bêche, Culculine et Alexine se glotinnaient avec entrain. Le gros cul d’Alexine, blanc et potelé, se dandinait sur le visage de Culculine ; les langues, longues comme des vits d’enfants, marchaient ferme, la bave et le foutre se mêlaient, les poils mouillés se collaient et des soupirs à fendre l’âme, s’ils n’avaient été des soupirs de volupté, s’élevaient du lit qui craquait et geignait sous l’agréable poids des jolies filles.
« Viens m’enculer, » cria Alexine. Mais Mony perdait tant de sang qu’il n’avait plus envie de bander. Alexine se leva et saisissant le fouet du cocher de fiacre 3 269, un superbe perpignan tout neuf, le brandit et cingla le dos, les fesses de Mony qui, sous cette nouvelle douleur, oublia son oreille saignante et se mit à hurler. Mais Alexine, nue et semblable à une bacchante en délire, tapait toujours. « Viens me fesser aussi, » cria-t-elle à Culculine dont les yeux flamboyaient et qui vint fesser à tour de bras le gros cul agité d’Alexine. Culculine fut bientôt aussi excitée. « Fesse-moi, Mony, » supplia-t-elle, et celui-ci qui s’habituait à