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les larges et saillantes lèvres de son con, qui, dans la position actuelle, se trouvaient légèrement ouvertes. Vous pouviez juste apercevoir la place où se trouvait son clitoris ; j’ai déjà fait remarquer qu’il n’était pas très développé, pas plus que les petites lèvres intérieures que l’on n’aurait pas pu apercevoir si ma tante n’avait pas été dans la position actuelle avec ses cuisses largement ouvertes.

De chaque côté de ces lèvres lascives et saillantes et tout le long de cette immense fente rose se trouvait un considérable espace triangulaire, tel qu’on en peut seulement voir aux femmes ayant des proportions aussi larges que ma tante, couvert comme son mont de Vénus de poils fins et frisés qui se continuaient jusqu’à son magnifique trou du cul rose. On ne pouvait rien voir de plus joli et de plus beau, surtout de la manière dont elle exposait le tout en pleine lumière.

Après avoir tout admiré et tout tripoté, je séparai les lèvres et les tins entièrement ouvertes. Rien ne pouvait être plus charmant que l’intérieur de ce con enchanteur, d’une exquise couleur de rose-saumon ; tout était en parfait état. Le clitoris qui commençait à se dresser à la suite de mes attouchements aux environs, se trouvait d’abord dans la partie supérieure des grosses lèvres ; puis plus bas se trouvait, légèrement ouverte, la charmante entrée de l’urètre, plus large lue d’habitude, afin de pouvoir lâcher de l’eau en faisant du bruit comme un torrent en pissant ; au-dessous se trouvait l’entrée du vagin, que je séparai avec