Bordeaux, le 22 juillet 1846
Paris, le 1er octobre 1846.
Mon cher Félix, je n’ai pas de tes nouvelles et ne sais par conséquent où tu en es de ton procès. Puisses-tu être près de l’issue et du succès ! Donne-moi des nouvelles de ta bonne sœur ; les bains de Biarritz lui ont-ils été favorables ? Je regrette que tu n’aies pas été l’accompagner ; il me semble