Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/220

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elle m’eut bien excitée et qu’elle le fut également, elle me fit coucher sur le dos en travers du lit et me releva les genoux, de manière à ce que mes talons reposent sur le bord du lit ; elle plaça alors un petit tabouret devant, et se mettant à genoux dessus, après m’avoir palpé et caressé la fente, elle y colla ses lèvres, et après l’avoir sucée un certain temps, elle fit aller et venir sa langue sur l’endroit que tu as si délicieusement frotté tout à l’heure. Elle me lécha si exquisement qu’elle me fit bientôt décharger dans une extase de bonheur.

Elle la suça encore un peu pendant que je demeurai languissante de volupté. Quand elle se releva enfin, elle se jeta sur le lit et nos deux corps nus s’unirent encore dans la plus délicieuse étreinte. Ses lèvres étaient encore toutes mouillées de ma décharge, son arôme particulier m’enivrait et je ne pus m’empêcher de lécher le jus crémeux après ses lèvres.

— Oh ! tante adorée, criai-je, vous m’avez fait sentir une jouissance divine, il faut que j’essaie de vous faire la même chose.

— Ma bien-aimée Ellen, tu vas positivement te faire adorer. Je regrette seulement maintenant de n’avoir pas eu plutôt confiance en toi, car je sens de suite que j’aurais pu le faire en toute sûreté. Oui, ma chérie, tu vas aussi essayer, et je t’apprendrait petit à petit à obtenir la plus grande somme de jouissance de nos amusements lascifs et amoureux, plaisirs dans lesquels on ne court aucun risque et pour lesquels nous n’aurons pas les anxiétés