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LA PRISE DU CHÂTEAU D’ASSIEN

— Monseigneur, le plaisir de vous être utile et de vous contenter suffit à me rendre heureux.

— Le reste n’est point méprisable, Galant. Allez !

Pendant ce dialogue, les troupes se massaient. Les gens d’Assien, n’ayant pas compté les agresseurs, ne pouvaient croire qu’une petite troupe dissimulée, mais vigoureuse et décidée, allait décider du sort de ce combat.