Page:Gacon-Dufour - Réponse à M. A..., 1807.djvu/19

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

un temps où il sera regardé comme un remède salutaire par ceux même à qui, dans ce moment, l’odieuse intolérance parait une vertu.

Je suis, Monsieur, avec toute la considération que vous méritez,

GACON-DUFOUR.

Nota. Omission des Imprimeurs à réparer : Page 85 du tome Ier des Anecdotes secrètes, etc. lig. dern., après ces mots : et celle qui jugea Enguerrand de Marigny, ajoutez fut également sollicitée par un moine.


À Paris, de l’imprimerie de Courcier, quai des Augustins, n°57.