Livre:Chansons populaires de France, 1865.djvu
Apparence
| Titre | Chansons populaires de France |
|---|---|
| Auteur | Collectif |
| Maison d’édition | Librairie du Petit Journal |
| Lieu d’édition | Paris |
| Année d’édition | 1865 |
| Bibliothèque | https://books.google.fr/books?id=wSAknw_Kg4QC |
| Fac-similés | djvu |
| Avancement | À corriger |
Pages
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Introduction
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Visitandines.
Vive Henri quatre.
Vivre loin de ses amours.
Voilà tout.
Voyage de l’Amour et du Temps.
TABLE ALPHABÉTIQUE
DES
CHANSONS POPULAIRES
PAR « PREMIER VERS » DES CHANSONS
À boire je passe ma vie.
À dix-sept ans, la pauvre Coralie.
Ah ! ça ira, ça ira, ça ira.
Ah ! le bel oiseau, maman !
Ah ! que de chagrins dans la vie.
Ah ! que je suis donc chagrinée.
Ah ! que l’amour est agréable !
Ah ! si j’avais un sou tout rond.
Ah ! s’il est dans votre village.
Ah ! vous dirai-je, maman ?
Ainsi doit être un petit-maître.
À la pèche des moules.
Allons, enfants de la patrie.
Amis, il faut faire une pause.
À Nante, à Nante est arrivé.
À Paris, dans une ronde.
À peine au sortir de l’enfance.
Approchez-vous, honorable assistance.
À Toulouse il fut une belle.
Au chateau de la Garde.
Au clair de la lune.
Au jardin de mon père.
Aussitôt que la lumière.
Aux montagnes de la Savoie.
Aux rochers de Sainte-Avelle.
À voyager passant sa vie.
Batelier, dit Liselle.
Belle, allons nous épromener.
Belle, quelle souffrance
Bon voyage, cher Dumollet.
Bouton de rose.
Brave capitaine.
Cadet Rousselle a trois maisons.
Ce matin je me suis levé.
Ces beaux souliers que vous avez.
C’est dans la ville de Bordeaux.
C’est l’amour, l’amour, l’amour.
C’est la servante à Nicolet.
C’est les filles de Cernois.
C’est les filles de la Rochelle.
C’est mon amant.
C’est un joli petit navire.
Cet étang qui s’étend dans la plaine.
Chantons l’honneur et la gloire.
Charmante Gabrielle.
Charmant vallon, le plus doux des déserts.
Ciel ! l’univers va-t-il donc se dissoudre ?
Colinette au bois s’en alla.
Combien j’ai douce souvenance.
Comme le mari de notre mère.
Commençons la semaine.
Conservez bien la paix du cœur.
Contre les chagrins de la vie.
Dans les gardes françaises.
Dans ma jeunesse.
Dans Paris la grand’ ville.
Dans un jardin couvert de fleurs.
Dans un vieux château de l’Andalousie.
Derrière chez mon père.
Derrière chez nous.
Derrière chez nous il y a t’un bois.
Derrière chez nous il y a t’un vert bocage.
Des frelons bravant la piqûre.
Dès le matin je m’éveille.
Dodo, l’enfant do.
Écoutez, sexe aimable.
Effrayé des maux que la guerre.
Eh quoi ! nous semblons endormis.
Emporté par trop de vaillance.
En amour je suis très-savant.
Enfant chéri des dames.
En revenant de Saint-Alban.
En revenant des noces.
Entendez-vous le tambourin ?
Est-il rien sur la terre.
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La voilà, la folle coupe.
Le bon roi Dagobert.
Le comte Orry disait pour s’égayer.
Le point du jour.
Le premier pas se fait sans qu’on y pense.
Lise chantait dans la prairie.
Lorsque, dans une tour obscure.
Lorsque j’étais petite.
Madam’ Veto avait promis.
Malbrough s’en va-t-en guerre.
Malgré la bataille.
Ma mie, ma douce amie.
Mars et l’Amour en tous lieux.
Matelot, attrape à danser.
Ma vieille tante Marguerite.
Mes amis, partons pour la chasse.
Mes amis, prêtez l’oreille.
Messieurs, vous plaît-il d’ouïr ?
Michaut veillait.
Moi, je flâne.
Men père a fait bâtir château.
Mon père me marie.
Mon père m’envoi’-t-à l’herbe.
Mon père m’a donné un mari.
Mon pèr’ n’avait d’enfant que moi.
M’y allant promener.
Nous étions dix filles dans un pré.
Nous étions trois filles.
Nous n’avons qu’un temps à vivre.
Nous sommes des moines.
N’y a rien d’aussi charmant.
Ô Fontenay ! qu’embellissent les roses.
Oh ! le bon siècle, mes frères.
Ô ma tendre musette !.
On dit qu’il arrive ici.
Ô Richard ! ô mon roi !
Orléans, Bois-Gency.
Où est la Marguerite ?
Ou vont tous ces preux chevaliers ?
Partant pour la Syrie.
Pauvre brebis ! t’ai-je perdue ?
Pauvre homme ! pauvre homme !
Pauvre Jacques ! quand j’étais près de toi.
Paysan, donne-moi ta tille.
Petit soldat de guerre.
Peuple francais, peuple de braves.
Philis, plus avare que tendre.
Plaisir d’amour ne dure qu’un moment.
Plus d’un gascon erre.
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Voici le jour venu
Voici venu le mois des fleurs
Voilà la Saint-Jean passée
Voulez-vous savoir comment ?
Voulez-vous suivre un bon conseil ?
Note sur la première édition
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