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LES ONZE MILLE VERGES

cul. Ah ! tu as fourré ta figure entière entre mes fesses… Tiens ! je pette… Je te demande pardon, je n’ai pas pu me retenir !… Ah ! tes moustaches me piquent et tu baves… cochon… tu baves. Donne-la moi ta grosse bitte que je la suce… j’ai soif…

Mony. — Ah ! Hélène, comme ta langue est habile. Si tu enseignes aussi bien l’orthographe que tu tailles les plumes tu dois être une institutrice épatante… Oh ! tu me piquottes le trou du gland avec la langue… Maintenant je la sens à la base du gland… tu nettoyes le repli avec ta langue chaude. Ah ! fellatrice sans pareille, tu glottines incomparablement !… Ne suces pas si fort. Tu me prends le gland entier dans ta petite bouche. Tu me fais mal… Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Tu me chatouilles tout le vit… Ah ! Ah ! Ne m’écrases pas les couilles… tes dents sont pointues… C’est çà, reprends la tête du nœud, c’est là qu’il faut travailler… Tu l’aimes bien, le gland ?… petite truie… Ah ! Ah !… Ah !… Ah !… je… dé… charge… cochonne… elle a tout avalé… Tiens donne-le moi ton gros con, que je te