Modèle:PoliphileEnTêteChapitre

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Ce modèle met en forme les en-tête de chapitres dans Le Songe de Poliphile (éd. Popelin, 1883).

Paramètres[modifier]

{{PoliphileEnTêteChapitre|début en-tête|suite en-tête|fichier lettrine|première lettre|reste du premier mot}}

L’en-tête comprend :

  • un paragraphe dans lequel début en-être est composé en caractères romains de grande taille et suite en-tête est composé en italiques avec retrait :
    • ces deux paramètres ne doivent pas contenir de retours à la ligne (y compris à la fin) et ils doivent être précédés respectivement de 1= et 2= s’ils sont susceptibles de contenir le signe « égale » ;
  • le premier mot du texte, dont la première lettre est représentée par une lettrine dont l'image est stockée dans fichier lettrine (ce paramètre doit être le nom du fichier sous Commons, par exemple Songe de Poliphile - trad. Popelin - tome 1 - p. 375.jpg) ; le reste du premier mot est composé en petites capitales.

Exemple[modifier]

{{PoliphileEnTêteChapitre
|Poliphile raconte qu’il lui sembla de|dormir encore et de rêver qu’il se trouvait dans une vallée fermée par une superbe clôture, portant une imposante pyramide sur laquelle était un obélisque élevé ; ce qu’il considéra soigneusement et en détail avec le plus grand plaisir.|[[File:Hypnérotomachie - éd. Martin - p3v-2.jpg|L]]
|e}}
Poliphile raconte qu’il lui sembla de
dormir encore et de rêver qu’il se trouvait dans une vallée fermée par une superbe clôture, portant une imposante pyramide sur laquelle était un obélisque élevé ; ce qu’il considéra soigneusement et en détail avec le plus grand plaisir.



L e doux sommeil, qui s’était infiltré dans mes membres las et rompus, m’avait tiré de l’épouvantable forêt, du fourré et des autres premiers lieux. Je me retrouvai dans un site beaucoup plus plaisant que le précédent. Il n’était point entouré de rochers éclatés, ni coupé de torrents marécageux, mais bien composé d’agréables collines de hauteur moyenne, toutes plantées de jeunes chênes, de rouvres, de frênes, de charmes, de hêtres touffus, d’yeuses, de tendres noyers, d’aulnes, de tilleuls, de peupliers et d’oliviers sauvages disposés au mieux de l’aspect des collines boisées. Au bas, dans la plaine, on voyait des touffes gracieuses d’arbrisseaux,