Les Exploits d’un jeune Don Juan/08

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CHAPITRE VIII

Les événements de la journée m’avaient laissé complètement harassé. Je n’avais d’autre désir que le repos.

Lorsque je m’éveillai le lendemain matin, j’étais couché sur le dos, dans une position qui régulièrement me faisait bander. Bientôt j’entendis des pas s’approcher. Je voulus faire une farce à la régisseuse. Je soulevai ma chemise, jetai mes couvertures en faisant semblant de dormir.

Mais au lieu de la régisseuse, ce fut sa belle-sœur. C’était une femme de trente-cinq ans, c’est-à-dire l’âge où les femmes sont les plus chaudes.

Dans sa jeunesse elle avait été femme de chambre. Ayant épousé un vieux valet de chambre, qui avait de belles économies, elle vivait avec son mari et ses trois enfants (un garçon et deux filles de dix, onze et treize ans) chez son frère le régisseur.

Mme Muller n’était ni belle, ni laide, grande, élancée, elle avait le teint foncé, des cheveux noirs comme ses yeux. Elle semblait intelligente et digne d’un coup de queue.

Évidemment on pouvait être sûr qu’elle avait vu plus d’une bitte. Par conséquent elle pouvait aussi voir la mienne et c’est pourquoi je ne remuai pas.

Mme Muller posa le café sur la table de nuit, puis m’apercevant les armes en avant elle eut un instant d’étonnement. Mais c’était une femme résolue, sans pruderie vaine. Elle me regarda quelques instants avec attention et même avec un certain plaisir. Alors elle toussa pour me réveiller et comme je m’étirais de telle façon que mon vit devenait encore plus insolent, elle s’approcha du lit, me regarda un moment et ramena les couvertures sur moi en disant : « Votre café, monsieur Roger. »

J’ouvris les yeux, lui souhaitai le bonjour en lui faisant un compliment sur sa bonne mine, etc., puis tout à coup, je sautai du lit, l’empoignai et lui assurai qu’elle était la plus belle femme de tout le Château.

Elle se défendait mollement et, passant la main sous ses jupes, j’empoignai une motte très poilue. Puis j’enfonçai le doigt dans son con. Il était sec comme chez toutes les femmes chaudes, mais mon doigt le rendit bientôt humide. Son clitoris était très dur.

« Mais qu’est-ce qui vous prend ? Cessez donc ! Si mon mari savait cela !

M. Muller est dans la chapelle.

— Ah ! oui, il y prie toute la journée, mais retirez-vous, vous me faites mal…, ma belle-sœur pourrait venir…, elle m’attend… Assez ! Je reviendrai ce soir…, maintenant on n’est pas tranquilles…, mon mari part aujourd’hui passer deux ou trois jours à la ville. »

Sur cette promesse elle s’en alla. Le soir, après avoir bien mangé, je portai dans ma chambre du vin, du jambon et du dessert. Le Château s’endormit bientôt. Enfin, ma porte s’ouvrit. Mme Muller entra et mon cœur se mit à battre. Je l’embrassai en lui mettant la langue dans la bouche, elle me le rendit. Je me déshabillai rapidement et lui montrai mon vit en bonne condition.

« Ne vous excitez pas tant, dit-elle, sans cela, on jetterait la poudre aux moineaux. »

Elle verrouilla la porte. Je l’empoignai à la motte et la trouvai légèrement enflée, le clitoris était dur. Je la mis en chemise et la lui soulevai très haut. À son aspect on eût dit une femme maigre. Il n’en était rien. Elle était très bien en chair, les poils étaient noirs et lui montaient jusqu’au nombril.

Elle devait s’être lavée, car son con n’exhalait aucune odeur. Alors je la mis nue et m’étonnai de la fermeté de ses tétons qui n’étaient pas très gros et dont les tétins étaient entourés de légers poils bruns.

En lui soulevant les tétons, je vis qu’au-dessous elle avait aussi des poils courts, fins et noirs. Ses aisselles étaient de même couvertes d’un buisson de poils aussi épais que chez les hommes.

En la regardant je m’émerveillai de son cul, dont les fesses très relevées se serraient l’une contre l’autre. Sur l’échine, elle avait de même des poils légers et noirs qui montaient jusqu’au haut du dos. Cette riche toison me fit encore plus bander.

Naturellement, je jetai ma chemise, et me Jetai sur la belle femme qui faisait des mouvements, de façon à ce que mon vit venait taper contre son ventre.

Nous étions placés de telle sorte que nous nous voyions tout entiers dans la glace. Je la menai vers le lit ou elle s’assit en disant : « Je sais que vous voulez me voir tout entière. » Elle souleva les jambes et montra son con poilu jusqu’au cul. J’y mis aussitôt ma langue et m’y attardai. Les lèvres s’enflèrent. Lorsque je voulus y mettre mon vit, elle me dit en riant : « Pas comme ça, mettez-vous sur le lit. »

Je la priai de me dire « tu » et de me le permettre aussi. Je me mis sur le lit. Elle se mit sur moi et j’avais tout son beau corps devant les yeux. Elle me dit de jouer avec ses tétons. Puis elle empoigna ma bitte, la promena un peu contre son con dans lequel elle me supplia de ne pas décharger, puis brusquement elle s’entra mon vit jusqu’aux couilles. Elle chevauchait avec tant d’ardeur que cela m’était presque douloureux. Pendant ce temps, elle déchargea, je sentis la chaleur de son con, je l’entendis gémir et ses yeux se révulsèrent.

Ça venait aussi chez moi, elle le remarqua et se releva vivement.

« Retiens-moi, mon ami, dit-elle d’une voix encore tremblante de volupté, je sais encore quelque chose qui te fera plaisir sans me rendre enceinte. »

Elle se tourna. J’avais maintenant son cul devant les yeux. Elle se pencha et prit mon vit dans la bouche. Je fis comme elle, ma langue pénétra dans son con. Je léchai le sperme féminin, qui avait le goût d’œuf cru. Le jeu de sa langue contre mon gland devenait toujours plus fort, une de ses mains me chatouillait les couilles et le cul, tandis que l’autre me serrait le vit.

Le plaisir devint si grand que je me raidis tout entier. Elle enfonça mon vit dans sa bouche autant qu’il était possible. Ses parties les plus secrètes étaient devant mes yeux. J’empoignai ses cuisses et ma langue se plongea dans son trou du cul. Je perdis les sens et déchargeai dans sa bouche.

Lorsque je revins de mon extase momentanée, elle s’était couchée près de moi et avait ramené la couverture sur nous. Elle me caressait en me remerciant du plaisir que je lui avais donné et me demandait si j’en avais eu autant.

Je dus avouer que cette position m’avait encore plus fait jouir que le coït normal. Puis je lui demandai pourquoi elle ne m’avait pas laissé décharger dans son con puisqu’elle était mariée.

« Justement à cause de cela, dit-elle, mon mari est impuissant et s’apercevrait aussitôt que je le trompe. Ah ! Dieu ! tout ce qu’il me faut supporter avec lui. »

Je la priai de me dire tout. Elle me raconta que son mari ne pouvait bander que si elle lui battait le cul à coups de verges jusqu’au sang.

Elle devait aussi se laisser fesser par lui, mais rien qu’avec la main, et maintenant elle y était tellement habituée, que ça lui faisait plutôt plaisir que mal. Elle devait aussi pisser devant son mari, chier même, car il voulait tout voir ! c’est surtout quand elle avait ses règles qu’il était le plus excité.

Lorsqu’elle lui avait foutu cinquante ou même cent coups, elle devait se presser d’enconner son membre à demi-mou, sans cela il débandait de suite, sauf lorsqu’elle lui léchait le cul ou se laissait lécher par lui entre les doigts de pied. Alors il bandait dur, mais toutes ces choses étaient très désagréables.

« Et avec cela, ajouta-t-elle, en manière de conclusion, le vieux coquin est toujours fourré dans les églises. »

Ce récit surprenant avait réveillé les esprits animaux de ma bitte. Mme Muller hâta cette résurrection en chatouillant mes couilles. Elle me fit mettre entre ses jambes et se tourna alors sur le côté. Ses jambes étaient croisées sur mon cul et nous étions sur le côté face à face. Cette position était très agréable, car elle permettait de s’enlacer. Je pouvais aussi sucer ses tétons.

J’avais dans la main son con enflé et devenu étroit par la volupté. Nous nous mîmes mutuellement le doigt dans le trou du cul. Je laissai ma bitte glisser dans son con et je commençai à donner des secousses comme avant. Je suçai ses tétons. Mon doigt se remuait dans son cul que je sentais palpiter. Elle se mit à crier en déchargeant une nouvelle fois. Elle avait empoigné mes couilles par-derrière, si fort, qu’elle me fit mal et que je la priai de me lâcher.

Après m’avoir caressé gentiment elle se mit le visage contre le lit pour que son cul pût faire le beau. Je la fis mettre à genoux, le cul en air, puis je crachai dans son trou du cul et y enfonçai ma bitte sans peine. Je sentais à chaque secousse mes couilles battre son con.

Cela lui faisait plaisir, disait-elle. Je pouvais toucher son con poilu d’une main et de l’autre empoigner ses tétons. Au moment où j’allais décharger, je me retirai, mais le muscle de son cul se resserra autour de mon gland et je lui déchargeai en plein dans le cul. Elle n’avait pas encore été dépucelée de ce côté et me dit que ça lui avait fait beaucoup plus de bien qu’au début, car cela lui avait assez fait mal.

En sentant ma bitte durcir dans son cul, la volupté s’était éveillée en elle et elle avait déchargé en même temps que moi.

« Mais pour aujourd’hui, c’est assez », décida-t-elle en souriant. J’en avais assez. Je lui offris du dessert, mais elle m’invita à prendre un petit verre de liqueur chez elle. Ensuite je revins me coucher.