Livre:Valabrègue - Petits poèmes parisiens, 1880.djvu

éléments Wikidata
La bibliothèque libre.
TitrePetits poèmes parisiens
AuteurAntony Valabrègue Voir l'entité sur Wikidata
Maison d’éditionAlphonse Lemerre, éditeur
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1880
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
Fac-similésdjvu
AvancementÀ corriger

Pages

Page:Valabrègue - Petits poèmes parisiens, 1880.djvu/165

Page:Valabrègue - Petits poèmes parisiens, 1880.djvu/166 Page:Valabrègue - Petits poèmes parisiens, 1880.djvu/167

A L’AVENTURE
Pages.
I. 
A l’aventure. 
 109
II. 
A une voisine. 
 113
III. 
Baigneuses 
 114
IV. 
Peurs de femme. 
 116
APRÈS L’AMOUR
Pages.
I. 
Après les jours passés dans un oubli profond. 
 121
II. 
Comment l’oublinaît-il ? d’où vient qu’on se sépare ? 
 123
III. 
Dès le premier moment qui suivit la rupture. 
 124
IV. 
J’ai versé des larmes amères. 
 125
V. 
Dans tous mes souvenirs son portrait est gravé. 
 126
VI. 
Tu m’appelais souvent d’un geste gracieux 
 127
VII. 
Je me rappelle encor toutes nos longues courses. 
 128
VIII. 
Les saules ébranchés qui bordent les prairies. 
 129
IX. 
Nos pas glissaient sans bruit dans la forêt mouillée. 
 130
X. 
Pour rester quelque temps sans espoir ni regret. 
 131
XI. 
On vieillit ; mais le cœur, s’il est resté sincère. 
 132
XII. 
Vers les villes du Nord j’ai fait de longs voyages. 
 133
XIII. 
Dans la petite ville où nous entrons la nuit. 
 134
XIV. 
Un bateau, ce matin, courait vers la falaise. 
 135
XV. 
Des oiseaux sont venus sur le mur de l’église. 
 136
XVI. 
Un voile entre ses plis me cachait son visage. 
 137
XVII. 
0 charme inattendu ! furtives ressemblances 
 138
XVIII. 
Les murs sont peints en noir ; lorsque la mer est haute. 
 139
XIX. 
Quand on vient de dresser la table hospitalière. 
 140
XX. 
Après les tristes jours de regrets et de doute. 
 141
CROQUIS D’INTÉRIEUR ET TABLEAUX RUSTIQUES
Pages.
I. 
Le lavoir 
 147
II. 
Les yeux du cœur 
 149
III. 
Eau dormante 
 150
IV. 
La lampe 
 151


En pleine nature 
 152


FIN DE LA TABLE