Les Parlers Parisiens/Émile Zola

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H. Welter (p. 11-17).
Émile Zola.

M. Zola, né à Paris, le 2 avril 1840, fils d’un Italien, passa son enfance à Aix en Provence et ne revint à Paris qu’en 1858. Le passage suivant, tiré du „Rêve“ (p. 82-84), m’a été lu par lui deux fois, avec beaucoup d’expression, mais avec une certaine nonchalance dans l’articulation. De la prononciation méridionale il ne lui est resté qu’une r assez fortement roulée; pour tout le reste, M. Zola prononce comme un Parisien. Dans sa jeunesse, il prononçait avec une certaine difficulté la sifflante s, qu’il remplaçait par t; aujourd’hui on ne s’en aperçoit plus qu’à une hésitation presque insensible à articuler les s initiales. M. Zola prononce les, des etc. avec e ouvert; l’article indéfini un devant une voyelle comme ün (= une); la terminaison -ation a, dans sa bouche, tantôt a mi-fermé, tantôt a ouvert (génération p. 13, l. 9; sensation p. 15, l. 7); la diphtongue u̯a sonne presque toujours o͜a; les r et plus encore les l finales après une muette (fenêtres p. 13, l. 10), siècle (p. 13, l. 8), trèfle (p. 15, l. 2) etc. tendent à disparaître; dans siècle (l. c.), j’ai entendu presque un k mouillé (si̯ęk’). Dans aiguille (p. 15, l. 16), il y avaint une (véritable) l mouillé très faiblement articulée. Les e fermés protoniques devenaient volontiers des e mi-ouverts.

Dans les variantes, j’ai indiqué ici les cas où M. Jacob a prononcé des ɹ (vulgo grasseyées). Comme elles revenaient assez régulièrement à la fin des syllabes suivies d’une consonne, j’ai jugé inutile de les marquer dans les variantes données pour les autres textes.



La cathédrale.

Mais la cathédrale, à sa droite, la masse énorme qui bouchait le ciel, la surprenait plus encore. Chaque matin, elle s’imaginaiti la voir pour la première fois, émue de sa découverte, comprenant que ces vieilles pierres aimaient et pensaient comme elle. Cela n’était point raisonné, elle n’avait aucune science, elle s’abandonnait à l’envolée mystique de la géante, dont l’enfantement avait duré trois siècles et où se superposaient les croyances des générations. En bas, elle était agenouillée, écraséee par la prière, avec les chapelles romanes du pourtour, aux fenêtres à plein cintre, nues, ornées seulement de minces colonnettes, sous les archivoltes. Puis, elle se sentait soulevée, la face et les mains au ciel, avec les fenêtres ogivales de la nef, construites quatre-vingts ans plus tard, de hautes fenêtres légères, divisées par des meneaux qui portaient des arcs brisés et des roses. Puis, elle quittait le sol, ravie, toute droite, avec les contreforts et les arcs-boutants du chœur, repris et ornementés deux siècles après, en plein flamboiement du gothique, chargés de clochetons, d’aiguilles et de pinacles. Des gargouilles, au pied des

lą kątedrạl.[1]

      mę lą kątedrạl, ą są dro͜ąt, lą mąs enǫrm ki[2]
bušę l si̯ęl, lą sürpənę plüz ã`kôr, šąk mątẽ, ęl[3]
simažinę lą vo͜ār pur lą prəmi̯êr fo͜ą, emü: t są[4]
5.dekuvęrt, kõprənã kə sę vi̯ęi̯ pi̯êr ęmęt e pãsę kǫm ęl.[5]
sə’lą netę pu̯ẽ ręzǫné, ęl ną`vęt okün si̯ã:s, ęl są`bãdǫnęt[6]
ą lãvǫle mįstįk də lą žeã:t, dõ l’ã`fãtəmã ąvę[7]
düre tro͜ą si̯ĕkˡ e u sə süpęrpozę lę kro͜ąi̯ãs dę ženerạ`si̯õ.[8]
ã ba, ẹl etęt ą`žənūi̯e, ekrāze pąr lą prii̯êr,[9]
10.ąvęk lę šąpĕl rǫman dü pụrtūr, o fənêtʳz ą plẽ sẽtʳ,[10]
nü, ôrne sœ̨lmã də mẽs kǫlǫnĕt, su lęz ą`ršivǫltə.[11]
pü̯iz ẹl sə sãtę sulve, lą fąs e lę mẽz o si̯ęl, ąvęk lę[12]
f(ə)nêtr ǫživąl də lą nęf, kõstrü̯it kątr vẽz ã plü tār,[13]
də ot fənêtr ležêr, divize pąr dę məno ki pǫrtę dęz ąrk[14]
15.brize e dę rōz. pü̯is, ĕl kįtę l sǫl, rąvi, tųt dro͜ąt,[15]
ąvęk lę kõtrfôr e lęz ąrk butã dü kœ̨:r, rə`priz e ǫrn(ə)mãte[16]
dœ si̯ękˡz ąprę, ã plẽ flãbo͜amã dü gǫtįk, šąrže də[17]
klǫštõ, dęgü̯ii̯z e də pinạkl. dę gąrgu͜ii̯, o pi̯, dęz[18]

arcs-boutants, déversaient les eaux des toitures. On avait ajouté une balustrade garnie de trèfles, bordant la terrasse, sur les chapelles absidales. Le comble, également, était orné de fleurons. Et tout l’édifice fleurissait, à mesure qu’il s’approchait du ciel, dans un élancement continu, délivré de l’antique terreur sacerdotale, allant se perdre au sein d’un Dieu de pardon et d’amour. Elle en avait la sensation physique, elle en était allégée et heureuse, comme d’un cantique qu’elle aurait chanté, très pur, très fin, se perdant très haut.

D’ailleurs, la cathédrale vivait. Des hirondelles, par centaines, avaient maçonné leurs nids sous les ceintures de trèfles, jusque dans les creux des clochetons et des pinacles; et, continuellement, leurs vols effleuraient les arcs-boutants et les contreforts, qu’ils peuplaient. C’étaient aussi les ramiers des ormes de l’Évêché, qui se rengorgeaient au bord des terrasses, allant à petits pas, ainsi que des promeneurs. Parfois, perdu dans le bleu, à peine gros comme une mouche, un corbeau se lissait les plumes, à la pointe d’une aiguille. Des plantes, toute une flore, les lichens, les graminées qui poussent aux fentes des murailles, animaient les vieilles pierres du sourd travail de leurs racines. Les jours de grandes pluies, l’abside entière s’éveillait et grondait, dans le

ąrkbutã, devęrsę lęz o dę to͜ątü:r. ǫn ąvęt ąžūte ün[19]
bą`lüstrad gąrni də trĕfˡ, bǫrdã lą tęrąs, sür lę šąpęl[20]
ăpsidạl. lə kõ`bl egąlmã, etęt ǫrne t flœ̨rõ. e tu[21]
ledifis flœ̨risę, ą məzü:r kįl sąprǫšę dü si̯ęl, dãz ün[22]
5.elãsəmã kõ`tinü, dèlivre də lãtįk tęrœ̨r sąsęrdǫtąl, ąlã[23]
sə pęrdr ọ sẽ dœ̃ di̯œ də pąrdõ e dąmūr. ęl ąn̄ ąvę[24]
lą sãsąsi̯õ fizįk, ęl ąn etę ąleže e œ`rœ:z, kǫm dœ̃[25]
kãtįk kĕl ǫrę šãte, trę pü:r, trę fẽ, sə pęrdã trę` o.[26]
       dą́͜ii̯œ̨:r, lą kątedrạl vivę. dẹz irõdęl, pąr sãtęn,[27]
10.ąvę mąsǫne lœ̨r ni su lę sẽtü:r də trĕfˡ, žüskȩ dã lę[28]
krœ dę klǫštõ e dę pinąkl; e, kõtinüęlmã lœ̨r vǫl[29]
ę`flœrę lęz ąrkbutã e lę kõtrfôr, kįl pœ̨plę. s etęt[30]
osi lę rąmi̯e dęz ǫrm də levę`še, ki sə rãgǫržę o bôr[31]
dę tęrąs, ąlã ą pti pa, ẽsi k(ə) dę prǫmnœ̨:r. pą́rfu̯ą,[32]
15.pę`rdü dã lə blœ, ą pęn gro kǫm ün mųš, œ̃ kǫrbo sə[33]
lisę lę plüm, ą lą pu̯ẽt dün ęgü̯il̃ȩ. dę plã:t, tųt ün[34]
flôr, lę likęn, lę grąmine ki pust o fã(t) dę mürą͜ii̯,[35]
ąnimę lę vi̯ęi̯ pi̯êr dü sūr trąvą͜i də lœ̨r rą`sin. lȩ[36]
žūr də grãd plü̯i, ląpsīd ãti̯êr sevęi̯ęt e grõdę, dã lə[37]

ronflement de l’averse battant les feuilles de plomb du comble se dédversant par les rigoles des galeries, roulant d’étage en étage avec la clameur d’un torrent débordé. Même les coups de vent terribles d’octobre et de mars lui donnaient une âme, une voix de colère et de plainte, quand ils soufflaient au travers de sa forêt de pignons et d’arcatures, de colonettes et de roses. Le soleil enfin la faisait vivre, du jeu mouvant de la lumière, depuis le matin, qui la rajeunissait d’une gaieté blonde, jusqu’au soir, qui, sous les ombres lentement allongées, la noyait d’inconnu. Et elle avait son existence intérieure, comme le battement de ses veines, les cérémonies dont elle vibraiti toute, avec le branle des cloches, la musique des orgues, le chant des prêtres. Toujours la vie frémissait en elle: des bruits perdus, le murmure d’une messe basse, l’agenouillement léger d’une femme, un frisson à peine deviné, rien que l’ardeur dévote d’une prière, dite sans paroles, bouche close.



rõfləmã de ląvęrs bątã lę fœ̨i̯ də plõ dü kõ:bl, sə[38]
dèvęrsã pąr lę rigǫl dę gąlri, rūlã detaž ąn etaž ąvęk[39]
lą klą`mœ̨:r dœ̃ tǫ`rã: debôrde. mêm, lę ku d vã[40]
tęribl dǫktǫbr e d(ə) mąrs lü̯i dǫnęt ün ām, ün vo͜ą[41]
5.t kǫlêr ę t plẽ:t, kãt il suflęt o trąvêr də są fǫrę də[42]
pįñõ e dąrkatü:r, də kǫlǫnętdz e də rōz. lə sǫlẹi̯[43]
ãfẽ lą fəzę vīvr, dü žœ mùvã də lą lümi̯êr, t pü̯i l[44]
mątẽ, ki lą rąžœ̣nisę dün gĕte blõ:d, žüsko su̯ār, ki,[45]
su lęz õbr lãtəmãt ąlõ:že, lą no͜ąi̯ę dẽkǫnü. e ęl ąvę[46]
10.sǫn ęgzįstãs ẽteri̯œ̨:r, kǫm lə bắtəma də sę vĕn, lę[47]
seremǫni dõt ęl vibrę tųt, ąvęk lə brãl dę klǫš, lą[48]
müzįk dęz ǫrg(ə), lə šã dę prętr. tùžūr lą vī frẹmisęt[49]
ąn ęl : dę brü̯i pęrdü, lə mų̈rmü:r dün mĕz bąs, lažənūi̯əmã[50]
leže dün fąm, œ̃ frisõ ą pĕn dəvine, ri̯ẽ k[51]
15.ląrdœ̨r devǫt dün prīi̯êr, dit sã pąrǫl, bušə klōz.[52]



  1. kătedrāl Ro Ri.
  2. kątedral Ro Ri. a Bl Ri. dru̯ąt J Ro. ẹnǫrm Ri.
  3. süɹprənę J. ãkôr J Ro Ri. šak Bl Ri.
  4. vu̯ār J Ro Bl. fu̯ą J Ro Bl Ri. də są Bl.
  5. dekuvęɹt J Ro. k sę Ro Ri; kə se J Bl. ęmê Ro Bl. ĕl J Bl.
  6. slą Bl Ri. rezǫne J. ĕl J. nąvęt Ro Ri; nąvę Bl. okụ̈n Ri. siã:s Bl. ĕl J. sąbãdǫnę Ro Bl; sąb`ãdǫnę́’t J.
  7. mįstịk Bl. ãfã:təmã J Ro Bl Ri.
  8. si̯ękl Ro. süpęɹpozę J. le J Bl. kru̯ąi̯ã:s Bl. de J Bl Ri.
  9. ženerąsi̯õ Ro Bl Ri. ęl Ro Bl; ĕl J Ri. ąžui̯e J Ro Ri; ąžənui̯e Bl. ekrā’ze Ro Bl Ri.
  10. le J Bl Ri. rǫmąn J Bl. fənêtrz Ro Bl Ri; fənêtr (dans une répétition rapide) Ro. plẽ’ Ri. sẽ:tr Ro Bl.
  11. ǫrne Ri. sœ̨ləmã Ri. mẽ:s Ro. kǫlǫnęt J. lez J Bl Ri. ąršivǫlt J Ro Bl Ri.
  12. pu̯i Ro Bl. ĕl J; ęl Ro Ri. sulvᵊve Ro; su’ləve Ri. fāsz Ro. le J. mẽ Bl. le J Bl Ri.
  13. fənêtr J Ro Bl Ri. ǫživāl Ri.
  14. fnêtre Ri. lęžêr Ri. dívize Ro. de J Bl Ri. mno Bl Ri. dez J Bl Ri. ąrkᵊ Ro.
  15. brizez J. de J Bl Ri. pü̯i Ro Bl; pü̯iz J Ri. lə sǫl J Ro. tųtə Ro Bl; tutə Ri.
  16. le J Bl. lez J Bl. ąrkᵊ Ro. rəpri Ro Bl. ọrnəmãte J Bl Ri.
  17. gǫtik Ro Bl Ri (une fois gǫtįk Ro). šaɹže J.
  18. degü̯ii̯ J; dęgü̯ii̯ Ro; dęgü̯il̃z Ri. e t J. pinąkl J; pinakl Ro; pinakˡ Bl; pinākl Ri. de J Bl Ri. gą’rguii̯ Ro; gargu͜il̃ Ri. dez J Ri; dẹz Bl.
  19. ąrkəbutã Ro. devęɹse J. lez J Ri. de J Ri. ǒn Bl.
  20. bąlüstrad Bl Ri. terąs Bl. le J Bl Ri. šąpęlz J Ro Ri; šąpĕl Bl.
  21. ăpsidal Ri. kõbl Bl Ri. egąləmã J Ro; egaləmã Ri.Bl. flœrõ Ro.
  22. flœrisę Ri. a Ri. mzü:r Ro Bl Ri. œ̨n J Ri; œ̌n Bl.
  23. kõtinü Bo Bl Ri. delīvre J. lãtik Bl. sąsęrdŏtąl Ri; sąsęrdǫtăl Bl.
  24. se pęɹdr J; sə pęrdʳ Ro; s pęrdr Bl Ri. pąɹdõ J. ĕl J. ǎn Bl Ri.
  25. sãsăsi̯õ Ri. ĕl J. œrœ:z Ro Bl; œrœ̨:z Ri.
  26. orę Ro Ri. trę́ pü:r, trę́ fẽ, trę́ o Ro Ri. pę́ɹdã J. trę o Bl.
  27. kątedrāl Ri. dez J Bl ri; dęz Ro. irõdĕl J. sã’tęn Ro Ri.
  28. mą́sǫne Ri. lœ̨ɹ ni J. le J Bl Ri. sẽ’tü:r J. le J Bl Ri.
  29. de J Bl. klǫštõz J. de J Bl Ri. pinākl Ro Bl Ri. kõ’tinüęlmã Ri. vǫlz J.
  30. ęflœrę Ro Bl Ri. lez J Bl. ąrkəbutã Ro. le J. pœplę J Bl; pœ plę (vulg. pŏplę) Ri.
  31. le J; lẹ Bl. dez J Bl Ri. ǫɹm J. levęše Bl Ri. ki s J. rãgǫɹžęt J; rã’gǫržę Ro; rã’gǫržęt Bl Ri.
  32. de J Bl. tęrăs Ri. ạlãt J Bl. k Ro Ri. de Bl Ri. pąrfu̯ą Bl.
  33. dãl J Ro Ri. pĕn J Ro. muš Ro Bl Ri. s Bl.
  34. le J Bl. egü̯ii̯ə J; ęgü̯ii̯ Ro Bl; ęgü̯il̃ Ri.J Ri; de Bl. tųt Ro.
  35. le J Bl Ri. líkęn J Ro. le J Bl Ri. grą́mine J; grạ́mine Ro. pųst J; pūs Ro. fã:t Bl Ri; fã:tə Ro. de J Bl Ri. müra͜i J; mürą͜il̃ Ri.
  36. ąnímę Ro. le J Bl. vi̯ęl̃ Ri. pi̯êɹ J. trąvą͜ii̯ Bl; trąvą͜il̃ Ri. rąsin Bl. le J Bl Ri.
  37. grã’:d Ro. ãti̯êɹ J. sevęi̯t J; sevęi̯ę Bl. grõde J. dã l Bl.
  38. ląvĕɹs J; ląvęrsᵊ Ro; ląvĕrs Ri. bą́tã J Ro. le J Bl. fœ̨l̃ Ri.
  39. devęɹsã J; devęrsã Bl. le J Bl. rígǫl Ro. de J Bl. gąlrí Ro; gālri Ri. detāž Bl. etāž Ri.
  40. kląmœ̨:r J Ro Rl; klamœ̨:r Ri. tǫrã Ro Bl Ri. debǫrdé Ro Bl Ri. le J Bl.Ro Bl Ri.
  41. teribl Bl. dǫktǫbʳ Bl; dǫktôbr Ri.Bl Ri; d J Ro. unᵊ Bl Ri. vu̯ą J Ro Bl.
  42. Bl Ri. e J Bl Ri.Br Ri. trąvêɹ J. t są Bl. fǫrę d’ Ro.
  43. kǫlonĕt Ro Bl. ę d J Bl; e d Ro. rôz Ri. sǫlęl̃ Ri.
  44. fzę Ri. d lą Bl Ri. dəpü̯i J Ro Bl Ri.Bl Ri.
  45. mą`tẽ Ro. rąžœnisę J Ri. gęte Ri.
  46. lez J Br Ri. õ:br Ro Bl; õbʳ J. lãtmãt Ri. ąlõže Ro Bl Ri. nu̯ąi̯ę J Ro (ou nǫ’͜ąi̯ę Ro).
  47. se J Ri. vęn Bl; vęnə Ri. le J.
  48. se`remǫni J Ro Ri. tut J Ri (ou tutᵊ) Ro. de Bl Ri;J.
  49. dez Bl Ri; déz J. ǫrg J Bl; ǫrgə Ro Ri. de J Bl Ri.
  50. ǎn Ri. ĕl J. de J Bl Ri. pęrdü J. měsz Bl. bas J; bās Ro. ląžnu͜ii̯əmã Ro.
  51. frísõ Bl; frįsõ Ri.
  52. dünə Ri. prii̯êr Ro Bl Ri. bųš J Ro Bl Ri. klôz Ri.