Page:Fréchette - Poésies choisies, I, 1908.djvu/233

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Personne n’a connu ta tombe, ô Du Calvet !
Quand la mort te frappa, personne à ton chevet,
Ni sur ton front penché, ni sur ta lèvre blême,
N’a pu sonder, hélas ! le terrible problème
Qui planera toujours sur tes derniers instants !

C’est à ton héroïsme, à tes efforts constants.
C’est à ton dévoûment, le plus pur, le plus ample,