Leibniz-en.francais-Gerhardt.Math.1a7.djvu/Jean.Bernoulli.1684

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(et ses correspondants)
Jean Bernoulli et le
Nova Methodus pro maximis et minimis de 1684[1]
Texte établi par C.I. Gerhardt (GM3ap. 5).
  1. Tiré par Gerhardt d'une notice autobiographique de Jean Bernoulli, dont Rudolf Wolf avait publié des extraits dans les Mitteilungen der Naturforschenden Gesellschaft in Bern, 1848, p. 218 (en ligne sur e-periodica.ch et sur Wikisource).
    Source : Leibnizens mathematische Schriften, tome 3a, p. 5.


« Après ces commencemens, par un hazard imprévu nous tombâmes conjointement mon frère et moi sur un petit écrit de Mr. Leibnitz inséré dans les actes de Leipzic de 1684, où en 5 ou 6 pages seulement il donne une idée fort légère du calcul différentiel, ce qui était une énigme plutôt qu’une explication ; mais c’en était assez pour nous, pour en approfondir en peu de jours tout le secret, témoin quantité de pièces que nous publiâmes ensuite sur le sujet des infiniment petits. »