Page:La Mettrie - Œuvres philosophiques, éd. de Berlin, Tome troisième, 1796.djvu/119

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L’HOMME

MACHINE.




Eſt-ce là ce rayon de l’eſſence ſuprême,
         Que l’on nous peint ſi lumineux ?
Eſt-ce là cet eſprit survivant à nous-même ?
Il naît avec nos ſens, croît, s’affaiblit comme eux.
          Hélas ! il périra de même.

V o l t a i r e.