Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/153

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couvrant complètement de ses cheveux, elle n’avait garde de s’y opposer, car quelque foutue qu’elle ait été auparavant, elle était sûre de tirer au moins encore trois bons coups, dont un dans le trou du cul, une de ses manières favorites et qu’elle déclarait elle-même être la plus agréable pourvu que le devant ait été aussi bien foutu auparavant. Avec de tels goûts, son plus grand plaisir, naturellement, était d’avoir deux pines en même temps, c’était le nec plus ultra de sa satisfaction érotique.

Mais revenons à l’inspection que j’étais en train de décrire ; c’était vraiment la première que je pouvais faire complètement, car quoique ayant souvent gamahuché, tâté et vu des cons superbes, c’était dans des moments où j’étais en chaleur, quand j’étais absorbé par les approches du plaisir, c’est-à-dire dans un état d’esprit opposé aux complètes observations des beautés naturelles. Maintenant que des tributs répétés au dieu de volupté ont refroidi mes sens, je suis à même de jouir entièrement de la vue que j’ai devant moi et de contempler dans les plus petits détails toutes ces beautés si bien développées.

J’ai déjà dit que ma tante avait un des plus beaux, des plus larges, des plus proéminents mont de Vénus qu’il soit possible de voir. Il était entièrement couvert de poils fins et frisés qui n’empêchaient pas de voir au-dessous la peau superbe. Le passage rond entre ses cuisses était des plus gracieux. Au milieu se trouvait une dépression demi-circulaire et bien accentuée d’où partaient