Page:Bouquet - Recueil des Historiens des Gaules et de la France, 24.djvu/30

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V i «M K*). Acte relatif, n»,» vente Monteur HuiUee, dit Boe«nem>n. cJ,e,.W, lit a I «Wh.Ic .1, W-Den». Il «t dr«u« au nom de E«««ne Boiliaue’, rde de la prevo»te de f>.ri. Un. «.trei »rnlr J».te ™}*™*™ chev.be, au moi, d’avril ,67 (,7-Jo .vril .,67«. ,ril ;6H de notre ,nanM ; da complA-r] ». l’objet d’un acte redip, «utant le même formulaire que le procèdent Met juin 68. Deux ch.rt« relative» «u droit, de PUm de Grni «r le pirW de Valen.on. Tonte» U. de,,» «ont tfedigee» «u nom de Lrtiene BoUuhw, garde de U pravotte de Paris iah<>. Compte du tei-ine de U Chandeleur*.

j novembre 26o. Ktienne Boile*. est U»«>«o d. ïbom™ rendu à fe»èa«« de rW ,», HoUrt I,U du H cmiitf de Neter», pour le château et U dUuDenie de Montjai*. `, t i j I6o._ • Quittance donnée a l’abbaye de Saint^ermain^«.Pr«. p.r Etienne Boileau, che,.lier, ,«, .|r Pari» de 1» dixime qu ib ont payée po«r le ternie de la Saint-Jean 1 169 .If’ 11 ,hxim.. qu’il. ont ’peyt"e 1>maI’ le tert11,f’ de la Saint.Jt !IIn J 2~ roolut Enire acte de juridicticu, dam 1 jôg. Ktienne BotUu, dan» In dernier, temp» de Mm adminutralio» voulut fiùre acte de juridiction dan. L i :T’ Notre-Dxiiw La rcaiaunce (le-% ch.POi.1MI{ aUaj.iI faim la. l’oonunun ir.t ion <’OI11¡-e I J f r in" ’rVen^- l "mLoa" pour «^ l’ab ution fôt prononcée le ,5 décembre ,60 »ur C devrai, f»,l, ,«r l’Inl.p^ de IA«, clerc du roi, «^f^ion wnùt donnée au chapitre’. 9 f ij.bsdtition détienne Boileau dut être un des derniers ^««nenu de sa vie. Son succe^edr Keijau.l Barbou était en fonction de,* le mois d’avril 1 370, et M. Borreui de Serre» • ««,« !,• ^Tartè et’ ~ce tndme l1I"i~ d’an ;1 1 17° dans lequel figure Marguerite, fille da fou tnonseigneUr Rtienhe llofleau. chevalier. U mort de celui-ci doit donc être arrivée entre le *5 décembre 1 î6q .t le mLs d a ni 1 ï-jo.. y ̃̃ j"

tienne Boileau a joui ,1’ùne assen grande célébrité pour que plusieun famille* aient voulu rattaolU m., non. à leur gànealopo. Uin de .justifier cette prétention on est allé jusqu’à commettre des Taul» 1 J est, pour citer un exemple, ’W*™ d’un contrat daté .lAi,gers, le mardi avant la Saint Do.i.s aji de jtriw i«J8. par lequel Rstienne Boylesve, chevalier, prevost de Paris, et Marguerite ; de .|(,u,slo Na fen.me,. prirent certains engage.ne.nt, en >-ue du mariage ,h Fouquet leur fils. 4, Jj.pnnel.Mo d.- Jouffroy de ChHïé. cfievalier". Cette pièce constitue un faux < !« plus groj., r ,enne B«.JMu ,y qualifo prévôt de. Paris, charge qu’il occupa seulement deux ans plu, tard ,Jn a v .a la page précédente, qu’au moi» d’avril 1 î6o il n’était encore que prévôt d’Orii-ans u •»’«•• qui a briqué cet acte il faut attribuer une sentence pn.no.e par Hugues Aubriot. R rde de la prévôté dr Paris, le 5 des ides de novembre 368 sou, le règne de Ch.rl« V en Franc •î d r douard en A^etocw ; par cette sentence, Jean Boileau, chevalier, était autorise à amortit un «J ns dont 1 origine était un emprunt contracté il y avait plus de cent vingt an., par ÊU-nne Boilt-au ri.»..r ,.av^r «rançon quand i .va» été fait prisonnier par les Sarrasins au ,iêge de Damiette «.«,m J.vaiumner_StBphanu. Bort leveu.n prepositum Parisiensenn pn^lecessoren, nostrum (c’est H.igu, fi" .lÎ^ÎSl1" /V’ T i ’ttaVUm" e° temP°""V dominas Ludovicus r,<v obéira. t fr U" Ub’ dlClus s""P"«nus. Sarraceniscptu., fuerat. et pro redemptione sua Gai ¡"l’lIS Guelt..3, utiles. intituo ~en.u.nannuu.n decem librarurn .um«»I ..«̃K.uiveral »uper domum ,u.m «Un, Parisâu. prope fanum sive edem sacram Divi’/Jermj..«  d,- U,tteno. donoc posset re limer,- istun, censum nuum ».. Entre autres anomalie,, on doit

m-I,vW dans mu. sentence emploi du latin Pnsage du calendrier ro.nain pour désigner le quantièm.du m is, la mention du du règne du roi (l’Angleterre, la s ation livres (J’or et l’expr-r~wou,~onum «rr «fl* ,n,ram ft« Germon, ie Wno. C’est aussf^e la même «uroe imptin- que doit provenir un l<1StVlt,<la"S !«lupl « Jel«" Boy «^ chevalier, partant pour aller combattre, Sar Lins en Hongrie jW,I ,396). pre*nt à son (ils de^prendre pour annes trois croix d’or penchées, ait lieu de .> ,-to.ksd or, parce que, dit-il, entreprenant c, ,eiage i H.onneur de Di-ux et ,̃ sa passiottaud m.1, en la croix, por le salut et remède de IW de moy et de ma feue femme k**lJ K, ineTûis -> etfe, pemdre sur mon e*cu et jacquettedVn.es les dictes trois croix l’Ji ; actes ont nÛr-r<" ^T’1* dans la S"COIM’° m0ili< : du XVI* si^le ils ont «* P-^luits au .•«’"«* en 1^87 "• (’est conformément au prétendu t»Ument de ,3o6 quelles armes de 1. •a.n.He du prevot de Paris ont été gravées ,,L, 598 et en 6,8 dans le CauLJ J* pj^l pJû depau U rvy saint Loms. La première édition d- ,e, ouvrage, dédie> en 555 à Henri H par iSC C«. deux actes ont été publié» par M. de U»,.ina»w h Uvrr if, mStim, p. ut et nu, note».

VviHl. ie Sai*t-IUm--d*-F»»t$, ma. Utin 5 lit ; fi I1 Ho et 1 y<>.

flw. Je, Aütor.. t. XXII, p. 748 f.

r«r|«/ & N.-D. A, Pari,, t. I, p. i7,

Note de Dom VuleyieilU, dans le nu. (Vamii.

XïoH-, p. 4iJ 3

( artai de [). J, pmru t. 111, p. 376-S77

M..p A33~ :<A

| Rtekerrkn «çr timri lervian p. àiij.

!nde£todaniiDen« de» acte, dont il .̃ etr» ,|ue.t,n 

’< "l’ii tS*»7èe labritjuej au xvi* >iecie pour nne famille »»( ?•»’"< un f«<i»iair.- du xur ùerle a deuiov» loule wn 1


indiutne |««r r«tlach«r Etienne ftoileau à la f.uiiHe de Wa. IWileau tWpreauv On peut voir « que D«unou

l> « .lit 1 o5 » i-j ,e 1 «ijet «6. dan> VHÙL lUt. <ti U Frmmcf tf MX l" 105 ,’j 106,

<> contrat ete pnhlie par M. Plul de Karvv. k U 

p. 7Ç» d une «wtotr, ^nmkyi^ dr Ufami»e A, «iyW

AnRer. ,90.. in-S e.tr. de 1. R^mt 4* CAnjoa

ru ’"«««"> d’examiner l’original de cet »cte e.l

de. deux autres dont il », être queMi.», l.r,tu,c J«fl’l pur en faiir reconnaître U fiuMcte.

Acte ,>blie d*£» le meni* ouvrât- S6.

’»"> i>. H<j.

Voir ’»>r*t du X, oWeinbre i58-, ,,ublie ,.»,

VI ,lr t ;arr, p. ji.