Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/45

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qu’elle me faisait était des plus excitantes. Quand elle eut fini, je déconnai pour pouvoir nous gamahucher l’un l’autre, et lécher le foutre délicieux dont son con était inondé. Nous recommençâmes alors nos combats amoureux, sacrifiant à notre Sainte mère Vénus dans les deux ouvertures. Nous nous endormîmes alors avec la conscience aussi tranquille que possible, et comme des géants, ayant puisé de nouvelles forces dans le sommeil, nous recommençâmes nos dévotions sur chaque autel avant de nous séparer le matin.

Deux jours plus tard, Marie fut initiée par miss Frankland de la même manière qu’Elise, pendant que cette dernière et moi nous prenions nos ébats dans le pavillon. Excité par sa description de ce qui s’était passé entre elle et miss Frankland, nous nous livrâmes à toutes les orgies qu’il nous fut possible pendant une heure ; nous fûmes obligés d’attendre, à notre tour, plus d’un quart d’heure à la porte, ce dont me remercia beaucoup miss Frankland la nuit suivante. La séance avec Marie avait été des plus lubriques, par cette raison que Marie, dès le commencement, se prêta à tout ce qu’elle voulut, sachant par Elise à l’avance ce qui devait se passer. De plus, les formes plus développées de Marie excitèrent beaucoup miss Frankland qui en était tout à fait amoureuse. Elle avait tellement déchargé, que lorsque je l’eus gamahuchée et enfilée trois fois dans chaque ouverture, elle réclama le stimulant de la verge pour ranimer sa lubricité épuisée. Et pour dire la vérité, je la réclamai aussi