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Livre:Michelet - Le Banquet, 1879.djvu

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TitreLe Banquet
Sous-titrePapiers intimes
AuteurJules Michelet Voir l'entité sur Wikidata
ÉditeurAthénaïs Michelet Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionCalmann Lévy
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1879
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Pages

TABLE

Introduction 
 v
I. De la nature des œuvres inédites 
 vi
II. — De l’esprit de ce livre 
 x
LE PAYS DE LA FAIM
I
ARRIVÉE EN ITALIE.
Le coup d’État de 51 
 5
Le premier arrachement — Départ de Paris 
 6
Bretagne. — Maladie 
 7
Deuxième arrachement 
 8
Départ pour l’Italie. — Seconde patrie 
 9
Où s’arrêter ? Là où finit la terre de la liberté : à Gênes 
 10
II
GÊNES
Son climat 
 14
Caractère du peuple 
 15
Les palais forteresses 
 16
Deux coups de dés 
 17
Les bêtes de somme 
 21
L’émigration italienne 
 24
La dispute des villes d’Italie 
 25
Rêve d’unité 
 27
III
NERVI
La famille Orlando 
 32
Le palais du cardinal Spina 
 33
La Bretagne et la Ligurie 
 37
Point d’animaux, point de légumes 
 38
Le dessert avant le dîner 
 39
Point d’eau et point de feu 
 39
Le pays de la faim et de la soif 
 41
IV
LES AMITIÉS
Première sortie 
 45
Le quai de Capolongo 
 47
Les étoiles 
 48
La mer 
 50
Les montagnes 
 52
Le repas du lézard 
 54
La mouche et le centime 
 57
V
LE MÉNAGE DU PAUVRE
Tout d’une main aimée 
 62
Sirius 
 64
Le petit mulot noir 
 65
Mon étoile ici-bas 
 70
Repas du 30 janvier 
 70
Où sont-ils ? 
 71
VI
PHILOSOPHIE DU JEÛNE
Le jeûne 
 76
Ses langueurs 
 77
Ses rêveries 
 78
Sa stérilité au moyen âge 
 79
La coupe au peuple ! 
 84
Fécondité de la nature 
 85
VII
L’ALIBI DU JEÛNE EN ITALIE
Les pâtes 
 90
Le fisc et l’usure 
 91
Les narcotiques 
 94
Ora e sempre. — Adjuration aux Italiens 
 96
La patience dans la misère 
 98
VIII
LA POVERA GENTE
Misère matérielle et morale 
 104
Les ramasseurs de feuilles 
 106
Les marins 
 107
La terre est-elle une marâtre ? 
 111
Réclamation en faveur de l’Apennin 
 113
IX
LE JUGE DE PAIX DE NERVI
La povera gente (suite) 
 118
Brancaleone 
 119
Les communaux 
 120
Complaisances municipales 
 123
Guerre des bergers et des laboureurs 
 129
X
DÉPART ET GUÉRISON
Dernier regard sur la contrée 
 134
L’enclos Santa-Croce 
 135
Les trois grands remèdes 
 136
Laisser faire la nature 
 137
Croire à ses forces réservées 
 138
S’oublier soi-même et penser aux autres 
 139
Première idée du Banquet 
 142
LE BANQUET

LE BANQUET DE LA « SUFFISANTE VIE »
I
COMMENT FONDER LE BANQUET
Le 12 Mars 
 147
Le point de départ : La suffisante vie 
 149
Quelle voie faut-il suivre ? 
 150
Unité de la nouvelle église 
 151
Quelle en est la base première ? 
 152
II
LE BANQUET MYSTIQUE — LYON
Fourvières. — Croix-Rousse 
 158
Les deux montagnes 
 165
Les deux banquets 
 167
III
LE BANQUET MATÉRIALISTE — SAINT-SIMON FOURIER
Le socialisme naissant méconnaît ou renie son principe 
 171
Saint-Simon et Fourier sont un exemple de cette naïve ingratitude 
 173
Fourier supprime la patrie, l’idée du sacrifice 
 174
Son admirable inconséquence 
 177
Quel est l’âge de l’héroïsme ? 
 178
Saint-Simon et Fourier méritent d’être placés à côté des pères antiques de la tradition nationale 
 179
IV
LE BANQUET DU SACRIFICE — LA RÉVOLUTION
Testament héroïque de la Révolution 
 184
L’effort est une loi de ce monde 
 185
C’est le vrai banquet gagné par la sueur, le travail persévérant 
 187
La Révolution exige le devoir contre le bonheur même 
 189
Les plus prompts à entendre sa voix furent ceux qui semblaient avoir nié l’effort et le sacrifice 
 190
V
QUI DRESSERA LE BANQUET DE L’ÂME
Faut-il attendre en attendant ? 
 194
Personne ne croit plus que moi à l’instinct du peuple 
 195
La fête des nations à la Madeleine (1848) 
 198
Ma visite à Béranger 
 200
Il se fie à l’instinct du peuple 
 202
VI
LES LIVRES
Il y a en France deux peuples 
 205
Celui d’en bas ne sait rien de ce qu’on a écrit pour lui 
 206
La bourgeoisie ne lit plus 
 207
C’est le tour du peuple 
 208
Qui fera ces livres ? 
 211
Ce qu’on lira dans mon cœur si on l’ouvre à ma mort 
 212
VII
LES FÊTES DANS LE PASSÉ
La parole est plus puissante que les livres 
 215
Les fêtes de la Grèce comme éducation 
 216
Un retour sur mon enfance 
 217
Les fêtes de l’empire vides de sens 
 219
Heureuse enfance d’Athènes ! 
 221
Grandeur des fêtes de la Révolution 
 223
Ce que les mères offraient à la France sur l’autel de la Patrie 
 224
VIII
LES FÊTES DANS L’AVENIR
Dans quelles villes j’ai senti la nécessité des fêtes 
 228
Le mot de Thucydide 
 229
Si la Grèce réclame les fêtes au nom de la Mélancolie, que dirons-nous ? 
 230
Ce que seront nos fêtes ; leur but et leur résultat 
 232
Quelle sera l’influence du Théâtre historique 
 233
En France, en Italie c’est surtout par les spectacles qu’on donnera au peuple sa nourriture morale et religieuse 
 234
IX
LES CLOCHES
Les cloches de Nervi, leur concurrence 
 238
Que sonnez-vous depuis deux mille ans 
 241
Du rôle des cloches dans le passé 
 241
Comment l’Italie défendit sa tour bien aimée contre l’Église 
 242
Les cloches de Flandre 
 243
La cloche doit retourner au peuple comme les miranda d’Italie 
 245
X
LES CHANTS
Ce que chante le Lollard 
 250
Le chant héroïque : Luther 
 253
Le chant éternel des nations : la Marseillaise 
 256
Le monde ne chante plus 
 257
ΧΙ
LE BANQUET DES EXILES — VIRGILE
Il a été l’ami de mon enfance et de toute ma vie 
 262
Pourquoi cette préférence ? 
 262
Tout y est contenu 
 263
Il est la voix des proscrits 
 264
Il est le monde 
 275
CONCLUSION
LE BANQUET UNIVERSEL
Ce que j’ai vu en songe 
 279
Ma dette envers chaque nation 
 280
Et toi, France ? 
 281
Elle est toujours l’Avant-Garde 
 282
Elle est la plus spiritualiste 
 282
L’unité des nations ne me suffit pas 
 283
Il me faut l’unité des mondes futurs 
 284
La prière du moyen âge et celle des temps modernes 
 284
Un autel pour Dieu le père. Mon action de grâces 
 285
NOTES ET ÉCLAIRCISSEMENTS
Les Italiens restent fortement groupés par peuple et par ville 
 25
Cette ville exerce sur mon âme, etc 
 156
Fourier, pour fonder l’association, s’adresse aux rois mêmes 
 173
Saint-Simon et Fourier se rattachent à la Révolution ; Proud’hon, Saint-Simon, Fourier constituent un cycle 
 176
Le Banquet offert par la Révolution est l’effort désintéressé, le travail persévérant, le sacrifice héroïque 
 200
Des fêtes ! Donnez-nous des fêtes ! 
 288
En France, le socialisme parle de matière et affranchit l’âme 
 282
La prière moderne plus désintéressée est harmonisation 
 284
FIN DE LA TABLE

6126-78.— CORBEIL, imprimerie CRÉTÉ.