Les Œuvres et les Hommes/À côté de la grande histoire/XVII

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Alphonse Lemerre, éditeur (p. 233-246).

ROYALISTES ET RÉPUBLICAINS[1]



I

Ce livre, que l’auteur appelle avec juste raison une Étude historique et non pas une histoire, a fait quelque impression. Écrit pour les journaux et par un journaliste, les journaux lui ont fait écho. Ils ont tout de suite reconnu que l’auteur était de la famille. On a cité ce livre, qui, au fond, n’en est pas un… Il a eu son succès, ce succès d’un jour qui marque sur le cours de l’opinion, comme une feuille qui y tombe marque sur le ruisseau qui coule et qui l’emporte. C’est la destinée, du reste, de livres pareils. Faits spécialement pour le quart d’heure, que deviennent-ils, le quart d’heure passé ? Quel que soit le talent dont elles peuvent briller, ces espèces d’Études historiques nées à propos d’une question contemporaine, filles de l’occasion politique, ne valent pas pour la durée le moindre livre d’histoire. Pour qu’on revienne avec goût à ce genre de littérature, qui vieillit comme la politique elle-même, c’est-à-dire plus vite que les autres choses humaines, il ne faut rien moins que du génie. Joseph de Maistre et Burke ont eu cette fortune et ce privilège d’arrêter sous le regard de la postérité cette chose fugace, la brochure politique. Ils ont donné de la densité et de la fixité à cet éclair. Rare privilège ! Swift, ce pamphlétaire redoutable ; Junius, ce bourreau masqué, comme celui qui trancha la tête de Charles d’Angleterre ; Swift et Junius eux-mêmes ne l’eurent pas. On ne les lit que pour le bruit qu’ils firent. On ne les lit plus pour ce qu’ils sont.

Mais Thureau-Dangin n’est point de cette race. C’est un journaliste plus modeste et plus doux que ces journalistes éclatants dont les noms éclairent encore les œuvres mortes et les font regarder. Il n’a rien de commun avec ces lions, Burke et de Maistre, ni avec ces tigres, Swift et Junius. Il n’a point cette griffe que certains hommes mettent dans tout ce qu’ils écrivent. La griffe n’est point en lui, mais des facultés, rondes comme des pattes : le bon sens, mais qui ne devient jamais le grand sens ; la justesse du coup d’œil, qui voit bien ce qu’elle voit, mais qui n’en voit pas long… Esprit honnête, qui a beaucoup mangé, m’a-t-on dit, à la mangeoire du Correspondant. Ceci peut donner assez exactement la mesure de Thureau-Dangin et le ton de ses opinions. Son livre de Royalistes et Républicains[2], qui n’est qu’un livre de circonstance, aurait pu cependant s’élever plus haut que la circonstance qui l’a inspiré. Il aurait pu sortir du relatif d’une question contemporaine pour entrer dans l’absolu d’une conclusion historique, qui pourrait bien être une loi de l’histoire. Eh bien, il ne s’en est pas même douté ! Aveuglé par la question présente, esclave d’une opinion politique en harmonie avec la portée de son esprit, — car, il ne faut pas s’y tromper, l’opinion politique de la plupart des hommes est une affaire de naissance ou de facultés, c’est-à-dire de naissance encore, — l’auteur de Royalistes et Républicains n’a pas su conclure, dans son livre, contre l’opinion que les faits et les observations de son livre auraient dû renverser. Et c’est ainsi qu’il est allé jusqu’au bord d’une vérité dans laquelle il fallait se jeter avec courage, et qu’après son étude il est resté Gros-Jean… Gros-Jean politique comme devant !

II

Et encore, un Gros-Jean, c’est bien gros ; c’est Jean-Jean peut-être qu’il faudrait dire, car il y a quelque chose de mince, de naïf, — de conscrit, enfin, — dans l’idée, vieillotte à force d’être jeune, après tant et tant d’expériences, que le juste milieu gouvernemental et parlementaire, le juste milieu des choses et des hommes exactement pratiqué, est pour notre pays l’idéal du gouvernement moderne. Telle est, dans son livre, implicitement, sinon expressément contenue, la thèse de Thureau-Dangin, qui n’est pas nouvelle, comme vous voyez, puisque nous la discutons, logiquement ou en fait, depuis plus de trois quarts de siècle. Mais Thureau-Dangin est, à ce qu’il paraît, un parlementaire incorrigible même à l’histoire, — même à l’histoire qu’il sait et qu’il écrit ! À partir de la Révolution française, de cette révolution qui, en faisant souvent mine de mourir, mais ne mourant jamais, nous a légué, pour nous consoler de sa perte momentanée, le parlementarisme, ce joli enfant de sa façon, qui nous ramènera toujours, dans un temps donné, à sa mère, si nous sommes assez aveugles pour nous fier à ce charmant petit, Thureau-Dangin a compté sur ses doigts le nombre de fois que la pierre de ce Sisyphe infortuné, qui a tant essayé de la mettre en équilibre, lui est retombée sur les pieds, mais il n’a jamais pensé que ce fût la faute de l’équilibriste ou de la pierre. Pour Thureau-Dangin, ce jeu, sans fin en ce moment encore, aurait eu son accomplissement et son triomphe sans les partis extrêmes qui à toutes les époques ont tout empêché, tout bouleversé, rendu tout impossible ; et c’est contre les partis extrêmes qu’il élève son livre. Et quand je dis les partis extrêmes, entendez surtout le parti royaliste ! Il a bien mis, il est vrai, dans son titre : Royalistes et Républicains, ce qui semble faire un équilibre et ce qui n’est qu’un trompe-l’œil, mais c’est particulièrement dans le parti royaliste qu’il a contemplé les partis extrêmes ; c’est pour le parti royaliste qu’il a été d’une sévérité implacable et menaçante, glissant beaucoup plus sur les républicains, comme il convenait, du reste, à de petites entrailles parlementaires qui doivent se sentir des miséricordes de parenté pour tout ce qui touche à la révolution !

Mais qu’importe, d’ailleurs ! Qu’importe cet inconséquent manque de juste milieu, dans un homme de juste milieu faisant une justice historique ! Pour nous, c’est plus piquant comme cela… Et, de plus, la question est plus haute que de telles misères… Oui ! cela n’est pas douteux, oui ! cela est avéré, ce que vous dites. Oui ! cela est certain que, depuis que nous avons passé par des gouvernements d’Assemblées, le parti royaliste a, par l’inflexibilité de ses principes… ou de ses passions, fait échouer toutes les combinaisons, excepté celle des plus monstrueuses coalitions avec ses plus mortels ennemis contre le gouvernement parlementaire, ce château de cartes de la difficulté politique ! Sous le Directoire et jusqu’au 18 Brumaire, le parti royaliste fut, par royalisme, le plus grand obstacle qu’il y eût à cette monarchie à trois pouvoirs que les hommes de milieu, les modérés de ce temps, voulaient déjà faire succéder à cette monarchie de droit divin, noyée dans le sang de Louis XVI. Plus tard, quand fut fini le magnifique épisode de l’Empire qui, tout le temps qu’il dura, sut fort bien se passer, lui, de vos petites combinaisons et ne connut d’équilibre que celui qu’il fit perdre à toute l’Europe, le Royalisme de la Restauration recommença ce que le Royalisme d’après Thermidor avait fait ; comme aujourd’hui, dans l’effroyable situation où la révolution, la guerre, tous les malheurs et toutes les anarchies ont mis la France, il est prêt à le recommencer encore !  !  !

Et l’auteur du livre que voici, et qui a bien choisi son moment pour le publier, l’a montré avec une évidence que personne ne sera tenté de nier. Il l’a montré d’après les faits et aussi d’après les hommes qui les jugèrent, ces faits, ou qui se mesurèrent avec ces faits pour en être vaincus et terrassés. Mallet-Dupan, dans lequel Thureau-Dangin a appris son latin politique et qui tient plus de place que Thureau-Dangin lui-même dans le livre de Thureau-Dangin ; Mallet-Dupan mourut à la peine d’une besogne impossible. Déjà Mirabeau en était mort avant lui. Cet homme, au fond de juste milieu, quand les passions n’en faisaient pas un homme d’extrémité, avait, comme il disait, emporté dans la tombe les débris d’une monarchie dont il voulait sauver le dernier des lambeaux qu’il avait déchirés ! Mallet-Dupan, le survivant dans le désespoir funèbre de Mirabeau, passa toute sa vie à répéter contre le royalisme le cri terrible qu’en mourant Mirabeau avait jeté. Et ce ne fut pas tout : après Mallet-Dupan, longtemps après Mallet-Dupan, tué par le royalisme et qui n’était, après tout, qu’un écrivain resté sur les hauteurs de la pensée, le royalisme tua, mais sur le terrain de l’action, des hommes de gouvernement comme le duc de Richelieu, de Serres, Villèle et Martignac, ministres parlementaires, renversés par d’indignes coalitions de Parlement, qui en même temps, du coup, tuèrent la monarchie que ces ministres essayaient de fonder. Richelieu, de Serres, Villèle, Martignac, de mérites divers, mais tous grands hommes de milieu entre la royauté et la révolution, et tout aussi impuissants contre la révolution que pour la royauté. Cruel spectacle offert par l’Histoire ! Seulement, arrivé à la fin de la description qu’il en fait, l’auteur de Royalistes et Républicains, qui ne sait rien de plus que ce qu’il voit, recommence, avec moins d’expression et d’énergie, le cri de Mallet-Dupan, et c’est tout ! Son livre, au vrai, n’est que ce cri. Je l’ai dit : Ce n’est là qu’une accusation contre le parti royaliste et qu’une menace, et rien de plus, pas la plus petite vue de plus !

Non ! pas une vue quelconque hors de ce cercle étroit. L’auteur de Royalistes et Républicains, qui aurait pu ajouter, comme un exemple de plus, le règne de LouisPhilippe à son étude historique, car le règne de Louis-Philippe vit les royalistes et Berryer entrer dans une coalition où figurèrent aussi Guizot, le royaliste de 1815, et Thiers, le complice plus tard de Barodet ; l’auteur de Royalistes et Républicains, homme de juste milieu, comme on l’était sous Louis-Philippe, eût été probablement un ventru de ce temps, et il voit comme un ventru. Un ventre ne voit pas… Il est si bien ce que je dis, que dans son étude sur la Restauration, quand il parle de la célèbre réunion Piet, il rapporte avec un accent très scandalisé les moqueries de Chateaubriand. C’est qu’il croit à l’action de cette réunion, comme il doit croire à l’action politique de tout groupe parlementaire. Chateaubriand, qui ne fut jamais qu’un ultra… pour lui-même, ne croyait, lui, pour les autres, qu’à son mépris. Thureau-Dangin est d’un juste milieu assez impérissable pour avoir la fraîcheur du temps où l’on parlait de fonder des libertés publiques. Il chevauche encore cette chimère qui, après avoir été éreintée sous tant de casse-cous, ressemble diablement au cheval pâle de la Mort de l’Apocalypse. On peut tenir aisément là-dessus sans être un bien grand cavalier et s’y cramponner, comme l’ânier au cou du baudet de la fable, quand le sel se fut fondu… Il croit, au moment où nous enfonçons, qu’un gouvernement monarchique, mais parlementaire, nous sauverait. Ce modéré, qui, en voyant l’impuissance fatale des modérés en face des partis extrêmes, ne se demande pas si cette impuissance tient à la volonté des hommes où à l’involontaire des institutions ; si elle ne vient pas de la nature même des gouvernements parlementaires plus que de la faute de ces partis extrêmes qu’il est impossible à ces pauvres gouvernements d’accommodement, de transaction et de soi-disant équilibre, de contenir et de dominer !

III

Car voilà la question qui surgissait alors et qu’il fallait aborder. Mais Thureau-Dangin ne l’a pas même posée. Il accuse les partis extrêmes, mais il oublie, avec la grâce d’un étourneau, que les partis extrêmes obéissent à la loi qui les régit. Ils ont leurs principes, leurs opinions, leurs passions, leurs traditions, voire leurs vices, et vous croyez donc qu’ils vont oublier tout cela parce que, très honnête, mais un peu candide, vous invoquez contre eux le besoin de refaire, tant bien que mal, une monarchie et un patriotisme qui ne voit pas les choses comme votre patriotisme, à vous ! Les partis extrêmes n’appartiennent pas au premier sermonnaire politique venu comme Thureau-Dangin, et ce n’est pas l’expérience du passé, qui, du reste, ne sert jamais à rien, qui les empêchera d’être ce qu’ils sont ou ce qu’ils ont toujours été, imbécilles ou sublimes, mais obtus ! Depuis qu’il y a des partis, ils se sont toujours comptés avant la patrie, et voilà pourquoi ce qu’il faut contre eux, c’est un genre de gouvernement qui ne s’imagine pas se les concilier, mais qui les dompte ; et le gouvernement parlementaire, qui traite avec eux, qui leur fait même une place au soleil de ses institutions, leur donne une importance qu’ils ne manquent jamais de retourner contre lui. Vraiment, c’est ne connaître ni la nature humaine ni la nature des partis, que de croire les instruire en s’apitoyant sur leur histoire et les faire renoncer, à l’aide de cet ingénieux moyen, à leurs ambitions, si folles et si pernicieuses qu’elles puissent être. Le triste miroir que Thureau-Dangin leur apporte, ils ne s’y regarderont pas !

On peut dépenser avec eux beaucoup de morale, beaucoup de brochures et beaucoup de modération parlementaire, mais l’épée de Napoléon, la cravache de Louis XIV ou la botte de Charles XII sont meilleures que tous ces orviétans, et je m’y fierais davantage. Tout ce que Thureau-Dangin nous raconte très fidèlement dans son Étude historique est bien moins à la charge des partis qu’il ne croit, et bien plus à celle des gouvernements qui ne savent pas s’y prendre avec eux. Son livre est, bien malgré lui, la preuve flagrante de l’impuissance radicale du gouvernement parlementaire vis-à-vis des partis extrêmes, et, disons-le, c’est cette impuissance, sentie lentement, mais enfin sentie, qui compromet de plus en plus maintenant cette institution byzantine de gouvernement parlementaire qui livre aux partis, avec une générosité si bête, tout son pouvoir à dévorer !

En effet, ceci est un fait d’opinion. Il ne s’agit ici ni d’utopie, ni de doctrine, ni de préférence. Il s’agit d’un fait. Personne ne peut nier à présent que le gouvernement parlementaire, ce fils chéri de la Révolution, sur lequel elle avait mis et met encore ses espérances, ne soit pour l’heure terriblement compromis, même au regard de ceux qui se sont d’abord le plus croisés pour la forme de ce gouvernement. Thureau-Dangin nous a tracé l’histoire du parti royaliste, selon lui si couvert de péchés ; mais que dirait-il si on lui ripostait par l’histoire du gouvernement parlementaire, — de ce gouvernement impeccable, mais qui n’a pas besoin de faire des fautes pour être impuissant ? Il l’est en soi… Depuis cinquante ans, il est à l’ouvrage ; qu’a-t-il fait ? Prenez-le, de Montesquieu qui en fut le précurseur, et de Louis XVIII qui en fut le parrain et lui donna possession d’état par sa Charte, jusqu’à ce misérable moment où, mutilé dans son organisation même, éclopé par la République, il va, si on n’y remédie (et on a senti la nécessité d’y remédier !), mourir éventré par cette brute de suffrage universel, et vous verrez ce qu’il a fondé, ce qu’il a sauvé, ce qu’il a défendu ! Louis XVIII, condamné au règne d’un moment par sa vieillesse et voulant à tout prix ce règne d’un moment, n’obéissait pas, en octroyant sa Charte, qu’aux idées et aux goûts philosophiques de sa jeunesse. Il haïssait son successeur, et, d’un coup, il faisait coup double. Avec sa Charte, il régnait et embarrassait le règne de son frère, et, comme le disait férocement Michaud, en parlant de la mort d’André Chénier, reprochée si longtemps et si faussement par lui à Marie-Joseph, « il lui jetait ce chat aux jambes ». Le chat y est resté. Charles X périt du gouvernement parlementaire. Louis-Philippe en meurt dix-huit ans après, et Napoléon III, l’homme de décembre qui descendait de l’homme de brumaire, en meurt aussi, pour l’avoir relevé et repris… Aujourd’hui, qu’il s’appelle République au lieu de s’appeler Monarchie, il n’en est pas moins toujours, malgré les mutilations qu’il a subies, le gouvernement parlementaire et fatal qui a perdu en cinquante ans trois dynasties, et qui n’a avancé qu’une seule question, des cent mille qu’il a stérilement agitées : celle du mépris qu’il a commencé d’inspirer !

Et de fait comparez ce qu’on pensait de lui autrefois à ce qu’actuellement on en pense ! Comparez l’enthousiasme, la confiance des premières années, avec l’amère déception des dernières. Inductions ou déductions superbes ! Cette espèce de gouvernement, qui n’en est encore qu’au mépris, achèvera un jour notre éducation par le dégoût. Mais il aura eu cela de bon, du reste, que, quel que soit l’avenir que Dieu nous garde, les pouvoirs qui viendront n’auront pas, comme ce pauvre Napoléon-Louis-le-Débonnaire, besoin de le reprendre, et qu’ils pourront le laisser expirer, délaissé, sur toutes les poussières qu’il aura faites. Ils n’auront pas à le ramasser… Nous lui devrons, pour dédommagement des malheurs et des hontes dont il n’a pas su nous préserver, sinon de nous faire rentrer, par le clair spectacle de son impuissance, dans notre tradition historique, — car l’Histoire a de ces interruptions qui, comme les arcades rompues du Colysée, doivent rester béantes pour l’éternité, — au moins de nous replacer dans notre tempérament, dans notre vérité de peuple sentant et pensant… Le gouvernement du bavardage éternel, du sophisme, de la subtilité, de la chicane, de l’intrigaillerie de couloir, nous aura réappris le gouvernement de l’action, rapide et droite, qui fut notre génie ! Et le gouvernement multiple et anarchique des Assemblées, le gouvernement unitaire, — insulté quarante ans, chose grotesque et triste ! quand on l’appelait de ce beau nom, de ce seul nom qui convienne au pouvoir : le gouvernement personnel !

Qui sait ? Ce gouvernement monarchique des Assemblées aura creusé plus profondément ce sentiment du besoin D’UN homme qui, dans ce néant d’hommes, se précise un peu davantage tous les jours ! Si nous ne sommes pas tout à fait perdus, tel sera le bénéfice définitif et compensateur qui sortira de ce gouvernement parlementaire, que la foi publique abandonne. Thureau-Dangin peut lui garder la sienne. Il peut même en être le dernier martyr ; mais son livre nous a conduits à cette conclusion suprême que, certes ! il n’aurait jamais osé prévoir. Seulement, de cette hauteur, ce livre, si petit par lui-même, devient imperceptible. On ne le voit plus.

  1. Thureau-Dangin. Royalistes et Républicains (Constitutionnel, 1er juin 1874).
  2. Plon.