Mickey au Camp de Gurs

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C’était un jour de l’an II de la révolution nationale…

Je me promenais tranquillement, quelques part en France

Mon cœur était tout joyeux, car mon boulanger m’avait donné 1002 gr. de pain pour 1006 gr. de tickets.

Ah, c’est le bonne vie !

Mais tout à coup…

… un gendarme m’interpella.

 !!!  !!!  !!! — disait-il.

C’était du basque !

Comme je n’entends point cette langue-là, je ne répondit rien.

— Krrangihhwomtkwaxperrdiou - disait le gendarme.

Cette fois c’était du béarnais.

Comme je persistais à me taire, le gendarme commençait à se fâcher :

— Huile de pute, vos papiers. !!! -

Mes papiers ! ? ?

J’en ai jamais possédé des papiers.

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