Les Parlers Parisiens/Pubs
LIBRAIRIE UNIVERSITAIRE | FONDÉE EN 1882 |
M . . . . . .
Permettez-moi de me rappeler à vos bons souvenirs. Tous mes soins seront toujours acquis aux commandes que vous voudrez bien me faire parvenir.
Vous savez que la vente de livres anciens ou d’occasion n’est pas ma seule spécialité, et s’il est vrai que nulle part en France vous ne trouveriez un fond plus important et aussi varié de Livres d’occasion, nulle part aussi vos
ne sauraient être exécutés avec plus d’exactitude. Mes relations avec les librairies et éditeurs de tous les pays me mettent à même de vous fournir, avec une égale facilité, dans les plus courts délais et aux conditions les moins onéreuses, les
anglais, allemands, italiens, espagnols, portugais, américains, orientaux, etc., ainsi que les
Les relations que j’entretiens depuis dix ans avec près de 5.000 savants et bibliothèques de France et de l’Étranger sont basées sur une mutuelle confiance. Toute commande, d’où qu’elle vienne, est immédiatement exécutée sans demande préalable de références ni de garanties.
Je laisse à l’appréciation de mes clients s’ils veulent se faire ouvrir un compte en m’envoyant de temps à autre des provisions de fonds à valoir sur des commandes à faire (ce qui est le moyen le plus pratique), provisions de l’emportance desquelles ils seront seuls juges, qu’ils sauront mesurer d’après leurs besoins et renouveler avant épuisement complet, ou s’ils veulent régler leur compte une fois par trimestre (et non pas une fois pare semestre ou par an), mais avec régularité et promptitude alors, l’argent étant le nervus rerum de tout commerce.
Les remises ou rabais que vous trouverez indiqués plus loin dans une page spéciale, ou la franchise des frais de poste qui peut remplacer la remise, ne peuvent être maintenues pour les factures que les Clients laisseraient impayées pendant plus de trois mois, car à mesure que le crédit s’allonge, le bénéfice, très faible, dont je me contente, se réduit ou disparaît. Quelques clients ne se rendent pas compte de cela; je me permets donc d’insister sur la nécessité du paiement dans le délais prévus par mes conditions de fourniture, qui sont :
comprises dans une des périodes trimestrielles de Janvier à Mars, Avril à Juin, Juillet à Septembre, Octobre à Décembre, sauf conventions contraires ayant précédé la fourniture, motu proprio dans le courant du mois qui suit la clôture du trimestre, c’est-à-dire en Avril, Juillet, Octobre et Janvier.
Différer les paiements sous prétexte que la somme due est minime et qu’on aura peut-être prochainement occasion de la grossir par une nouvelle commande, équivaut à me mettre dans la nécessité de faire des reports de trimestre en trimestre. Et puis 1.000, 1.500 ou 2.000 petites sommes en représentent ensemble une très considérable qu’il peut être pénible de ne pas voir se renouveler fréquemment.
Dans l’attente de vos fréquentes commendse, j’ai l’honneur d’être, M , votre tout dévoué serviteur
Adresse postale : Librairie Universitaire, H. Welter, rue Bonaparte, 59, à Paris.
Adresse télégraphique ; Welter, Bonaparte, 59, Paris.
Maison à Leipzig (Allemagne) Salomonstrasse, 16.
Les mandats-poste étrangers doivent être libellés : Payable au bureau 10, à Paris.
Il est un fait acquis que plus on est éloigné de Paris, plus on paie cher les productions littéraires de la France.
Ainsi, le franc devient 1 fr. 10 en Suisse, 1 Mark = 1 fr. 25 en Allemagne, 1 sh. = 1 fr. 25 en Angleterre, 60 kr. = 1 fr. 25 en Autriche, 1 L. 25 en Italie, et ainsi de suite. Dans les pays lointains, surtout hors de l’Europe, le prix est quelquefois doublé. Je ne m’avance donc pas trop en affirmant qu’en me confiant l’exécution de vos ordres, le budget que vous consacrez annuellement à l’achat de livres français se trouvera augmenté de 20 à 25 % et davantage même selon les circonstances, ce qui vous permettra d’enrichir votre bibliothèque dans les mêmes proportions.s
Livre très utile à tous ceux qui écrivent, pour faciliter leurs rapports avec les imprimeurs et les éditeurs.
LIBRAIRIE UNIVERSITAIRE FRANÇAISE ET ÉTRANGÈRE | H. WELTER | 59, RUE BONAPATRE, 59 PARIS |
La reliure en demi-chagrin bleu, tête jaspée, tranches ébarbées, se paye 3 fr. par volume.
Il a été tiré de chaque volume 75 exemplaires sur papier vergé de Hollande, au prix double de celui du papier ordinaire.
Édouard Laboulaye, qui voulait bien m’honorer de quelque amitié, n’était point partisan des «éditions revues et considérablement augmentées», et encore moins des «éditions entièrement refondues». Il me le disait un jour avec sa verve habituelle et me mettait en garde contre cette tendance fatale de certains érudits à recommencer sans cesse leurs anciens livres: «Je compose les miens, me disait-il, en toute confiance et loyauté, et les abandonne ensuite à leur destinée. Quant à les refaire, je m’en défends, et préfère en publier de nouveaux.» Voilà certes d’excellents conseils et dont j’auraiis dû m’inspirer, lorsque j’entrepris cette seconde édition des Épopées françaises qui m’a coûté un si long labeur et où (pour ne parler que du présent volume) je n’ai pas, en quatre cents pages, conservé cent lignes de la première édition.
Il est vrai que je ne suis pas sans excuse. L’Histoire littéraire du moyen âge est une science qui, depuis trente ans, a fait de belles enjambées et a parcouru rapidement un long chemin. Elle a même été si bien renouvelée qu’un livre de 1865, à force de paraître candide, ne serait pas fort loin de sembler ridicule. C’est ce qui m’a décidé, entre autres motifs, à entreprendre cette édition: œuvre assez ingrate après tout, et dont quelques érudits, peut-être, seront seuls à me savoir gré.
Ils sont vraiment douloureux, ces recommencements d’un vieux livre. On se heurte sans cesse à quelque erreur qu’il faut loyalement redresser. On s’aperçoit (je parle pour moi) qu’on a jadis été trop affirmatif et téméraire. Puis, l’âge est venu. On a plus d’expérience, et moins d’entrain. On n’est plus à la fête, mais au devoir. Une première édition, c’est le printemps; les autres, c’est l’automne.
Telle qu’elle est, cette nouvelle édition rendra peut-être quelques services. Je n’ai pas la prétention d’y avoir été partout original, et je me borne à réclamer, pour certaines parties de mon œuvre, le rôle modeste d’un vulgarisateur de bonne volonté, qui s’est tenu au courant et prend le soin d’indiquer, avec une précision loyale, toutes les sources auxquelles il est remonté. Il me sera sans doute permis d’ajouter que, dans le présent volume comme dans les autres, il y a des éléments vraiment nouveaux et que personne encore n’avait mis en œuvre. J’ai réuni sur les jongleurs un certaini nombre de textes qu’aucun érudit, je pense, n’a connus avant moi, et je crois pouvoir, en toute sincérité, me rendre le même témoignage pour tout ce qui touche à l’exécution des chansons de geste, aux dernières chansons en vers, aux romans en prose, à la longue et triste histoire de notre décadence épique. Quand je mis pour la première fois la main à ce gros livre, je me proposais d’offrir au public une vaste synthèse sur les chansons de geste où j’ajouterais les résultats de mes recherches personnelles à ceux que mes devanciers avaient déjà conquis. Je n’ai jamais cessé de me proposer le même but : c’est au public de décider si je l’ai atteint.
Si long qu’ait été le chemin, j’ai eu la consolation d’y rencontrer des mains qui se sont tendues vers moi, des voix qui m’ont encouragé, et ce n’est pas sans quelque émotion que je prononce ici les noms de Guizot et de Natalis de Wailly. D’aussi grands noms ne sauraient me faire oublier ces jeunes amis — mes élèves d’hier — qui, notamment dans le présent volume, se sont fait une joie de venir en aide à leur ancien maître. Je croirais manquer à un devoir si je n’adressais ici mes remercîments à MM. Labande, Vernier et Le Grand. Je dois aux deux premiers la précieuse communication d’un certain nombre de textes inédits sur le fief de la jonglerie de Beauvais et sur le rôle des jongleurs à la cour des ducs de Bourgogne. Le troisième a bien voulu rédiger, sous ma direction, cette Bibliographie des chansons de geste qui est peut-être faite pour donner à mon œuvre un caractère plus marqué d’utilité pratique. C’est là une qualité que les érudits contemporains tiennent à bon droit en haute estime et qui les rend parfois indulgents pour les défauts des autres et pour les leurs.
Un de ces défauts dont il convient que je m’accuse et que l’excellent M. Laboulaye aurait eu quelque peine à me pardonner, c’est d’avoir fait attendre plus de dix ans la publication de ce tome II, et surtout de le publier si longtemps après les tomes III et IV. Je sens, mieux que personne, tous les inconvénients qu’entraîne une telle interversion. Il est certain que ce présent volume est scientifiquement en progrès sur les autres; qu’il est plus «au courant» ; qu’il offre fatalement des répétitions plus ou moins heureuses, des raccords plus ou moins adroits, et, chose plus regrettable, que je me vois forcé d’y combattre plus d’une fois les thèses des volumes suivants et de me réfuter moi-même … par avance. J’expliquerais bien à mes lecteurs les causes d’un retard qui est en apparence inexplicable, s’ils pouvaient y prendre quelque intérêt. J’estime qu’il vaut mieux ne pas les importuner par des excuses trop personnelles, et «battre ma coulpe».
Les Épopées françaises ont rempli dans ma vie près de vingt ans de travail.
Si j’ai fait un peu mieux connaître notre vieille poésie nationale, si je l’ai fait un peu mieux aimer; si j’ai contribué à lui ouvrir la porte si longtemps fermée des programmes et des examens universitaires et à faire enfin placer le Roland près de l’Illiade : longo proximus intervallo ; si surtout, au lendemain de désastres sans nom, j’ai pu raviver un peu l’amour pour la chère patrie française, en montrant que tous les Roncevaux sont glorieusement réparables ; si le nom de Roland — avec celui de Jeanne d’Arcr qui est plus français encore — a pu servir de ralliement aux âmes éprises d’un véritable patriotisme ; si je puis dire enfin, sans trop de vanité, que je n’ai pas été tout à fait étranger à cette magnifique et salutaire résurrection ;
S’il en est ainsi, je n’aurai pas perdu ma peine et mon ahan, et ce n’est pas sans quelque consolation que je déposerai ma plume et prendrai enfin congé de mes lecteurs.
29 septembre 1892.
Niort, 1877—1882.
Il n’est point de véritable ami des lettres qui ne connaisse Lacurne de Sainte-Palaye ; ce laborieux érudit est encore aujourd’hui lu avec intérêt et consulté avec utilité par tous ceux qui s’occupent des travaux d’histoire et de philologie. Toutefois, par une singularité à peu près unique dans notre littérature, le plus admirable ouvrage de Lacurne, celui qui, plus que ses nombreux travaux publiés de son vivant, doit assurer à son nom une gloire impérissable, est précisément celui que l’on connaissait le moins jusqu’à présent. Demeuré inédit jusqu’à nos jours, le Dictionnaire historique de l’ancien langage françois, ce merveilleux monument de patience et d’érudition, serait encore inaccessible à tous les amis de notre langue, sans la courageuse entreprise formée si généreusement et si bien menée à bonne fin par M. L. Favre.
Lacurne de Saint-Palaye, né à Auxerre en 1697, mort en 1781, membre de l’Académie des Inscriptions en 1724 et de l’Académie française en 1758, a consacré la plus grande partie de son existence à réunir les matériaux d’un Dictionnaire historique de l’ancien langage françois. «Mes lectures, qui tendoient toutes au même but,» dit-il dans le prospectus qu’il fit paraître en 1756, «m’ont mis en état de rassembler une multitude immense de mots surannés. J’ai cru pouvoir en composer, je ne dirai pas un Glossairie aussi savant et aussi bien fait que celui de Du Cange ; mais du moins un ouvrage de même nature qui auroit aussi son utilité. J’ai tâché, autant que je l’ai pu, de me former sur cet excellent modèle. En réunissant sous un même point de vue, dans l’ordre alphabétique, les vieux mots épars dans un grand nombre d’auteurs de tous les âges, j’ai voulu représenter fidèlement notre ancienne langue. Il m’a donc paru nécessaire de l’étudier dans tous ses rapports et dans toutes les variétés, pour me déterminer sur le choix des mots que je devois faire entrer dans cette collection, ou que je pouvois en exclure.»
Dans ces quelques lignes, Lacurne de Sainte-Palaye expose le plan de son Dictionnaire. Son modèle a été Du Cange, et nous pouvons dire que, s’il ne l’a pas dépassé, au moins il l’a égalé. Il prend chaque mot de notre ancien français à son origine, il en donne l’étymologie, l’histoire, l’explication, et le fait de suivre de nombreux extraits d’anciens auteurs poètes ou prosateurs qui l’ont employé.
Non seulement on suit ainsi chaque mot à travers les siècles, mais les citations font connaître, de la manière la plus exacte, les diverses acceptions dans lesquelles le mot a été pris. Cette méthode est excellente et ne laisse aucun doute dans l’esprit sur la signification vraie et réelle des mots de notre ancien français.
Nous ne serions pas quitte envers M. Favre si nous nous bornions à constater l’irréprochable exécution matérielle de l’immense livre qu’il a entrepris ; il faut dans son ouvrage réserver une large part au savoir philologique, aux connaissances littéraires. On ne pouvait pas se borner à imprimer avec fidélité le maniscrit de Sainte-Palaye ; il était indispensable d’y joindre des notes propres à indiquer les progrès et les transformations que la science philologique a réalisés depuis la fin du xviiie siècle. En outre, la disposition de chacun des articles du Dictionnaire, le catalogue des variantes orthographiques traversées par chacun des mots, réclamaient quelque chose de plus que l’habileté d’un typographe consommé ; il fallait un philologue, un homme familier avec les monuments de l’ancien idiome et avec toutes les questions que cette étude a successivement fait naître. M. Favre a été incontestablement à la hauteur de son entreprise. Il a donc moins fait œuvre d’éditeur, dans l’acception ordinaire du mot, que de philologue et de savant. Aidé par un spécialiste de grand mérite, M. Pajot, archiviste paléographe, il a pu triompher de maintes difficultés, et ce labeur immense et complexe n’a cependant été l’œuvre que de sept années. Quant à la condition matérielle du livre, elle est irréprochable ; aucuns soins, aucuns frais n’ont été épargnés. On sent que l’éditeur n’a point voulu faire une simple spéculation, mais bien plutôt élever à notre langue un monument durable et digne de gagner les siècles à venir.
La notice biographique sur Lacurne de Sainte-Palaye, rédigiée par L. Favre, est un document d’une réelle valeur historique et littéraire. Il y a joint diverses autres pièces non moins intéressantes, parmi lesquelles on ne peut se dispenser de citer les Curiosités françoises, ou recueil de plusieurs belle propriétez, avec une infinité de proverbes et quolibets, pour l’explication de toutes sortes de livres, par Antoine Oudin. Rouen et Paris, Antoine de Sommaville, MDCLVI.
Cette espèce de dictionnaire du bas langage occupe les pages 204 à 373 du tome X et fait excellemment suite au Glossaire de Sainte-Palaye.
Enfin le dernier volume se termine par une bibliographie complète des ouvrages imprimés de La Curne et par une liste d’environ cent manuscripts de notre auteur conservés à la Bibliothèque nationale et à celle de l’Arsenal.
Il n’est pas un érudit, pas une personne s’occupant d’études historiques et philologiques, de recherches dans les archives, dans les cartulaires, dans les chartes en langue vulgaire du XIe au XVIe siècle, ou voulant connaître la signification et l’origine des termes employés par nos vieux chroniqueurs et nos anciens écrivains, qui ne soient desireux de posséder le Dictionnaire de Lacurne de Sainte-Palaye.
Auguste DOUTREPONT | et | Georges DOUTREPONT |
Professeur à l’Université de Liège. |
Professeur à l’Université de Louvain. |
La Grammaire des Langues Romanes formera trois volumes.
La souscription est obligatoire pour l’ouvrage entier, c’est-à-dire qu’aucun volume ne pourra être obtenu séparément. Les acquéreurs du premier volume se sont formellement engagés à acheter également les tomes II et III. Aux nouveaux souscripteurs, le tome II ne sera pas livré sans qu’ils achètent également le tome I et sans qu’ils prennent l’engagement d’accepter, lors de son apparition, le tome III.
Le prix de chaque volume était de vingt francs pour les souscriptions reçues jusqu’à la fin de 1894. Actuellement le Ier volume se vend 20 fr., le IIe 25 fr. Le prix du IIIe volume ne sera ni inférieur à 20 fr., ni supérieur à 25 fr.
1 Band in-8 | Preis 7 Mark = 8 fr. 75. |
Der erste Teil dieser Arbeit gelangte schon in Herrig’s Archiv, Jahrgang 1896, und als Doktordissertation der Universtät zu Zürich zum Abdruck. Das ganze Werk ist nur in oben angezeigter Form zu haben. Die Auflage ist klein, ich bitte deshalb, Bestellungen bald aufzugeben.
de 1.400 fr., pour
à 200 fr. chacun, selon le degré de leur rareté.
M. Palmé a publié les 16 premiers volumes (Tomes I à XVI) plus une Table (par RIVAIN) pour les tomes I à XV.
J’ai reproduit, avec l’autorisation de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, autorisation qu’aucun autre ne possède, les tomes 17 et suivants, que je vends :
Le tome | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 |
50 fr. | 50 fr. | 50 fr. | 50 fr. | 50 fr. | 50 fr. | 50 fr. | 50 fr. |
Les tomes 1 à 16, 25 à 31 et la table, peuvent également être obtenus de moi
jusqu’à 1888 inclusivement, sont en vente exclusivement à ma Librairie,
au prix de 6 fr. la livraison trimestrielle.
in-4. 1888-93 (75 fr.)
in-4, 1878-92. (200 fr.)
In-4, avec 3 pl. 1873. (15 fr.)
2 vol. in-4. 1867. (40 fr.)
In-8. 1848. (15 fr.)
I. In-4. 1861. (15 fr.)
In-8, rel. toile. 1874. (7 fr. 50)
1879-96. (530 fr.)
Chaque vol. (75 fr.)
1892. (150 fr.)
relié. 1896
Sur papier fort. (400 fr.)
1877.
1877, (16 fr.)
In-4. 1869. (3 fr.)
1890-91. (10 fr.)
(1150 fr.)
(460 fr.)
(105 fr.)
(25 fr.)
(6 fr.)
1885. (10 fr.)
J’en ai acquis, en 1891, 812 exemplaires de M. victor Palmé. PLus de 750 exemplaires ont été vendus depuis.
J’offre les derniers exemplaires pour :
60 | fr. | au lieu de · · · · · · · · · · · · · · · | 100 | fr. |
net |
Port à la charge des clients, en sus des prix nets du tarif. La remise peut, au choix de l’une ou de l’autre des parties, être remplacée par l’affranchissement (port à ma charge). Dans ce cas, le prix fort (sans remise) est seul dû et le client n’a point à payer les frais de poste ou de transport qui sont supportés alors par moi, et qui, pour le client, représentent ou remplacent la remise ou le rabais. Les romans nouveaux de 3 fr. 50 sont, jusqu’à nouvel ordre, vendus 2 fr. 75 net. (port en sus). Un certain nombr de classiques français (Molière, Racine, Corneille, etc.) peuvent être obtenus pour 2 fr. 25 net par volume au lieu de 3 fr. et 3 fr. 50. Le port pour un vol. de 3 fr. ou de 3 fr. 50 est de 50 à 60 centimes. |
TARIF A. | TARIF B. | ||||||
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Livres de littérature | Livres de Droit, de Sciences, de médecine et d’Érudition. (Philologie, Archéologie, etc.) | |||||||
Prix fort | Prix net | |||||||
» | 50 | » | 45 | |||||
» | 60 | » | 55 | Prix fort | Prix net | |||
» | 75 | » | 70 | 0 | 50 | 0 | 50 | |
1 | » | » | 90 | 1 | » | 1 | » | |
1 | 25 | 1 | 10 | 1 | 25 | 1 | 10 | |
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1 | 75 | 1 | 55 | 2 | » | 1 | 80 | |
2 | » | 1 | 75 | 2 | 50 | 2 | 25 | |
2 | 25 | 2 | » | 3 | » | 2 | 70 | |
2 | 50 | 2 | 25 | 3 | 50 | 3 | 15 | |
3 | » | 2 | 50 | 4 | » | 3 | 60 | |
3 | 50 | 3 | » | 4 | 50 | 4 | » | |
4 | » | 3 | 50 | 5 | » | 4 | 50 | |
5 | » | 4 | 50 | 6 | » | 5 | 25 | |
6 | » | 5 | 25 | 6 | 50 | 5 | 75 | |
7 | » | 6 | » | 7 | » | 6 | 25 | |
7 | 50 | 6 | 50 | 7 | 50 | 6 | 75 | |
8 | » | 7 | » | 8 | » | 7 | » | |
9 | » | 8 | » | 9 | » | 8 | » | |
10 | » | 8 | 75 | 10 | » | 9 | » | |
12 | » | 10 | 50 | 11 | » | 10 | » | |
13 | » | 11 | 50 | 12 | » | 10 | 75 | |
14 | » | 12 | » | 12 | 50 | 11 | » | |
15 | » | 13 | » | 13 | » | 11 | 50 | |
16 | » | 14 | » | 14 | » | 12 | 50 | |
18 | » | 16 | » | 15 | » | 13 | 50 | |
20 | » | 17 | 50 | 16 | » | 14 | 50 | |
22 | 50 | 20 | » | 16 | » | 16 | » | |
25 | » | 22 | » | 20 | » | 18 | » | |
30 | » | 26 | » | 21 | » | 19 | » | |
35 | » | 3? | » | 22 | » | 19 | 75 | |
40 | » | 35 | » | 22 | 50 | 20 | » | |
45 | » | 40 | » | 24 | » | 21 | 50 | |
50 | » | 44 | » | 25 | » | 22 | 50 |
Il va sans dire qu’à toute règle il y a des exceptions, et que les livres imprimés aux frais du gouvernement (généralement fournis sans remise ou avec un escompte insignifiant aux librairies) ainsi que les rares publications pour lesquelles les éditeurs stipuleraient un prix expressément net, les journaux français et publications périodiques de toute espèce, et enfin certains livres classiques qui, malgré leur prix minime, ont un poids considérable (tel par exemple le Petit Dictionnaire de Larousse) ne sont pas fournis avec remise, et doivent le port en sus du prix fort.
Les remises ci-dessus ne sont applicables, j’insiste sur ce point, qu’aux livres neufs. Quant aux prix demandés pour les ouvrages d’occasion, ils sont toujours nets et le client doit pour ceux-là le port en tout cas.
Nom |
Rue |
Prénom |
Ville |
Profession |
Pays |
Americana. |
Linguistique (grammaires et dictionnaires de toutes les langues européennes, orientales, américaines, africaines et océaniques). |
Catalogue spécial (no 79), de grands ouvrages (aucun au-dessous de 20 fr.) 3105 nos. Valeur totale 300,000 fr. Ce catalogue, à cause des grands frais qu’il a occasonné, est vendu 2 fr. net, mais son prix est remboursé à l’occasion de la 1re commande de 20 fr. faite d’après ce même catalogue. Le désirez-vous ? · · · · · · · · · · · · · · · · · · · ·
indiquant tous les mois à peu près 700 ouvrages anciens et nouveaux, français et étrangers, et formant à la fin de l’année 1 vol. in-8 de 300 pages, avec table, etc., etc. Si vous désirez souscrire à cette publication, veuillez joindre le prix à votre commande et répéter ici votre signature s.v.p. · · · · · · · · · · · · · · · · · · · ·
Ont paru de 1885 à 1895 cent catalogues de ma Librairie.
Vous trouverez plus haut la liste de mes catalogues ; veuillez, je vous prie, si vous tenez à recevoir ceux qui vous intéressent,
2 vol. de XXX, 640 et 378 pp. Contenant un tableau chronologique de la littérature française et la liste de 6382 gens de lettres français, accompagnés de 33 tableaux et de 24 planches hors texte en couleurs.
Le manuscrit entier est déposé à l’imprimerie Nationale. Aucune interruption dans la publication n’est à craindre et nous espérons que l’ouvrage pourra être achevé avant la fin de l’année en cours.
Aussitôt les 600 premiers exemplaires souscrits, le prix des 200 derniers sera porté à 30 fr. par volume. L’ouvrage sera tiré à 900 exemplaires sur lesquels 800 seulement sont destinés au commerce.
Les souscriptions doivent être envoyées directement à la librairie H. Welter à Paris, seule chargée de la vente de cet ouvrage dont elle a acquis l’édition entière.
L’auteur a réuni tous les mots, toutes les locutions de Molière qui lui ont paru mériter l’attention; ses citations sont suivies d’exemples tirés, presque toujours, d’auteurs du même siècle, et, autant que les textes l’ont permis, assez étendus pour qu’on y trouve, non de simples fragments, mais des phrases complètes offrant un certain intérêt. Quand il y a lieu, les articles consacrés à chaque mot sont accompagnés d’une étude historique faite à l’aide d’une série de dictionnaires qui s’étend depuis 1530 jusqu’à la dernière édition de l’Académie française, 1878; de plus, de nombreux extraits sont donnés des grammairiens du temps: Vaugelas, Ménage, Bouhours, Andry de Bois, Regard, L. Aleman, Leven de Templery, et même des grammariens antérieurs: Dubois (Sylvius), Ramus, H. Estienne, Ant. Oudin, etc.
L’auteur n’a pas réuni moins de 200 000 fiches avant d’entreprendre la composition de son Lexique comparé, qui peut être considéré comme l’œuvre d’une vie entière, œuvre sans précédent et dont il n’existe le modèle dans aucun temps et dans aucun pays.