Page:Gasquet - L’Enfant, 1900.djvu/51

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Ô Mistral, j’ai chanté te contemplant de loin.


Maître, dans une langue où l’avenir respire,
Toi seul as dit les mots dont la France a besoin.
Quand sur Rome qui meurt Lamartine soupire,
Dans tes puissantes mains tu recueilles l’Empire.
Fondateur de cités, tu ne tomberas point.