Les Femmes célèbres contemporaines françaises/Babois

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, Alfred de Montferrand, Lesguillon
(p. 117-132).
Mme Babois.
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    Jeter tous nos chefs-d’œuvre au feu.
Mais, hélas ! vous partez… Ce périlleux voyage,
Muse, vous le ferez ; c’est votre dernier vœu.
Peut-être je voudrais, tranquille sur la plage,
Pour contenter encore un désir curieux,
Sur des flots incertains vous suivre au moins des yeux ;
    Mais j’aperçois le noir rivage,
Et sur son trône assis l’inexorable dieu
Que ne saurait fléchir muse au gentil langage.
Déjà Caron m’appelle et m’attend au passage.
    Puissiez-vous, dans ce triste lieu,
Ne me suivre jamais !… Adieu donc, Muse, adieu !

Mlle S. Ulliac Trémadeure.