Lettres à l’Abbé Le Monnier/13
Lettres à l’Abbé Le Monnier
Lettres à l’Abbé Le Monnier, Texte établi par J. Assézat et M. Tourneux, Garnier, , Œuvres complètes de Diderot, XIX (p. 370-371).
XIII
1770.
Mon cher abbé, j’avais été si longtemps sans recevoir aucune
épreuve du Perse, que je me croyais cassé aux gages, et j’en![Autographe](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/84/Diderot_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes%2C_%C3%A9d._Ass%C3%A9zat%2C_XIX.djvu/page382-400px-Diderot_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes%2C_%C3%A9d._Ass%C3%A9zat%2C_XIX.djvu.jpg)
![Autographe](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/84/Diderot_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes%2C_%C3%A9d._Ass%C3%A9zat%2C_XIX.djvu/page383-400px-Diderot_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes%2C_%C3%A9d._Ass%C3%A9zat%2C_XIX.djvu.jpg)
Autre chose. J’ai oublié parmi mes papiers une souscription ; le souscripteur n’entend pas raison. Comment se tire-t-on de là ?
Item, vous m’avez promis un exemplaire commun que je puisse barbouiller tout à mon aise ; je l’ai refusé, je l’accepte : vous serez imprimé, à coup sûr, car votre ouvrage réussit comme je le souhaitais. Alors vous trouverez mes observations toutes prêtes.
Satisfaites à tous ces points-là.