Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/202

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nal entre elles, et exposant à nos yeux ravis, le plus charmant petit trou du cul rose ; aussitôt le pasteur s’agenouilla pour lui faire ses dévotions, le couvrant de baisers, introduisant sa langue lubrique dans l’orifice, et en même temps lubrifiant tous les alentours avec sa salive. Ces préliminaires, suivis d’un léger branlage avec le doigt du milieu, produisirent au jeune homme une sensation délicieuse et le captivèrent entièrement. Le pasteur l’informa sagement que la première attaque serait un peu douloureuse, mais que lors même qu’il en serait ainsi, il ne devait pas retirer son corps, mais simplement l’en informer, et qu’alors le pasteur s’arrêterait immédiatement sans cependant déculer, qu’il sentirait bientôt cette étrange sensation passer entièrement ; qu’alors, lui, pasteur, pousserait plus avant, quitte à s’arrêter à nouveau si la souffrance était trop grande. De cette façon, il sentirait venir le plaisir d’une manière délicieuse impossible à décrire, car il avait dû voir combien tous deux, Charles et lui, avaient éprouvé de plaisir de cette façon. Le pauvre Dale assura le pasteur qu’il pouvait commencer de suite et qu’il serait très docile.

Le pasteur me demanda alors de lui sucer un peu la pine, juste assez pour la lubrifier, mit le jeune homme en position, lui recommanda de pousser comme s’il voulait faire caca, puis, approchant sa lubrique pine toute mouillée du charmant orifice, en pressant doucement, il arriva, sans faire trop souffrir Dale, à pouvoir introduire la tête