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Livre:Blanc - Histoire de la révolution française, 1878, tome 10.djvu

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TitreHistoire de la Révolution française
VolumeTome dixième
AuteurLouis Blanc Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionA. Lacroix et Cie
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1878
Publication originale1847
BibliothèqueInternet Archive
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SérieTome 1 - Tome 2 - Tome 3 - Tome 4 - Tome 5 - Tome 6 - Tome 7 - Tome 8 - Tome 9 - Tome 10 - Tome 11 - Tome 12 - Tome 13 - Tome 14 - Tome 15

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TABLE DES MATIÈRES

LIVRE NEUVIÈME.
(Suite.)
CHAPITRE V.
PASSIONS ET IDÉES.
Création du Comité de salut public. — Accusations d’orléanisme échangées. — Brissot attaque Robespierre. — Pétition contre les Girondins. — Tentatives conciliatrices de Danton. — Discours de Robespierre contre la Gironde. — Réponse de Vergniaud. — Scènes déplorables de fureur. — Les Athlètes étaient des penseurs. — Doctrine de Robespierre et des Jacobins mise en regard de celle de Condorcet et de la Gironde. — Discours de Robespierre sur la propriété. — Conclusion philosophique 
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CHAPITRE VI.
TRIOMPHE DE MARAT.
Emportements inattendus de Pétion — Il se donne à la Gironde. — Mot profond de Danton : N’entamez pas l’Assemblée. — Décret d’arrestation contre Marat. — Indignation dans Paris. — Modération de Robespierre. — Motion de Danton à l’encontre du décret du 15 décembre 1792. — Lettre orgueilleuse de Marat à l’Assemblée. — Adresse violente approuvée par les Montagnards. — Mot cruel de Camille Desmoulins. — Marat décrété d’accusation. — Fête donnée aux Liégeois. — Pétition pour l’expulsion de vingt-deux Girondins. — La question de l’appel au peuple de nouveau soulevée par les Girondins. — Vergniaud la fait écarter par une inspiration de généreux patriotisme. — La pétition contre les vingt-deux improuvée comme calomnieuse. — Lutte entre la majorité de la Convention et la Commune. — Composition du tribunal révolutionnaire ; ses premières sentences. — Fouquier-Tinville. — Marat en prison. — Son acquittement. — Il est porté en triomphe. — Mort et funérailles de Lazouski 
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CHAPITRE VII.
LES GIRONDINS ET LA VENDÉE.

Influence de la révolte vendéenne sur la chute des Girondins. — La Vendée à la fin du mois de mars. — Le domestique de Duchaffault. — Attaque des Sables. — Berruyer à Angers. — Étrange conduite de Carra. — Succès suivis de revers. — Manière de combattre des Vendéens. — Leur superstition. — Héroïnes vendéennes : Madame de la Rochefoueault ; Pétronille Adames. — Fin du drame horrible de Machecoul. — Machecoul au pouvoir de Beysser. — Mort de Souchu. — La Rochejaquelein et Lescure au château de Clisson. — Départ de la Rochejaquelein ; Lescure caché à Bressuire. — Costume des soldats vendéens. — Les Vendéens s’appuient sur l’étranger. — La Rochejaquelin se jette dans la révolte. — Combat des Aubiers. — Quétineau abandonne Bressuire. — Prise de Thouars. —Quétineau soupçonné de trahison — L’évêque d’Agra ; pouvoir de l’imposture. — Tableau des forces vendéennes. — Joly. — Stoffiet. — D’Elbée. — Situation de la République au mois d’avril 1793. — Un autographe de William Playfair. — Belle proclamation des commissaires de la Convention en Vendée. — Rapprochement caractéristique — Moyens de salut proposés par le département de l’Hérault. — Fausse députation du faubourg Saint-Antoine. — Diplomatie de Danton. — Le maximum. — Les Girondins le combattent. — Arrêté de la Commune ; réquisition et emprunt force en vue de la révolte vendéenne à étouffer. — Émeutes de clercs et de commis. — La Gironde compromise dans ces troubles. — Articles furieux du Patriote français. — La Gironde obstacle à toute mesure de salut public. — Conduite tout opposée des Jacobins. — Départ pour la Vendée. — Chalbos vaincu à la Châtaigneraye. — Il gagne sur les Vendéens la bataille de Fontenay. — Avantage remporté à Legé par Boulard. — Mercier du Rocher à Tours et à Saumur. — Aspect des choses dans ces deux villes. — Entretien extraordinaire de Mercier du Rocher et de Carra. — Prise, occupation et évacuation de Fontenay… 45

CHAPITRE VIII.
COMITÉ DES DOUZE.

La Convention aux Tuileries. — Les frères Duprat. — Aspect de Paris au commencement du mois de mai 1793. — Frénésie de la Gironde — Théroigne de Mericourt fouettée. — Acquittement du général girondin Miranda parle tribunal révolutionnaire ; importance historique de ce fait. — Isnard, président de la Convention. — Harangue agressive de Guadet. — Déclaration solennelle d’Isnard. — Scènes tumultueuses. — Guadet propose l’annulation des autorites constituées de Paris, et la réunion de l’assemblée des suppléants à Bourges. — Création du comité des Douze. Il est compose de Girondins. — Sensation dans Paris. — Motion sanguinaire faite à l’hôtel du ville en l’absence de Pache. — Rôle de Pache dans la réunion du lendemain. — L’idée de violer la représentation nationale encore très-éloignée des esprits — Les fureurs imprudentes de la Gironde l’éveillent. — Opposition de Barbaroux et de Buzot à l’emprunt forcé d’un milliard proposé par Cambon — Violence du comité des Douze. — Futilité des bases qui lui servent à supposer un vaste complot. — Arrête de la Commune flétrissant les propos odieux tenus à la mairie ; défi à la section de la Fraternité non relevé par celle-ci. — A force de supposer le péril, les Girondins le créent. — Leurs réunions secrètes. — Mesures proposées par le comité des Douze. — Il traîne à sa suite le Marais. — Il ordonne plusieurs arrestations, entre autres celle d’Hébert. — Protestation de la Commune. — Un anathème fulminé par Isnard contre Paris. — Indignation générale. — Isnard, dans ses appels sauvages aux départements, organe de son parti. — Aveu de Rabaud-Saint-Étienne à Garat. Les Douze prennent les allures de la tyrannie. — Pache calomnie par eux. — Tristesse de Robespierre ; il craint qu’on ne viole la représentation nationale. — Véhément discours de lui aux Jacobins. — Les Douze font entourer la Convention d’hommes en armes. — La parole refusée à Robespierre. — Attitude tyrannique d’Isnard. — Isnard calomnié par Thuriot. — Cri forcené de Bourdon (de l’Oise). — Soupçons de Garât. — Garat à la tribune. — Le comité des Douze supprimé. — Rapport du décret de suppression. — Conséquences fatales du rétablissement des Douze., , •. • 98

CHAPITRE IX.
LES GIRONDINS À LYON
À Lyon, deux partis en présence. — Les royalistes groupés sous le drapeau de la Gironde. — La force de ce parti dans la bourgeoisie. — Chalier, ses fureurs, son dévouement, son influence. — Rovère, Legendre et Bazire Lyon. — Mot de Bazire. — Mot de Legendre. — Conduite des trois commissaires. — Arrêté du 14 mai, relatif à la réquisition et à un emprunt forcé en vue de la Vendée. — Déchaînement des réactionnaires lyonnais. — Excès du parti opposé. — Le municipal Sautemouche. — Serment propesé par Chalier. — Contre-révolution imminente à Lyon. — Les représentants du peuple Nioche et Gauthier y arrivent. — Journée du 29 mai 1793. — Victoire des Girondins à Lyon. — La municipalité lyonnaise est dissoute. — Arrestation de Chalier 
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CHAPITRE X.
LES DOUZE RENVERSÉS.
Concours de circonstances fatales à la Gironde. — L’Histoire des Brissotins, par Camille. — Manœuvres corruptrices d’un agent de Roland révélées. — Aveux de Gonchon. — Lettres de Gadol. — Mesures votées dans le conciliabule tenu à l’Évêché. — Le club des Jacobins flotte sans direction. — Incertitudes poignantes de Robespierre. — La Commune hésite, elle aussi. — Danton s’abstient. — Parmi les chefs influents, seul, Marat marche résolument à la ruine de la Gironde. — Inaction soudaine du Comité des Douze. — Billet anonyme et sinistre remis à Garat. — Fausses rumeurs. — Disposition de Pache. — La Commune soucieuse. — Importance momentanée des hommes de l’Évêché. — L’Huillier et Pache devant le Comité de salut public. — Insurrection morale. — Les Girondins dans la nuit du 30 au 31 mai. — Illa suprema dies ! — Mot singulier de Danton à Garat. — La Commune, du même coup, cassée et rétablie. — Henriot, commandant général provisoire. — Garat à la tribune. — Attitude énergique de Valazé. — Langage timide de Vergniaud. — Aspect de Paris. — Proclamation de la Commune. — Intérieur de l’hôtel de ville. — La parole refusée à Rabaud Saint-Étienne. — Madame Roland dans la salle des pétitionnaires — Sectionnaires à la barre. — Vive sortie de Guadet. — Deux pensées bien distinctes se partagent l’hôtel de ville. — Étrange motion de Vergniaud. — Oscillations du l’Assemblée — Nouvelle députation. — Barere propose de casser le Comité des Douze. — L’Huillier à la barre. — Les Montagnards sur les bancs de la Gironde. — Fausse démarche de Vergniaud. — Apostrophe terrible de Robespierre à Vergniaud. — Décret qui supprime le Comité des Douze. — Scène de fraternité. — Fête civique proposée par Barere. — Conversation de madame Roland avec un groupe de sans-culottes 
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