Ornithologie parisienne/38
J.-B. Baillières, (p. 50).
ROUSSEROLLE EFFARVATTE — CALAMOHERPE ARUNDINACEA. Boie ex Gmel
Comme la précédente, cette rousserolle habite les étangs de la Glacière, seulement elle n’y est pas aussi nombreuse.
Son chant a une certaine analogie avec celui de la turdoïde, mais il est moins strident.
L’effarvatte est beaucoup plus agile que la turdoïde ; toujours en mouvement elle échappe constamment au regard de l’observateur ; elle ne sort guère des massifs de roseaux ou de joncs que pour se faire entendre ; alors elle monte au sommet d’une tige (au lieu de rester en bas comme la turdoïde) et se tient à découvert pendant les quelques instants que dure sa chanson.
P. — N.