Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/108

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seule, car son mari était allé à la cité pour affaires, je fus reçu avec joie.

Après nous être jetés dans les bras l’un de l’autre, nous étions trop excités pour nous attarder à des préliminaires, un sofa reçut nos corps en feu, et avant qu’on eût le temps d’y penser, les cuisses furent ouvertes, le con envahi et le plus rapide coup, trop rapide même, fut tiré.

Pendant que nous revenions de ce premier délire de jouissance, nous eûmes le temps d’échanger quelques paroles d’admiration sur les changements qui s’étaient opérés pour nous deux ; mais ce ne fut qu’après l’avoir foutue quatre fois, fait décharger le double, que je trouvai le temps de parler des événements passés.

J’avais connu par lettre son intrigue avec madame Egerton et le comte, et j’appris alors de sa bouche de plus grands détails. Elle me dit combien madame Egerton était avide de posséder ma pine si immensément grosse, ajoutant :

— Au fait, elle doit être seule à cette heure, viens la voir, nous pouvons nous amuser aujourd’hui même, ne perdons pas notre temps.

Je n’avais pas vu madame Egerton depuis plusieurs années, en réalité bien avant que je ne foute madame Benson. Nous allâmes la voir et sa réception fut telle que je pouvais la désirer.

Madame Benson nous dit de ne pas perdre de temps et, puisque l’occasion était bonne, de procéder de suite à un enfilage sérieux ; madame Egerton ne fit aucune objection. Madame Benson,