Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/201

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à la possibilité d’une pareille chose, et il s’arrêta de fouetter pour s’assurer du fait en regardant et en touchant.

Je retirai un peu ma pine pour qu’il pût s’assurer du fait, et le pasteur se mit à tortiller ses fesses, montrant ainsi quel grand plaisir cela lui procurait. Naturellement, tout cela n’était que préliminaires pour la grande attaque qu’il se proposait sur le derrière du jeune Dale. Quand Henry se fut assuré du fait, il cingla mon derrière avec une nouvelle vigueur qui m’excita étrangement sur le moment, mais dont je ressentis la peine plusieurs jours après. Je lançai de suite un torrent de foutre dans les entrailles du pasteur, à sa grande joie ; mais il fit tous ses efforts pour ne pas décharger lui-même, voulant réserver toute sa vigueur pour prendre le pucelage du joli derrière du jeune Dale. Aussi, après m’avoir retenu pendant quelque temps par ses pressions intérieures, il me permit de retirer ma pine entièrement couverte de mon propre foutre.

C’était maintenant au tour du pasteur à être fouetté sur le dos du jeune Dale. Comme Henry s’était déjà aperçu des plaisirs que l’on pouvaient recevoir par le trou du cul, voyant la satisfaction et l’aisance avec laquelle il avait engouffré mon énorme morceau sans souffrance, il ne fit aucune difficulté pour se prêter à la position qu’on voulut lui faire prendre. Il se plaça de lui-même dans la position la plus commode, faisant saillir son derrière, écartant bien les fesses pour montrer le ca-