Les oiseaux dans les harmonies de la nature/Approbations
Je ne mérite vraiment pas la dédicace de votre ouvrage ; cependant, si étranger que je sois à l’ornithologie, j’ai été frappé tout d’abord de ce que votre théorie de l’élimination a de nouveau, d’original et de vrai, et j’ai lu et relu avec infiniment de plaisir tout ce que vous dites de l’oiseau.
Je m’applaudis donc toujours d’avoir provoqué la publication de vos travaux et je ne doute pas qu’ils ne soient fort utiles à la science et à la société.
J’ai fait prendre chez votre éditeur de Saint-Dizier un certain nombre d’exemplaires que j’ai distribués à des bibliothèques de nos départements de l’Ouest.
Votre œuvre est accueillie par tout le monde avec l’intérêt qu’elle mérite, et aux approbations si honorables que vous avez déjà reçues, je suis heureux d’ajouter mes très-sincères félicitations.
Veuillez agréer, mon cher Confrère, l’assurance de mon bien affectueux dévouement.
Suivant un rapport favorable fait à la Société centrale d’Agriculture, en juin 1873, par M. Milne Edwards, membre de l’Institut, doyen de la Faculté des sciences de Paris, cette Société a accordé une médaille d’argent à M. Lescuyer. Le rapport se trouve en tête de l’ouvrage intitulé De l’Architecture des nids.
C’est avec une satisfaction bien vive que j’ai lu les travaux que vous avez publiés jusqu’ici sur les oiseaux. Les observations personnelles, si nombreuses et si variées, que vous avez faites avec autant de patience que de sagacité sur ces intéressants volatiles, sur leurs mœurs, leurs habitudes et spécialement sur le rôle providentiel qu’ils remplissent, vous ont conduit à établir la théorie de l’élimination judicieusement déduite des faits que vous avez constatés.
Votre étude sur les nids des oiseaux n’est pas moins digne d’attention.
Ainsi vous nous avez initiés à beaucoup de faits intéressants, les uns complètement nouveaux, d’autres jusqu’ici imparfaitement observés ; vous avez exposé clairement des doctrines vraies et, j’aime à le croire, vous venez d’élever à la science un monument aussi durable qu’original.
Veuillez, cher Monsieur, agréer l’assurance de mes sentiments les plus dévoués.
Dans plusieurs publications, M. Lescuyer s’est occupé de l’étude des mœurs de nos oiseaux indigènes.
Ces travaux ont attiré l’attention de la Société. Les études comme celles faites par M. Lescuyer sont des guides précieux pour combattre les espèces nuisibles ou pour protéger celles qui profitent à l’agriculture.
président du Comice départemental de la Marne, ancien député.
Le comice départemental de la Marne a fait prendre chez Firmin Marchand, libraire-éditeur, à Saint-Dizier, et distribuer cinquante exemplaires de votre ouvrage intitulé : Les Oiseaux dans les harmonies de la nature, et j’estime que de cette façon il a répandu dans notre pays d’excellentes doctrines.
En effet, l’idée mère que vous avez trouvée en dehors des sentiers battus et exposée avec autant de clarté que de développements, permet, au premier observateur venu, de comprendre et de résoudre les questions qui se rattachent à l’utilité et à la nuisibilité des insectes et des oiseaux. Je remarque avec plaisir que depuis vos publications les auteurs ont recours aux noms et aux arguments que vous avez créés et qu’ils commencent à parler d’élimination et d’éliminateurs.
Mais, si vous avez eu le mérite d’enrichir la science d’une nouvelle théorie et notre dictionnaire français d’une acception de mots dont nous avions absolument besoin, je suis bien plus touché du côté essentiellement pratique de vos principes et du bien qu’ils peuvent faire à l’agriculture et à nos campagnes. Je viens donc une fois de plus vous crier courage !
Et, comme toujours, veuillez agréer mes meilleures amitiés.
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La science et les observations dont votre ouvrage témoigne vous vaudront de justes éloges de la part des naturalistes ; pour moi, je tiens surtout à vous dire combien la manière chrétienne avec laquelle vous traitez votre aimable sujet m’a satisfait : la science n’y perd rien et l’amour de Dieu y gagne beaucoup ; c’est en effet faire aimer Dieu que de faire connaître sa sagesse, sa providence, sa sollicitude pour ses créatures et principalement pour nous.
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Agréez, Monsieur, l’assurance de mes sincères félicitations.
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La lecture de vos ouvrages, intéressants pour tous, sera surtout profitable aux agriculteurs et l’ensemble contribuera à faire bénir cette admirable Providence qui a voulu que les airs comme la terre et l’eau aient des habitants pour publier sa gloire.
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Agréez, Monsieur, l’assurance de mes sentiments aussi respectueux que dévoués.
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Vos intéressantes études sur l’ornithologie mettent en relief l’une des plus belles pages du grand livre de la création ; aussi elles pourront et devront produire de très-heureux fruits.
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Agréez, je vous prie, Monsieur, l’expression de mon bien particulier dévouement.
Rien de plus gracieux et en même temps de plus original que vos études sur l’oiseau. Ce rôle providentiel d’éliminateur, que vous décrivez si bien, suffirait à lui seul pour mériter à vos aimables clients la sympathie des cultivateurs et le respect des braconniers.
Puissent les exemplaires de vos ouvrages se répandre par milliers dans nos campagnes ! mon vœu est d’autant plus sincère que je considère comme un des bonheurs de ma vie d’avoir été si souvent appelé à défendre cette cause dans nos comices agricoles et même devant les premiers corps politiques de l’État.
Tout à vous,
Le présent ouvrage a été honoré d’une souscription du ministère de l’Agriculture.
Depuis quatre ans, sept médailles d’argent, de vermeil et d’or ont été accordées à M. Lescuyer, pour ses travaux ornithologiques, par la Société protectrice des animaux, la Société d’acclimatation, la Société centrale d’insectologie, le Concours régional de Reims et la Société centrale d’agriculture.