Les Exploits d’un jeune Don Juan/10

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CHAPITRE X

Le Château était encore endormi quand je redescendis et me recouchai. Ma mère me réveilla en m’apportant le déjeuner. Elle m’apprit qu’il me fallait, le lendemain, aller à la gare prendre mon père qui viendrait avec ma sœur aînée, Élise.

Ma mère était de très bonne humeur, mais ce n’était pas le cas de Berthe, que l’arrivée de sa très jolie sœur gênait. Elle me dit que ma sœur avait une amourette avec le fils d’un ami de commerce de notre père et que probablement ce jeune homme l’épouserait après son service militaire.

Elle me dit qu’en outre, beaucoup de choses qu’elle ne comprenait pas avant, étaient devenues maintenant très claires pour elle.

Certainement Kate et Élise avaient dû gougnotter longtemps ensemble, et elles étaient même restées une fois seules pendant une heure dans la salle de bains.

Le lendemain cela me fit plaisir de voir que ma mère prenait un bain, dans l’attente de son mari.

À la gare, lorsque le train arriva, je fus étonné de voir ma sœur Élise devenue une charmante jeune femme. Elle avait une paire de jolis petits pieds dans d’élégantes chaussures et se trémoussait si gracieusement que je devins jaloux de son Frédéric. J’avais décidé que toute personne féminine de mon entourage devait faire partie de mon harem et je me renforçai dans mon opinion.

Ma jalousie s’augmenta, lorsque je vis qu’avec mon père était venu un ami, M. Franck, un vieux célibataire qui avait des vues sur ma tante. Les présentations furent cordiales. Ma sœur était étonnée de mon développement comme je l’étais du sien et nous nous embrassâmes mieux que fraternellement.

Nous n’avions pas compté sur M. Franck, et comme la voiture était à deux places, je dis que papa et M. Franck s’en serviraient tandis que moi et Élise irions à pied. Ma sœur accepta. La route était très jolie.

La conversation devint bientôt très intéressante. Ma sœur était très flattée des compliments que je lui faisais sur sa beauté. Lorsqu’elle s’enquit de Berthe, je lui dis qu’elle avait eu ses règles et était nubile. Élise me regarda étonnée.

« Elle reste maintenant enfermée avec Kate, dans la salle de bains, aussi longtemps que toi », ajoutai-je, puis je continuai en la regardant bien : « Elles couchent aussi dans la même chambre, tu me comprends. »

Ma sœur rougit fortement en gardant le silence.

« Il ne faut pas te gêner, Élise, dis-je amicalement, je ne suis plus un petit garçon. Tu as pu d’ailleurs remarquer quand on nous baignait ensemble lorsque nous étions plus petits, que mon vit n’est pas plus mal que celui de ton Frédéric.

— Mais Roger !

— Nous avons maintenant du poil entre les jambes et nous savons qu’il y a quelque chose de mieux que de jouer au doigt mouillé ou à cinq contre un. »

Élise était toute rouge, sa poitrine se soulevait, mais elle ne savait quoi répondre. Brusquement, elle regarda si personne ne nous voyait et demanda :

« Est-ce vrai, Roger, que les jeunes gens avant d’être soldats doivent se mettre nus et se laisser regarder. J’ai entendu maman et ma tante dire quelque chose comme ça, et on en parlait aussi à la pension.

— Frédéric, mon beau-frère futur, aurait pu te dire ça. Naturellement, ils le doivent. On les regarde comme une fiancée pendant la première nuit de noces. Mais ils ne bandent pas, parce qu’ils ont peur. Frédéric non plus ne devait pas bander.

— Va donc… ! Mais ils doivent avoir honte… Est-ce que c’est public ? Les femmes peuvent-elles voir ça ?

— Malheureusement non, dis-je sérieusement ; devant toi, Élise, je ne me gênerais pas. »

Je l’embrassai cordialement. Nous étions dans un petit bois, près du Château. J’ajoutai :

« Crois-tu donc qu’il y a dans le monde une fiancée qui, la nuit de ses noces, ne devra pas se tenir nue devant son mari pour être dûment visitée. Il se tient d’ailleurs nu, lui aussi.

— Mais un homme, ce n’est pas la même chose.

— Pourquoi ? Si je me mettais nu devant toi, tu verrais tout : mes poils, mon vit bandant, mes couilles, mais de toi je ne pourrais voir que les poils, ton con resterait caché. As-tu beaucoup de poils, Élise ?

— Oh ! regarde les jolies fraises, Roger », dit Élise.

Je l’aidai à en chercher. Nous pénétrâmes profondément dans le bois. Je l’embrassai en bandant comme un cerf.

« Qu’y a-t-il là-bas ? demanda-t-elle.

— Une hutte de chasse ; j’ai la clef, ça nous appartient. » La hutte était entourée d’un épais taillis.

« Attends-moi, Roger, je viens de suite. Prends garde que personne ne vienne. »

Elle alla derrière la hutte. Je l’entendais pisser. Je regardai. Elle était accroupie, un peu penchée, les jambes écartées et tenait ses jupes levées, de façon qu’on voyait ses jolis mollets.

Sous les genoux pendait la dentelle du pantalon. Entre les jambes giclait le jet. Lorsqu’il se termina, j’allais me retirer, mais elle resta encore. Elle souleva ses jupes au-dessus de ses reins, écarta son pantalon. La fente de son cul se montra avec les fesses rondes et pleines, sans une tache. Sous son effort, une mince saucisse sortit de son trou du cul, pendilla un moment puis se tortilla sur le sol. Un peu de jus suivit, puis elle pissa encore un peu.

Cette fois, je vis distinctement le jet sortir des poils qui étaient châtains et assez épais. Lorsqu’elle eut fini, elle chercha du papier mais n’en trouva pas, je parus alors et lui en donnai.

« Voici, Élise. »

Elle eut un moment l’air en colère.

« Ne te gêne pas, lui dis-je, j’ai aussi besoin ! »

Je sortis mon vit et, bien que je bandasse, je me mis à pisser. Je me souvins du valet et je pissai si haut que ma sœur dut rire. Elle s’était servie du papier. Nous entendîmes des voix. Elle eut peur, je la poussai dans la hutte que je refermai sur nous. Nous regardâmes par une fente. Un valet et une servante s’approchaient en se lutinant. Il la jeta sur le sol, se mit sur elle, sortit son vit, releva les jupes, et ils s’enfilèrent en grognant comme des bêtes.

J’avais enlacé Élise et je la pressais contre moi. Son haleine parfumée m’échauffait les joues. Sa poitrine se soulevait fortement devant le spectacle que nous contemplions sans parler. Je sortis mon vit et le mis dans la main chaude et douce comme du satin. Le couple s’éloigna. Je ne pouvais résister et j’empoignai Élise. Malgré sa résistance, j’eus vite écarté le pantalon et la chemise. Ma main jouait avec ses poils. Ses cuisses étaient serrées, mais je sentais son clitoris dur.

« Non, ça va trop loin, Roger, n’as-tu pas honte ! Je crie !

— Si tu cries, on entendra du Château… Personne ne peut le savoir. Les premiers hommes n’ont pas fait autre chose.

— Mais nous ne sommes pas les premiers hommes, Roger.

— Élise, si nous étions sur une île !… »

J’étais arrivé à entrer mon doigt.

« Si mon Frédéric savait ça !

— Il ne le saura pas, viens ma chérie. »

Je m’assis sur une chaise et tirai ma sœur sur moi. Quand elle sentit l’énorme vit contre son con elle ne résista plus. Elle n’était plus pucelle et avoua l’avoir fait une fois avec son Frédéric. Son con était étroit, très chaud et agréablement humide.

Elle me rendit mes baisers. J’ouvris sa blouse et sortis ses deux tétons qui allaient et venaient tandis que je les suçais. Je mis mes bras à ses dures et grosses boules inférieures, ses deux fesses magnifiques. Elle se mit à jouir terriblement. Nous déchargeâmes ensemble. Ensuite nous nous promîmes le silence. Nous nous regardâmes à loisir puis nous allâmes au Château.