Les Faux Monnayeurs au dix-neuvième siècle/Texte entier

La bibliothèque libre.
Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/8 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/10 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/12

LES FAUX MONNAYEURS AU XIXe SIÈCLE

RÉSUMÉ

La première scène de ce roman qui a tenu pendant cinq mois les lecteurs du journal la France dans une continuelle attente pleine d’impatience, se passe en une pauvre boutique de bric à brac, de la triste et sale rue des Filles-Dieu. :

Félix Radèze, le héros qui traverse l’œuvre et représente tout une époque, avec ses égarements, ses crimes, ses douleurs et son châtiment, vient de fermer sa boutique. Il est seul comme toujours. On ne devine rien de ses : actes dans la simplicité de sa vie, rien de son âme dans le masque d’indifférence qui recouvre sa personne.

Des : pas retentissent dans la rue étroite ; il ouvre avant qu’on n’ait frappé, les reconnaissant. C’est son frère, un tout jeune homme dont il s’est fait le père, et qu’il aime.

— Sauve-moi ! s’écrie celui-ci. Je suis poursuivi.

Le brocanteur le pousse dans une cave dont il recouvre la trappe avec sa marchandise, enfonce au moyen d’une barre de fer le vitrage qui sé pare sa boutique d’une cour, et dit aux gens du poste qui entrent bientôt. après le jeune homme :

— Il vient de passer par là, en brisant le chassis.

Puis, quand tout est rentré dans le silence, il va rejoindre son frère et lui demande sa confession.

Le malheureux a fabriqué de faux billets de banque avec trois camarades, dont deux sont déjà arrêtés. Il implore la pitié de son frère aîné et dit qu’il veut mourir.

— Tu vivras, enfant, répond le brocanteur, et tu seras heureux de la façon dont tu veux l’être. Cela sera parce que je t’aime et que je le veux. Tu as soif de richesses ? tu possèderas des millions. Tu as soif de grandeurs ? tu seras le premier parmi les plus riches et les plus honorés.

Son frère le croit fou. Il reprend :

— Battre de la fausse monnaie ! copier de faux billets de banque ! quelle sottise. S’exposer au bagne pour quelques centaines de mille francs, quelle misère !… Moi aussi, je suis batteur d’or faux, je fabrique de la fausse monnaie ! Mais la mienne passe partout, aucun œil humain ne saurait la reconnaître. Ah ! ma fausse monnaie, ajoute-il avec un effrayant éclat de rire, elle circule dans le monde entier, et personne ne la devine. Elle court sur les marches des trônes et se cache dans l’escarcelle des mendiants. Palais et bouges la recèlent, selon les besoins de ceux qui savent l’employer. Ma fausse monnaie est de tous les âges, a cours chez tous les peuples, et fait à l’occasion des lois qui la protègent.

Il achève d’expliquer à son frère sa théorie, et termine ainsi :

— Ma fausse monnaie, jusqu’à ce jour, c’est ma pauvre boutique de bric à brac, mon honnêteté bête et inconsciente. Si je ne passais pour un idiot, je n’aurais pu te sauver tout-à-l’heure.

Sauvé, il ne l’est pas encore. Mais trois jours plus tard, le commissaire de police du quartier reçoit la visite du brocanteur, plus sale, plus cassé, plus stupide que jamais.

Le faux monnayeur, c’était mon frère ! s’écrie-t-il en sanglotant.

En même temps il présente une lettre dans laquelle le jeune homme lui dit que, ne pouvant plus supporter le remords de son crime, il va l’expier en mourant. La lettre est touchante. Le coupable y implore le pardon de son frère.

Le lendemain, les journaux rapportent le fait divers. On a retrouvé le cadavre et Félix Radèze le reconnaît.

Le commissaire de police et les reporters se sont chargés de mettre en circulation la fausse monnaie du brocanteur.

Le prologue se termine sur cette déclaration.

Ce roman, palpitant d’intérêt, de la première ligne à la dernière est, sans contredit, l’œuvre la plus dramatique, la plus émouvante qui ait été écrite de nos jours. Depuis les Mystères de Paris, dépassés ici en hardiesse, nul n’a fouillé la société parisienne, de bas en haut, nul peut-être n’aurait osé y découvrir ce que nous révèle dans Les Faux Monnayeurs au XIXe siècle, l’auteur si légitimement populaire et si connu pour l’audace des conceptions, et la virilité du style : Camille Bias : Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/15 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/16

LES FAUX MONNAYEURS AU XIXe SIÈCLE

PAR
CAMILLE BIAS


PROLOGUE


I

les générosités du brocanteur félix radèze

La rue des Filles-Dieu, qui n’a pas subi comme tant d’autres de ses pareilles la transformation luxueuse et régulière ordonnée par maître Haussmann, était à peu près, en 1848, ce qu’elle est au- jourd’hui, c’est-à-dire une ruelle tortueuse, nauséabonde, aux ruisseaux noirs, au pavage irrégulier, aux boutiques enfumées. Peut-être cependant, ceux qui l’ont vue alors se la rappellent-ils plus sale, plus puante, plus habitée par ces négociants en ferraille et en chiffons, dont la personne est plus indescriptible encore que les magasins et les marchandises, ce qui n’est pas peu dire.

On rencontrait là, entre autres habitants du quartier, relativement tranquille, — les voitures circulant mal dans cette courbe étroite qui a nom de rue, — des chats galeux, des chiens sans queue et sans oreilles, des poules, des canards et des myriades enfants. Tout cela vivait ensemble et en paix dans ce coin de Paris, que troublaient seuls les gloussements, les miaulements, les aboiements et les braillements des uns et des autres.

Cette musique étrange s’harmonisait avec la tenue des habitants et l’aspect des maisons, dont la plupart semblaient s’élancer hors de l’alignement, comme des cavaliers qui commencent un avant-doux.

Le parfum dominant en ce lieu, que bénissait le ciel, puisque la progéniture s’y accusait prodigieusement nombreuse, était celui de la friture à travers lequel passaient, pour varier, des bouffées d’air infect, sortant de Ia vase des ruisseaux et des égouts.

La profession la plus commune en cette cité, à la fois paisible et bruyante, était celle de bric-à-brac. Est-ce parce qu’elle y paraissait aussi tenir le premier rang ?

Parmi tous ces marchands de choses sans nom, le plus remarquable, ou du moins celui dont nous aurons Ie plus à nous occuper dans ce récit, est un homme auquel il serait difficile d’assigner un âge, tant la couche de poussière qui couvre son énorme tête le déguise bien. Ses voisins lui donnent quarante ans. Soit. La façon dont il vit est de tous les âges : Félix Radèze est le plus sale, le plus noir et le plus original des brocanteurs du quartier.

Il à repris la boutique de père et mère, morts en trois jours du choléra, et il a élevé un jeune frère qu’ils lui ont laissé, avec leur fonds de bric-à-brac. La seule chose que les camarades reprochent à Félix, c’est d’élever son frère en monsieur, en gandin ; il s’est, comme ils disent, saigné des quatre membres pour le mettre au collège, et le jeune homme ingrat — cela devait être — ne vient qu’à de rares intervalles visiter le frère auquel il doit tout. On ajoute que ses visites ont toujours un même but : le besoin d’argent. Aussi ne voit-on jamais le brocanteur, en compagnie des autres, chez le marchand de vin ; il boit de l’eau, mange un morceau de pain, et, de ci de là, un peu de lard. Quand on se moque de lui à ce sujet, il se contente de répondre :

— Puisque je ne tiens pas à autre chose, en souriant de son air bonhomme.

Mais chacun sait à quoi s’en tenir sur le compte des frères Radèze, et, d’un bout à l’autre de la rue, on répète que le vieux Félix se prive de tout, pour satisfaire aux exigences du jeune Anatole.

— Il est si bête !

Telle était l’expression consacrée. Et, en effet, il n’y a pas un chat malade qu’il ne soigne, un chien blessé qu’il n’entreprenne de guérir ; et, si jamais, le premier, il n’adresse la parole à ses voisins, ceux-ci le trouvent toujours prêt quand ils ont besoin de lui. On glose sur sa bonté qui dégénère en sottise, mais l’on rend justice à son obligeance dont on profite. Si Félix Radèze était riche, il prêterait sa bourse, personne n’en doute, comme il prête ses bras ou ses jambes, selon que les amis ont besoin d’un aide ou d’un commissionnaire.

Il est vrai qu’en dépit des remontrances de ses confrères, il se permet parfois un luxe de générosité fort au-dessus de ses moyens. C’est ainsi qu’un soir il ramassa au coin d’une borne un paquet, dont le contenu resta un mystère jusqu’au lendemain. Mais le jour suivant, un bruit se répandit dans la rue des Filles-Dieu, et la boutique de Radèze se trouva bientôt encombrée de curieux : la trouvaille du brocanteur était une petite fille bien portante, belle à ravir, et enveloppée de langes remarquablement fins. Félix l’avait, dit-il, trouvée endormie.

Ce n’est pas tout ça, dit la mère Lapointe, une vieille femme sèche, au teint de pain d’épice, qui était bien la commère la plus bavarde et la plus mêle-tout du quartier, qu’est-ce que tu vas faire de cet enfant-là ?

— Je n’en sais trop rien, répondit niaisement le brocanteur.

— Eh bien, il faut aller tout de suite chez le commissaire, lui déclarer la chose et te débarrasser. Tu n’as pas l’intention de te faire nourrice, je, suppose ?

Radèze se mit à rire pour faire comme tout le monde, prit l’enfant trouvée, et se dirigea vers le bureau de police.

La journée se passa, au grand étonnement des badauds, sans qu’il revint.

— Eh bien ! lui crièrent le soir ceux qui l’aperçurent les premiers,

— Eh bien, répondit-il, l’enfant est en nourrice ; je l’ai adoptée, et le commissaire a, comme il dit, ratifié l’adoption.

— Il est donc fou, et toi aussi ! s’écria la Lapointe au milieu des éclats de rire de tous les voisins. Est-ce que tu peux payer des mois de nourrice ?

— C’est l’observation qu’il m’a faite d’abord, mais je lui ai dit que j’ai bien payé pendant longtemps Îles mois de pension de mon frère.

— Sans compter ce qu’il te coûte encore, le petit gredin.

— Il ne me coûtera plus rien, puisque j’aurai un autre enfant à nourrir, dit simplement Radèze en rentrant chez lui.

— Est-il assez idiot ! fit la vieille à son entourage en haussant les épaules.

Et elle montrait des dents menaçantes, au centre de la courbe que traçaient en se rapprochant un nez et un menton démesurément longs.

— Qu’est-ce que ça vous fait donc, à vous autres ? dit un joli gamin à la mine espiègle. Si le papa Radèze a du goût pour l’état de père nourricier, ça ne regarde personne que lui. Conséquemment, mère Lapointe, laissez-le en repos, ce brave homme-là.

L’enfant esquiva le soufflet à lui destiné par la vieille, qui était sa parente, et l’on se sépara en riant fort de l’humanité du pauvre brocanteur.

À dater de ce jour, la réputation de Félix Radèze fut établie, et l’on ne se serait plus occupé de lui si, dans la rue des Filles-Dieu, il eût été dans les choses possibles de ne pas s’occuper de ses voisins.


{{T3|comme quoi un marchand de bric-à-brac fait un pied de nez à un commissaire de police.

Il nous suffira de pénétrer un instant chez le brocanteur, pour nous assurer de l’exactitude du jugement de ses voisins et amis sur son énigmatique personne.

Il a fermé la porte de sa boutique, où s’entassent, sous une couche épaisse d’ordure, des marchandises sans nom que, lui et ses pareils exceptés peut-être, nul n’oserait retourner qu’au bout d’un crochet. Il y a là des ferrailles, des porcelaines brisées, des morceaux de marbre et de bronze, des tas de chiffons, tout ce qui concerne le métier dans ce qu’il a de plus laid et de plus misérable.

Et, pourtant, si l’on voulait prendre la peine d’écarter les loques, on découvrirait, par ci, par là, quelque merveille de point d’Alençon, quelque guipure couleur de cire, qui ferait rêver une maruise par sa rareté et son âge authentique. Si l’on secouait la poussière de ces petits meubles oubliés, on trouverait encore là de ces incrustations, de ces mosaïques, qu’à première vue l’on prend pour une merveilleuse peinture. Il suffirait bien aussi d’un peu d’eau sur les faïences, pour en faire surgir de magnifiques magots, ou des pagodes aux couleurs inimitables.

Mais Radèze sait-il qu’il possède cès richesses ? Il est assis au milieu de ce capharnaüm, la tête dans les mains, comme un homme qui réfléchit profondément, Devant lui, sur un petit meuble d’ébène, aux incrustations de nacre, recouvert d’un épais tapis de poussière, repose, toutouvert, un livre rempli de chiffres et de signes, connus de lui seul sans doute. Un tas de vieux bouquins lui sert de siése. Une chandelle de suif jaune brûle et coule, la méche étant trop longue, sans qu’il y prenne garde sur le bureau. D’immenses toiles d’araignées pendent en draperies déchiquetées, d’un bout à Pautre des petites poutrelles qui forment le plafond. C’est lugubre ct répugnant.

De temps à autre, Fclix relève la tête, tire à lui le livre où sont les chiffres, et semble s’abimer dans un calcul qui n’est probablement pas celui de sa recette du jour. Autant qu’on peut en juger à

. la lueur du triste et lugubre luminaire du lieu, la physionomie de

cet homme n’a rien de celle d’un idiot. Le front large, légèrement reuflé au-dessus des yeux, dénote une intelligence sérieuse et réfléchie ; les cheveux en désordre sont abondants, incultes, et lorsque la main du travailleur les rejette en arrière, comme si leur poids gênait sa pensée, on s’aperçoit qu’ils sont d’un noir superbe, cçue rappelle un sourcil fin, arqué, à rendre jalouse une coquette. Ses yeux sont également noirs, et quand ils s’égarent à l’extrémité de la muraille grise, les oscillations de la chandelle en font sortir des rayons.

Le bonhomme de la rue des Filles-Dieu jugé par Gall serait un homme de génie ; le brocanteur poussiéreux et déguenillé est doué par la nature d’une de ces beaut és qui font les héros du monde galant. Qu’il ait ou non quarante ans, cet homme serait superbe avec un coup de peigne et un habit noir.

Le silence et l’ombre s’étaient répandus dans la rue des Filles-Dieu : un gros chat couché sur un tas de vieux sacs, dans un coin de la boutique, faisait seul entendre son ron-ron, dont le bruit régulier ne troublait point la méditation du maître.

Félix oubliait l’heure et le sommeil quand, tout à coup, il prêta l’oreille, posa rapidement son livre, et courut vers la porte d’entrée du magasin.

On entendait dans la rue des pas rapides qui se rapprochaient. Au moment où le brocanteur allait ouvrir sa porte, un violent coup de pied l’ébranlait du dehors.

Il ouvrit et referma.

— Frère, dit une voix basse et rapide, je suis poursuivi ; sauve-moi.

Félix ne répondit qu’un seul mot :

— Viens.

Et à l’endroit même où il était assis un instant plus tot, il jeta de côté livres et meubles, leva une trappe, y poussa le nouveau venu, la laissa retomber, replaça les bouquins et courut à son arrière-boutique. Là, il saisit une barre de fer, au moyen de laquelle il brisa un châssis qui donnait sur une cour noire, entourée de hautes murailles ; puis revint assez à temps à sa porte pour l’ouvrir à la maréchaussée, qui commençait à l’enfoncer, sans autre forme de procès.

Alors, des soldats, requis par les agents à un poste voisin, sc jetèrent comme une avalanche dans la boutique.

— Un homme vient d’entrer ici ? demanda le scrgent.

— Oui, mon officier, répondit Radèze, dont les mains tremblaient à faire pitié, dont les dents claquaient de terreur, il vient de passer par là.

Il était assis au milieu de ce capharnaüm.

Et, de son bras tendu, il montrait les vitres brisées sur la cour. Les soldats se précipitèrent vers l'endroit désigné, au moment où le commissaire, escorté de deux agents, entrait dans la boutique.

Le magistrat renouvela la question du sergent, et le brocanteur fit la même réponse. Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/25 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/26 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/27

III

où deux faux monnayeurs ne procèdent pas de la même façon.

Anatole Radèze, qui avait si vivement réclamé un asile chez son frère, était descendu tant bien que mal dans la cave protectrice l’avait jeté Félix, Après avoir tâtonné dans les ténèbres avec toutes les précautions qu’exigeait sa position critique, sa main heurta un corps dur, et si léger que fut le bruit du choc, il en resta un moment immobile de terreur. Puis, le courage lui revenant peu à peu, il chercha des deux mains. Quelle surprise ! le corps dur n’était autre chose que le bras d’un excellent fauteuil, où notre jeune fugitif s’installa avec une satisfaction facile à concevoir, après les émotions et la fatigue d’une course comme celle qu’il venait de fournir.

Bientôt, le bruit des meubles déplacés, les pas pesants les hommes qui circulaient près de l’ouverture de la trappe le mirent à la torture, assez pour qu’il ne songcât plus à s’étonner de la rencontre d’un bon siége au bas d’un escalier de cave.

Il commençait pourtant à reprendre confiance, quand le parquet grinça dans ses charnières d’une façon assez inquiétante, pour qu’il se précipitat dans les ténèbres inconnues du souterrain, au risque de se casser le cou. Mais, la voix de son frère vint aussitôt le rassurer, tout en l’inquiétant sur l’interrogatoire qu’il allait avoir à subir.

Le brocanteur fit jaillir d’un briquet une étincelle, et alluma, non plus une chandelle de suif jaune, mais une bougie transparente dont la lueur faible et vacillante encore, éclairait dans sa main un élégant bougcoir de cuivre ciselé.

Anatole, qui craignait la sévérité de son frère, le regarda en hésitant ; le brocanteur souriait et lui tendait les bras.

— Oh ! s’écria le fugitif, pourras-tu jamais me pardonner ?

Il se jeta sur le sein de Félix, qui le reçut comme une mère faible reçoit un enfant coupable.

— Pauvre frère, dit-il, comme te voilà pâle et tremblant ! Tu as donc eu grand’peur. Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/29 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/30 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/31 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/32 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/33 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/34 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/35 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/36 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/37 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/38 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/39 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/40 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/41 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/42 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/43 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/44 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/45 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/46 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/47 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/48 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/49 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/50 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/51 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/52 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/53 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/54 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/55 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/56 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/57 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/58 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/59 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/60 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/61 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/62 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/63 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/64 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/65 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/66 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/67 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/68 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/69 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/70 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/71 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/72 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/73 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/74 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/75 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/76 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/77 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/78 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/79 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/80 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/81 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/82 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/83 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/84 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/85 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/86 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/87 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/88 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/89 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/90 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/91 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/92 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/93 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/94 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/95 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/96 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/97 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/98 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/99 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/100 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/101 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/102 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/103 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/104 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/105 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/106 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/107 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/108 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/109 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/110 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/111 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/112 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/113 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/114 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/115 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/116 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/117 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/118 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/119 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/120 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/121 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/122 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/123 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/124 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/125 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/126 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/127 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/128 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/129 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/130 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/131 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/132 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/133 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/134 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/135 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/136 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/137 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/138 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/139 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/140 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/141 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/142 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/143 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/144 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/145 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/146 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/147 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/148 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/149 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/150 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/151 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/152 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/153 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/154 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/155 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/156 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/157 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/158 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/159 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/160 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/161 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/162 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/163 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/164 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/165 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/166 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/167 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/168 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/169 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/170 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/171 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/172 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/173 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/174 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/175 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/176 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/177 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/178 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/179 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/180 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/181 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/182 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/183 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/184 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/185 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/186 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/187 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/188 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/189 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/190 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/191 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/192 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/193 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/194 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/195 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/196 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/197 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/198 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/199 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/200 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/201 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/202 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/203 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/204 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/205 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/206 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/207 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/208 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/209 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/210 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/211 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/212 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/213 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/214 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/215 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/216 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/217 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/218 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/219 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/220 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/221 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/222 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/223 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/224 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/225 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/226 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/227 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/228 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/229 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/230 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/231 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/232 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/233 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/234 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/235 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/236 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/237 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/238 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/239 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/240 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/241 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/242 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/243 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/244 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/245 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/246 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/247 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/248 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/249 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/250 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/251 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/252 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/253 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/254 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/255 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/256 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/257 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/258 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/259 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/260 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/261 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/262 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/263 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/264 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/265 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/266 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/267 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/268 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/269 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/270 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/271 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/272 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/273 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/274 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/275 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/276 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/277 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/278 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/279 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/280 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/281 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/282 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/283 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/284 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/285 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/286 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/287 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/288 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/289 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/290 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/291 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/292 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/293 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/294 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/295 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/296 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/297 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/298 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/299 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/300 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/301 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/302 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/303 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/304 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/305 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/306 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/307 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/308 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/309 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/310 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/311 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/312 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/313 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/314 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/315 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/316 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/317 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/318 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/319 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/320 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/321 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/322 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/323 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/324 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/325 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/326 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/327 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/328 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/329 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/330 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/331 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/332 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/333 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/334 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/335 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/336 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/337 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/338 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/339 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/340 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/341 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/342 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/343 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/344 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/345 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/346 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/347 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/348 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/349 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/350 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/351 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/352 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/353 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/354 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/355 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/356 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/357 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/358 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/359 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/360 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/361 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/362 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/363 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/364 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/365 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/366 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/367 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/368 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/369 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/370 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/371 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/372 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/373 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/374 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/375 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/376 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/377 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/378 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/379 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/380 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/381 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/382 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/383 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/384 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/385 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/386 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/387 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/388 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/389 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/390 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/391 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/392 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/393 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/394 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/395 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/396 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/397 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/398 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/399 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/400 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/401 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/402 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/403 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/404 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/405 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/406 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/407 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/408 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/409 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/410 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/411 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/412 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/413 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/414 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/415 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/416 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/417 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/418 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/419 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/420 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/421 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/422 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/423 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/424 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/425 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/426 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/427 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/428 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/429 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/430 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/431 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/432 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/433 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/434 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/435 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/436 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/437 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/438 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/439 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/440 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/441 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/442 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/443 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/444 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/445 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/446 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/447 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/448 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/449 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/450 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/451 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/452 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/453 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/454 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/455 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/456 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/457 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/458 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/459 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/460 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/461 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/462 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/463 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/464 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/465 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/466 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/467 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/468 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/469 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/470 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/471 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/472 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/473 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/474 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/475 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/476 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/477 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/478 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/479 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/480 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/481 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/482 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/483 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/484 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/485 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/486 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/487 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/488 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/489 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/490 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/491 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/492 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/493 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/494 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/495 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/496 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/497 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/498 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/499 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/500 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/501 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/502 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/503 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/504 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/505 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/506 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/507 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/508 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/509 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/510 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/511 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/512 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/513 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/514 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/515 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/516 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/517 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/518 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/519 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/520 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/521 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/522 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/523 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/524 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/525 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/526 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/527 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/528 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/529 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/530 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/531 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/532 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/533 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/534 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/535 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/536 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/537 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/538 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/539 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/540 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/541 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/542 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/543 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/544 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/545 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/546 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/547 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/548 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/549 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/550 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/551 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/552 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/553 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/554 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/555 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/556 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/557 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/558 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/559 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/560 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/561 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/562 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/563 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/564 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/565 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/566 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/567 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/568 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/569 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/570 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/571 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/572 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/573 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/574 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/575 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/576 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/577 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/578 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/579 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/580 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/581 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/582 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/583 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/584 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/585 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/586 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/587 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/588 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/589 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/590 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/591 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/592 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/593 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/594 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/595 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/596 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/597 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/598 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/599 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/600 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/601 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/602 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/603 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/604 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/605 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/606 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/607 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/608 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/609 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/610 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/611 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/612 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/613 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/614 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/615 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/616 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/617 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/618 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/619 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/620 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/621 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/622 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/623 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/624 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/625 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/626 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/627 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/628 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/629 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/630 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/631 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/632 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/633 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/634 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/635 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/636 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/637 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/638 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/639 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/640 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/641 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/642 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/643 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/644 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/645 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/646 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/647 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/648 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/649 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/650 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/651 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/652 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/653 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/654 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/655 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/656 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/657 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/658 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/659 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/660 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/661 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/662 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/663 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/664 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/665 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/666 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/667 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/668 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/669 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/670 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/671 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/672 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/673 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/674 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/675 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/676 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/677 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/678 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/679 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/680 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/681 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/682 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/683 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/684 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/685 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/686 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/687 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/688 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/689 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/690 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/691 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/692 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/693 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/694 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/695 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/696 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/697 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/698 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/699 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/700 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/701 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/702 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/703 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/704 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/705 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/706 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/707 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/708 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/709 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/710 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/711 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/712 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/713 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/714 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/715 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/716 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/717 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/718 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/719 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/720 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/721 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/722 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/723 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/724 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/725 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/726 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/727 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/728 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/729 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/730 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/731 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/732 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/733 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/734 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/735 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/736 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/737 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/738 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/739 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/740 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/741 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/742 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/743 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/744 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/745 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/746 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/747 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/748 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/749 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/750 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/751 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/752 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/753 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/754 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/755 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/756 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/757 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/758 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/759 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/760 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/761 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/762 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/763 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/764 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/765 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/766 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/767 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/768 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/769 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/770 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/771 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/772 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/773 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/774 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/775 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/776 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/777 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/778 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/779 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/780 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/781 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/782 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/783 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/784 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/785 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/786 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/787 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/788 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/789 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/790 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/791 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/792 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/793 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/794 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/795 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/796 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/797 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/798 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/799 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/800 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/801 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/802 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/803 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/804 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/805 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/806 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/807 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/808 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/809 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/810 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/811 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/812 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/813 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/814 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/815 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/816 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/817 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/818 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/819 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/820 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/821 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/822 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/823 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/824 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/825 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/826 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/827 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/828 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/829 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/830 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/831 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/832 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/833 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/834 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/835 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/836 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/837 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/838 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/839 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/840 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/841 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/842 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/843 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/844 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/845 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/846 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/847 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/848 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/849 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/850 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/851 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/852 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/853 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/854 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/855 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/856 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/857 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/858 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/859 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/860 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/861 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/862 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/863 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/864 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/865 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/866 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/867 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/868 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/869 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/870 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/871 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/872 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/873 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/874 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/875 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/876 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/877 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/878 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/879 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/880 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/881 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/882 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/883 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/884 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/885 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/886 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/887 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/888 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/889 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/890 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/891 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/892 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/893 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/894 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/895 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/896 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/897 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/898 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/899 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/900 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/901 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/902 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/903 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/904 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/905 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/906 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/907 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/908 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/909 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/910 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/911 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/912 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/913 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/914 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/915 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/916 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/917 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/918 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/919 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/920 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/921 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/922 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/923 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/924 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/925 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/926 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/927 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/928 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/929 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/930 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/931 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/932 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/933 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/934 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/935 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/936 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/937 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/938 Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/939 posa une transaction. On pouvait ne pas l’accepter. L’aveugle jugea que Félix Radèze, ayant volé une fortune à l’enfant trouvée, il fallait la lui restituer. Mathilde vendit Fauconville trois cent mille francs à Daniel.

Fauconville est immense. Mme Mathieu et la mère Baudruche y ont trouvé leur place, en y amenant le ménage Trotignon. Sylvestre ne fait plus de souliers, et Sophie peut lire Dumas toute la journée, son chou blanc adorant la promenade. La loge est une sinécure.

Les jeunes gens, s’entendant fort peu aux affaires, c’est M. Samson qui en a pris la direction, en même temps que l’abbé Perin s’est chargé comme autrefois de celle des consciences. Malgré l’émotion du retour, on espère que le brave chapelain vivra long- temps, ayant perdu au service de l’humanité l’obésité dangereuse qu’il avait acquise au seul service de Dieu.

Quand le fiacre de M. Martinet eut dépassé la barrière d’Enfer, Mathilde eut un accès de mauvaise humeur, dont l’homme d’affaires demanda la cause.

— Je m’ennuie ! dit-elle.

C’était de l’ingratitude, M. Martinet lui donnant chaque jour, avec une patience digne d’un meilleur sort, des leçons d’économie.


FIN

TABLE DES MATIÈRES


PROLOGUE


Première partie. — LA FAMILLE DE BAURAIN.
I. — 
 31
III. — 
 46
IV. — 
 54
 68
 131
XIV. — 
 151
 167
 190
XIX. — 
 210
 234
XXIII. — 
 262
XXIV. — 
 287
XXV. — 
 292
 322
Deuxième partie. — LE COFFRET.


 371
 398
IV. — 
 405
VII. — 
 442
 1
XV. — 
 1
XVII. — 
 1
XVIII. — 
 1
 1
XXVI. — 
 1
XXVIII. — 
 1
XXIX. — 
 1
XXX. — 
 1
 1
XXXIII. — 
 1
XXXIV. — 
 1
XXXVIII. — 
 1
XL. — 
 1
XLI. — 
 1


FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES
Paris. — Typ. Collomhon et Brûlé, rue de l’abbaye
Page:Bias - Les Faux Monnayeurs.djvu/945