Lettre 803, 1680 (Sévigné)

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1680

803. — DE MADAME DE SÉVIGNÉ À MADAME DE GRIGNAN.

À Paris, mercredi 1er mai.

Je ne sais, ma fille, quel temps vous avez en Provence ; mais celui qu’il a fait ici depuis trois semaines est si épouvantable, que plusieurs voyages en ont été différés[1] ; le mien est du nombre. Le bon abbé a pensé périr en allant et revenant de la Trousse ; c’est M. de la Trousse qui le dit, vous ne m’en croiriez pas. Ils avoient un architecte[2] avec eux, et alloient donner leurs ordres à des ajustements, et même des dérangements si considérables, que ce château, que nous trouvions déjà si beau, ne sera pas reconnoissable. Voilà un commencement de lune qui pourra nous ramener du beau temps, et me faire partir : je ne sais point encore le jour ; je ne vous puis dire la douleur que me donne ce second adieu[3] : il me 1680 semble que je suis folle de m’éloigner encore dé vous[4] . Je hais bien les affaires ; je trouve qu’elles nous gourmandent beaucoup, et nous font aller et venir, et tourner à leur fantaisie. Je suis bien affligée[5] d’être si loin de vous : il ne tiendra qu’à ceux qui me verront monter en carrosse, de croire que je les regrette ; car il me sera impossible de retenir mes larmes en songeant que je vais mettre une distance de cent lieues avec celle qui est déjà entre nous ; cependant il faut s’en aller pour revenir[6].

Mlle  de Méri est dans votre petite chambre ; le bruit de cette porte qui s’ouvre et qui se ferme, et la circonstance de ne vous y point trouver, m’ont fait un mal que je ne puis vous dire. Tous mes gens font de leur mieux auprès d’elle ; et si je voulois me vanter, je vous montrerois bien un billet qu’elle m’écrivit l’autre jour, tout plein de remerciements des secours que je lui donne ; mais je suis modeste, je me contenterai de le mettre dans mes archives. J’ai vu Mme  de Vins : elle est abîmée dans ses procès ; nous causâmes pourtant beaucoup. Nous admirâmes cet étrange mélange des biens et des maux, et l’impossibilité d’être tout à fait heureuse. Vous savez tout ce que la fortune a soufflé sur la duchesse de Fontanges ; voici ce qu’elle lui garde : 1680 une perte de sang si considérable, qu’elle est encore à Maubuisson dans son lit, avec la fièvre, qui s’y est mêlée ; elle commence même à enfler ; son beau visage est un peu bouffi. Le prieur de Cabrières ne la quitte pas ; s’il fait cette cure, il ne sera pas mal à la cour. Voyez si tout cela n’est pas précisément contraire à l’état d’une pareille beauté[7]. Voilà de quoi méditer ; mais en voici un autre sujet,

Mme  de Dreux sortit hier de prison ; elle fut admonestée[8], qui est une très-légère peine, avec cinq cents livres d’aumône. Cette pauvre femme a été un an dans une chambre, où le jour ne venoit que d’un très-petit trou d’en haut, sans nouvelles, sans consolation. Sa mère, qui l’aimoit très-passionnément, qui étoit encore assez jeune et bien faite, et qu’elle aimoit aussi, mourut, il y a deux mois, de la douleur de voir sa fille en cet état. Mme  de Dreux, à qui on ne l’avoit point dit, fut reçue hier à bras ouverts de son mari et de toute sa famille, qui l’allèrent prendre à cette chambre de l’Arsenal. Ses premières paroles furent[9] : « Et où est ma mère ? et d’où vient qu’elle n’est pas ici ? » M. de Dreux lui dit qu’elle l’attendoit chez elle. Elle ne put sentir la joie de sa liberté, et demandoit toujours ce qu’avoit sa mère, et qu’il falloit qu’elle fût bien malade, puisqu’elle ne venoit point l’embrasser. Elle arrive chez elle : « Quoi ? je ne vois point ma mère ! quoi ? je ne l’entends point ! » Elle monte avec précipitation ; on ne savoit que lui dire : tout le monde pleuroit ; elle couroit dans sa chambre, elle l’appeloit ; enfin un père célestin, son confesseur, parut, et lui dit 1680 qu’elle ne la trouveroit point, qu’elle ne la verroit que dans le ciel, qu’il falloit se résoudre à la volonté de Dieu. Cette pauvre femme s’évanouit, et ne revint que pour faire des cris et des plaintes[10] qui faisoient fendre le cœur, disant que c’étoit elle et la vue de son malheur qui l’avoient tuée, qu’elle voudroit être morte en prison, qu’elle ne pouvoit rien sentir que la perte d’une si bonne mère. Le petit Coulanges étoit présent ce spectacle ; il avoit couru chez M. de Dreux, comme beaucoup d’autres, et il nous conta tout ceci hier au soir, si naturellement et si touché lui-même[11], que Mme  de Coulanges en eut les yeux rouges, et moi j’en pleurai sans pouvoir m’en empêcher. Que dites-vous, ma fille, de cette amertume qui vient troubler sa joie et son triomphe, et les embrassements de toute sa famille et de tous ses amis ? Elle est encore aujourd’hui dans des pleurs que M. de Richelieu ne peut essuyer : il a fait des merveilles dans toute cette affaire. Je me suis jetée insensiblement dans ce détail, que vous comprendrez mieux qu’une autre, et dont tout le monde est touché. On croit que M. de Luxembourg sera tout aussi bien traité[12] ; car même il y avoit 1680 des juges qui étoient d’avis de renvoyer Mme  de Dreux sans être admonestée ; et c’est une chose terrible que le scandale qu’on a fait, sans pouvoir convaincre les accusés ; cela marque aussi l’intégrité des juges.

Le discours de votre prédicateur nous a paru admirable ; nous l’avons approuvé et envié. La Passion que nous entendîmes ici près fut étrange : les mots de faquin et de coquin furent employés pour exprimer l’humiliation de Notre-Seigneur ; cela ne donne-t-il pas de nobles et belles idées ? Le Bourdaloue prêcha, comme un ange du ciel, l’année passée, et celle-ci encore[13], car c’est le même sermon.

Ce que vous m’avez mandé de ce monde, qui paroîtroit un autre monde si l’on voyoit le dessous des cartes de toutes les maisons, me paroît une bien plaisante et bien véritable chose[14]. Eh, bon Dieu ! que savons-nous si le cœur de cette princesse[15], dont nous disons tant de bien, est parfaitement content ? Elle a paru triste trois ou quatre jours : que sait-on ? elle voudroit être grosse, elle ne l’est pas encore ; elle voudroit peut-être voir Paris et Saint-Cloud, elle n’y a point encore été[16] ; elle est complaisante et ne songe qu’à plaire : que sait-on si cela 1680 ne lui coûte rien ? que sait-on si elle aime également les dames qui ont l’honneur d’être auprès d’elle ? que sait-on[17] si une vie si retirée ne l’ennuie point ? Je suis à cet endroit, lorsque je reçois[18] votre aimable et triste lettre du 24e : vraiment, ma très-chère, elle me touche sensiblement.

Je ne suis point encore partie ; c’est le mauvais temps qui m’a arrêtée : c’eût été une folie de s’exposer, tout étoit déchaîné[19]. Je vous écrirai encore vendredi de Paris, et vous parlerai du petit bâtiment ; j’y donne mon avis la première ; je ne suis pas si sotte que vous pensez, quand il est question de vous. Il y a des histoires[20] qui nous content de plus grands miracles ; et pourquoi certaines amitiés céderoient-elles à l’autre[21] ? ainsi je deviens architecte. Je vous admire sur tout ce que vous dites de la dévotion : eh, mon Dieu ! il est vrai que nous sommes des Tantales ; nous avons l’eau tout auprès de nos lèvres, nous ne saurions boire : un cœur de glace, un esprit éclairé[22]. Je n’ai que faire de savoir la querelle des jansénistes et des molinistes pour décider ; il me suffit de ce que je sens en moi ; le moyen d’en douter dès le moment que l’on s’observe un peu ? Je parlerois 1680 longtemps là-dessus, et j’en eusse été ravie quand nous étions ensemble ; mais vous coupiez court, et je reprenois tout aussitôt le silence ; Corbinelli en avoit l’endosse, car j’aime ses vérités. Il vient d’entendre par hasard un sermon de l’abbé Fléchier, à la vêture d’une capucine[23], dont il est charmé. C’étoit sur la liberté des enfants de Dieu, qu’il a expliquée[24] hardiment : il a fait voir qu’il n’y avoit que cette fille de libre, puisqu’elle avoit une participation de la liberté de Jésus-Christ et des saints ; qu’elle étoit délivrée de l’esclavage de nos passions, dont nous sommes tourbillonnés[25] ; que c’étoit elle qui étoit libre, et non pas nous ; qu’elle n’avoit qu’un maître, que nous en avions cent ; et que bien loin de la plaindre, comme nous faisions avec une grossièreté condamnable, il falloit la regarder, la respecter, l’envier, comme une personne choisie de toute éternité pour être du nombre des élus. J’en supprime les trois quarts ; mais enfin c’étoit une pièce achevée. On n’imprime point l’oraison funèbre de Mme  de Longueville.

Vous me demandez pourquoi je ne mène point Corbi- 1680 nellinelli ? C’est qu’il s’en va en Languedoc[26] ; il est comblé des biens et des manières obligeantes de M. de Vardes, qui a accompagné[27] les douze cents francs[28] d’une si admirable sauce, qui l’a assaisonnée de tant de paroles choisies[29], et de sentiments si tendres et si généreux, que la philosophie de notre ami n’y résiste pas. Vardes est tout extrême ; et comme je suis persuadée qu’il le haïssoit parce qu’il le traitoit mal, il l’aime présentement parce qu’il le traite bien : c’est le proverbe italien[30], et son contraire. Je m’en vais donc avec le bon abbé et des livres, et votre idée, dont je recevrai tous mes biens et tous mes maux. Je vous promets, ma fille, qu’elle m’empêchera de demeurer le soir au serein ; je me représenterai que cela vous déplaît : ce ne sera pas la première fois que vous m’aurez fait rentrer au logis de cette sorte. Je vous promets de vous consulter et de vous obéir toujours ; faites-en de même pour moi, et ne vous chargez d’aucune inquiétude ; fiez-vous encore de ma conservation à ma poltronnerie. Je n’ai pas les mêmes sujets de confiance en vous ; j’ai mille choses à vous reprocher[31] ; et sans aller jusques à Monaco[32], n’ai-je pas les bords du Rhône, où vous forcez tous les braves gens de votre famille à vous accompagner malgré eux ? malgré eux, vous 1680 dis-je ; et souvenez-vous au contraire que je mourois de peur à pied en passant les vaux d’Olioules[33]  : voilà ce qui doit justifier mes craintes et fonder votre tranquillité. Faites donc en sorte que mon souvenir vous gouverne, comme le vôtre me gouvernera. Je ne vous dis point[34] les peines que me causera cet éloignement ; j’y donnerai les meilleurs ordres que je pourrai, et j’éclaircirai, autant qu’il me sera possible, l’entre chien et loup de nos bois. Je commence par la Loire et par Nantes, qui n’ont rien de triste ; je crois que mon fils viendra me conduire jusqu’à Orléans. Au reste, je suis persuadée des complaisances de M. de Grignan : il a des endroits d’une noblesse, d’une politesse, et même d’une tendresse extrême : il y a d’autres choses[35], dont les contre-coups sont difficiles à concevoir ; enfin tout est à facettes ; il a des traits inimitables[36] pour la douceur et l’agrément de la société ; on l’aime, on le gronde, on l’estime, on le blâme, on l’embrasse, on le bat.

Adieu, ma très-chère : je vous embrasse, et je vous quitte enfin[37]. Il me semble que vous vous moquez de moi, quand vous craignez que je n’écrive trop : ma poitrine est à peu près délicate comme celle de Georget[38] ; excusez la comparaison, il sort d’ici ; mais vous, ma très-belle, je vous conjure de ne point écrire. Montgobert, prenez la plume, et ne m’abandonnez pas.


  1. Lettre 803. — 1. « En ont été dérangés. » (Édition de 1754.)
  2. 2. Probablement Bruan. Voyez la lettre du 13 juin 1685.
  3. 3. Ce membre de phrase manque dans le texte de 1737.
  4. 4. L’édition de 1754 ajoute ici, en déplaçant un membre de phrase que nous trouverons un peu plus loin : « et de mettre une distance de cent lieues par-dessus celle qui est déjà. »
  5. 5. « Je serai si affligée en partant, qu’il ne tiendra qu’à ceux qui me verront monter en carrosse de croire que je les regrette beaucoup il me sera impossible, etc. » (Édition de 1754.)5. « Je serai si affligée en partant, qu’il ne tiendra qu’à ceux qui me verront monter en carrosse de croire que je les regrette beaucoup il me sera impossible, etc. » (Édition de 1754.)
  6. 6. Les mots « en songeant, etc., » manquent ici (voyez la note 4) dans l’impression de 1754. Le dernier membre de phrase du paragraphe : « cependant il faut, etc., » n’est pas dans celle de 1737, non plus que le commencement de l’alinéa suivant, jusqu’à : « J’ai vu Mme  de Vins. »
  7. 7. Voyez si l’état où elle se trouve n’est pas précisément contraire au bonheur d’une telle beauté. » (Édition de 1754.)
  8. 8. Le mot est écrit admonêtêe, ici et plus loin (voyez p. 368), dans l’édition de 1754.
  9. 9. « La première parole qu’elle dit, ce fut. » (Édition de 1754.)
  10. 10. « Des plaintes et des cris. » (Édition de 1754.)
  11. 11. Cela ne l’empêcha pas de faire un très-joli couplet sur l’aventure de M. de Dreux. Voyez une note de la lettre du 12 mai suivant. (Note de l’édition de 1818.)
  12. 12. « Sera tout aussi bien traité que Mme  de Dreux ; » et à la ligne suivante : « de la renvoyer. » (Édition de 1754.) — Les pièces relatives au duc de Luxembourg n’ont pas été retrouvées parmi celles de l'affaire des poisons, qui existent à la bibliothèque de Monsieur (de l’Arsenal), de sorte qu’il est difficile de savoir positivement combien de temps le maréchal passa à la Bastille. Suivant Desormeaux, l’historien de la maison de Montmorency, le maréchal fut absous par arrêt du 17 avril, et le 18 il reçut un ordre du Roi qui l’exilait à vingt lieues de Paris. L’éditeur des Mémoires historiques et authentiques sur la Bastille, Paris, 1789, dit, à la p. 124 du tome I, que l’arrêt fut rendu le 14 mai 1680. Cette date paraît être la véritable, car on voit ici que le 1er mai M. de Luxembourg n’était pas encore en liberté, et, dans la lettre du 18 mai suivant, que Mme  de Sévigné venait de recevoir à Nantes la nouvelle de son élargissement. Le duc fut envoyé dans ses terres ; il en fut rappelé au mois de juin 1681. Voyez la lettre du 24 juin 1681. (Note de l’édition de 1818.)
  13. 13. Bourdaloue prêcha la passion le vendredi saint au matin (19 avril 1680), en présence du Roi et de la Reine : voyez la Gazette, p. 192.
  14. 14. « Est quelque chose de bien plaisant et de bien véritable. » (Édition de 1754.)
  15. 15. La Dauphine.
  16. 16. Elle alla à Paris, pour la première fois, le 6 mai, et à Saint-Cloud le 9. Voyez la Gazette, p. 228, et la lettre du 6 mai, p. 381.
  17. 17. « Que sait-on enfin. » (Édition de 1754.)
  18. 18. Ces premiers mots de la phrase sont remplacés, dans le texte de 1754, par ceux-ci : «  « Je reçois dans ce moment… »
  19. 19. Cette phrase manque dans l’impression de 1737, qui commence ainsi la suivante : « Je vous écrirai encore avant mon départ, et vous parlerai, etc. »
  20. 20. Tout le monde sait l’origine de la peinture et de la sculpture, et ce qu’on a dit d’un maréchal qui, étant amoureux de la fille d’un peintre, devint un excellent peintre, par la seule envie de plaire à sa maîtresse. (Note de Perrin.)
  21. 21. L’amour : voyez la note 12 de la lettre du 3 juillet suivant. — « Il y a des amitiés qui ne cèdent guère à l’autre. » (Édition de 1754.)
  22. 22. Le texte de 1754 ajoute : « c’est cela même. »
  23. 23. Il y a dans les Œuvres de Fléchier (tome VII, p. 149 de l’édition de Nîmes, 1782) un Sermon pour une vêture, prêché à Paris dans l’église des Carmélites ; ce pourrait bien être celui qu’avait entendu Corbinelli. Voyez particulièrement ce passage (p. 157), où l’orateur, après avoir montré le monde « plein d’une espèce d’esclaves qui sont d’autant plus malheureux qu’ils s’imaginent d’être libres, » s’adressant à la nouvelle religieuse, lui dit : « Que votre sort est différent, ma chère sœur ! Vous vous rendez, ce semble, captive, mais vous acquérez la véritable liberté des enfants de Dieu. Vous cessez de jouir de tous les avantages qu’on possède dans le monde, mais vous commencez à jouir de la félicité que les saints possèdent dans le ciel, qui n’est autre chose qu’une paisible et volontaire nécessité d’obéir et de plaire à Dieu. »
  24. 24. « Que le prédicateur a expliquée. » (Édition de 1754.)
  25. 25. Les mots « dont nous sommes tourbillonnés, » ne se trouvent pas dans l’impression de 1754.
  26. 26. « Il s’en va en Languedoc. » (Édition de 1754.)
  27. 27. «  « Qui accompagne. » (Ibidem.)
  28. 28. De pension. (Note de Perrin.)
  29. 29. « …d’une si admirable sauce, je veux dire de tant de paroles choisies, etc. » (Édition de 1754.)
  30. 30. Chi offende non perdona, « qui offense ne pardonne pas, » proverbe déjà cité, tome I ; p. 485 et 500. — Ce membre de phrase n’est pas dans le texte de 1737.
  31. 31. « Reposez-vous de ma conservation sur ma poltronnerie. Je n’ai pas en vous les mêmes sujets de confiance ; j’ai bien des choses à vous reprocher. » (Édition de 1754.)
  32. 32. Voyez tome III, p. 94.
  33. 33. Les vaux d’Olioules, qu’on appelle en langage du pays leis Baous d’Oulioules, ne sont autre chose qu’un chemin étroit, d’environ une lieue, à côté d’une petite rivière qui passe entre deux montagnes très-escarpées, en Provence. (Note de Perrin.) — Voyez tome IV, p. 116.
  34. 34. Ce membre de phrase et le suivant manquent dans le texte de 1737, qui reprend à j’éclaircirai.
  35. 35. « Je vois en lui d’autres choses. » (Édition de 1754.)
  36. 36. « Et comme tout est à facettes, il a aussi des endroits inimitables. » (Ibidem.)
  37. 37. « Adieu, ma très-chère je vous quitte enfin. » (Ibidem.) — La lettre finit ici dans l’impression de 1737.
  38. 38. Fameux cordonnier pour femmes. (Note de Perrin.) Il a déjà été nommé au tome II, p. 157.