Page:Le roman de la luxure, tomes 4 et 5, La Veuve amoureuse - Orgies continentales, 1925.djvu/129

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en eût rencontré de pareils, mais c’était toujours avec une certaine répugnance qu’il les opérait.

Je différais pour cela de lui entièrement, car plus le trou du cul d’un homme est grossier et poilu, plus il m’excite, sous ce rapport le comte était entièrement à mon goût. Il avait des poils jusque dessus les fesses, avait la peau très rude et un trou du cul tout noir, tellement il était brun foncé, dont la seule vue me rendait fou de luxure.

Il m’aimait aussi beaucoup, mais pour une autre raison. Sa grande volupté était de branler une belle grosse pine pendant qu’il enculait le propriétaire, aussi, comme il n’en avait jamais trouvé d’aussi grosse que la mienne, il était insatiable pour m’enculer et me branler en même temps.

Nous avions donc tous deux ces deux raisons différentes pour devenir des amis des plus intimes, mais nous laissâmes toujours ignorer à nos amies que nous prenions ensemble des plaisirs auxquels elles ne participaient pas.

La superbe Frankland, maintenant la femme de mon tuteur, vint aussi seule me rendre visite et nous renouvelâmes nos plus folles expériences. Elle m’avoua que cela la soulageait extraordinairement, car quoique son mari monsieur Nixon fût très amoureux et fît tout ce qu’il pouvait, cependant cela n’avait d’autre résultat que de l’exciter pour en avoir davantage, spécialement de ma grosse pine dont elle n’oubliait pas qu’elle avait