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Les Enfantines du bon pays de France/La tour, prends garde

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Les Enfantines du bon pays de France
Les Enfantines du bon pays de FranceSandoz et Fischbacher (p. 137-140).


LA TOUR, PRENDS GARDE !


le colonel et le capitaine.

La tour, prends garde (bis)
De te laisser abattre.

la tour.

Nous n’avons garde (bis)
De nous laisser abattre.

le colonel.

J’irai me plaindre (bis)
Au duc de Bourbon.

la tour.

Eh ! va te plaindre (bis)
Au duc de Bourbon.

le colonel et le capitaine.

Mon duc, mon prince, (bis)
Je viens à vos genoux.

le duc.

Mon capitaine, mon colonel, (bis)
Que me demandez-vous ?

le colonel et le capitaine.

Un de vos gardes (bis)
Pour abattre la tour.

le duc.

Allez, mon garde, (bis)
Pour abattre la tour.

le colonel et le capitaine avec le garde.

La tour, prends garde (bis)
De te laisser abattre.

la tour.

Nous n’avons garde (bis)
De nous laisser abattre.

les officiers. (au duc)

Mon duc, mon prince, (bis)
Je viens à vos genoux.

le duc.

Mon capitaine, mon colonel, (bis)
Que me demandez vous ?

les officiers.

Deux de vos gardes (bis)
Pour abattre la tour.

le duc.

Allez, mon garde, (bis)
Pour abattre la tour.

les officiers. (à la tour)

La tour, prends garde (bis)
De te laisser abattre.

la tour.

Nous n’avons garde (bis)
De nous laisser abattre.

les officiers (au duc).

Mon duc, mon prince, (bis)
Je viens à vos genoux.

le duc.

Mon capitaine, mon colonel, (bis)
Que me demandez-vous ?

les officiers.

Votre cher fils (bis)
Pour abattre la tour.

le duc.

Allez, mon fils, (bis)
Pour abattre la tour.

le fils et les officiers.

La tour, prends garde (bis)
De te laisser abattre.

la tour.

Nous n’avons garde (bis)
De nous laisser abattre.

les officiers (au duc).

Votre présence (bis)
Pour abattre la tour.

le duc.

Je vais moi-même (bis)
Pour abattre la tour.