Les veillées d’un fouteur/15

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Les cheres amours.
Les veillées d’un fouteur, 1832, illustration les chères amours
Les veillées d’un fouteur, 1832, illustration les chères amours
Mon braquemart dur et luisant
entre et ressort à chaque instant.

Les veillées d’un fouteur, 1832, Bandeau de début de chapitre
Les veillées d’un fouteur, 1832, Bandeau de début de chapitre


LES CHERS AMOURS.


air : Dormez mes chers amours.


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Jouissez mes chers amours,
Pour vous je banderai toujours !

Vignette roue 8 rayons

Vos yeux se ferment doucement,
Je vais piner plus lentement,
Heureuse d’un tel mouvement,
Puissiez vous donc être excitée
À piner toute la journée.

Jouissez mes chers amours,
Pour vous je banderai toujours !

Vignette roue 8 rayons

La pine au cul resterez,
Tant que vous le désirerez,
Et tandis que vous jouirez,
Dans ce vin qu’un fouteur adore,
Je trouverai du foutre encore !

Vignette roue 8 rayons

Jouissez, mes chers amours,
Pour vous je banderai toujours !

Vignette roue 8 rayons

Mon braquemart dur et luisant,
Rentre et ressort à chaque instant,
Et quand vous allez déchargeant,
Votre paupière humide roule.
Et je vois le foutre qui coule,

Vignette roue 8 rayons

Jouissez, mes chers amours,
Pour vous je banderai toujours !