.
Vérité : sa définition, 153 ; la vérité, idée naturelle et innée, 154 ; son caractère personnel, 159 ; impersonnel, 160. — Vérités éternelles 230-234.
Vertu : sa définition, 381.
Vide (négation du), 334.
Vitesse (notion de), 319.
Volonté, 347, 367-371 ; le jugement est un acte de la volonté, 158.