Page:Dujardin - Poésies, 1913.djvu/146

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


O trop pensive Dalila,
N’est-ce pas là
Que deux amours immaculées
Auraient leur couche appareillée,
En ce calme et ce brouhaha
Par qui toutes choses sont emmêlées ?