Page:Encyclopédie méthodique - Chimie, Planches, T01.djvu/16

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lo EXPLICATION DES PLANCHES.

K. Cordons correspondans à la boîte.

D. O. O. O. TaWes d’acier.

N^. 4. Balance d*essai vae de face dans la cage fecn>ée. A. Porte de la cage en verre , qui s’élève dans des coutisses i Taide de deux crochets D D , et qui se tient en suspension au moyen de deux ressorts courbés en crochet £ E. F. Tiroir de la cage , avec deux mains en cuivre , dans lequel on serre tous les petits ourils qui servent à peser.

N^ 5 • Clage de la balance vue de côté ou de profil , pour faire voir la table saillante A , qui esc sur le devant , et qui sert à placer les outils pendant que ion pèse. B. Coulisse de la porte. N^. 6. A. La même vue par-dessus.

B. Table saillante.

C. Châssis de la porte de verre.

N^. 7. A. Boîte en bois , vue en dessus , avec les cases circulaires , pour mettre les divisions des poids.

B. Même boite, vue de côté.

N^. 8. Cisoin. A vue en dessus , B de coté. .

N^. 9. Différentes bruxeHes ou pinces pour prendre les poids et les essaii» N^. io. Gratte- bosse en crin pour nétoyêr les boutons de recour»’ PLANCHES IX et IX tis.

Figure i’^. C’est la balance ordinaire donc il est parlé tome II, page 504. Fig, 4. jtréomètrc de Lavoisier pour les eaux minérales. ( f^oye^ tom, II , pag. 3 5 S , colonne première.)

Fig. 5. Aréomètrt de Fahrenheit. {Voye tom. Il, pag. 357, deuxième colonne.) Fig. 6. Aréomètre de Baume pour ralcool.

Fig. y et -j bis.. Aéromètres. Comme il 7 a plusieurs erreurs dans le rexte» tom. II» pag. 35^, rolonne deuxième , où il est question de ceï ligures , nous allons le reproduire ici , i partir de ia 31*. ligne jusqu* ;à la 55*. inclusivement, avec les corrections qui sont nécessaires pour le bien comprendre.

«’Le plus simple ei Te plus employé de ces instrumens est une petite bouterlle de verre mince B {fig. 7 de la II*. classe. ) , soufflii^ à la lampe, et dont le col A C, long et étroit, esr divisé dans toute sa longueur en parties égales. Pour que ctt instrument puisse se sourenit dans ime situation verticale )iu milieu du liquide où on le plonge , on place le centre de gravité le plus près possible de Textcémicé inférieure, à laide d'une petite i>odle S soufflée, qu^on j soude , et danls laquelle on met du mercure ou un autre corps quelconque plus pesant que l’eau : il n’en £iur pa^ mettre asscle pour que Tinstrunient soit plus pesant qu’un volume d’eau pareil au sien y car alors il se précipiteroir au fomk » L’aréomètre étant construit sur ces principes , on le plonge dans des Hqueurs dont on veut 'connoitre le ra]>porr. Si son poids est tel qu’il s’enfonce dans l’eau jusqu’en £, il s’enfoncera dans Talcool jusqu’en G^ mais si l’aréomètre est plongé dans des liqueurs plus pesâmes que l’eau , il ne descendra pas jusqu’en £ : dans la bière , par exemple , il s’ofrrêtera en I>, et toujours dans des raisons inverses de la denské ou pcsaïueur du liquide ^ etc. ^» Nota. A la page 3Gi , tome H , deuxième colonne ,’ ligne & , air lieu de Jig, 7 , classe II , lisez : Jfguresn et 7 bis* — Ligne 91, au lieu de enj^y lises lens*’^ Ligne 40 , au lieu dej^ure 7, lisez xjigure 7 bis. — Ligue 40, au lieu àtà^ffure 7 bis , lisez Jigure 7.

Fig. 8. Aréomètre de Homherg. Il est décrit tome II, page j ^7, i^*» et i% colonne» Fig. 9. {yoye le texte, tome II, page 3^^» i’^ colonne.) Fig. 10. Aréomètre de NicoLsoa*

Fig. II. Grayimètre. {Voye^ sa description , tome IV, page 499»)