Page:Isis Copia - Fleurs de rêve, 1911.pdf/11

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.



LES OISEAUX DU NIL



Sur les ondes du Nil
Riantes, azurées,
Ils traînent, sans péril,
Un vol d’ailes dorées.

Chères têtes d’oiseaux,
Petits êtres fantasques
Vous qui troublez les eaux
Aux environs des barques,

Apprenez-moi vos noms,
Amants de la lumière,
Et dites-moi, mignons,
Le nom de votre père.